Prix aux pièges version 2013

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11 réponses

  1. jms dit :

    En 2008 Nathalie publiait cet article.
    Je l’ai reproduit à l’identique, même texte, même frigo, même pomme.
    Il avait donné lieu à 121 commentaires et 4248 lectures.
    Le sujet est-il toujours d’actualité ? Ferez-vous mieux ?

  2. jms dit :

    A propos des prix des carburants la courbe suivante montre l’évolution depuis 2007 :http://france-inflation.com/graph_super.php
    La crise de 2008-2009 avait fait baisser les prix, la crise actuelle n’a pas eu cet effet.

  3. jms dit :

    J’ai fait un flop avec mon frigo. 🙁

    Apparemment cela n’intéresse personne.
    La situation économique serait-elle meilleure qu’en 2008 :# ou est-elle si désespérée qu’on n’a plus envie d’en parler.:-(

    Je range mon sujet. :paf

    • retraitactif dit :

      eh oui tu rejoins par ce sujet qui n’intéresse personne le club de ceux qui se donnent un peu de mal (mais non ça reste un plaisir) pour alimenter le dialogue mais ça ne marche pas à tous les coups et j’en suis un habitué car si je comptais les commentaires que je fais sous forme souvent d’interrogatioin qui n’ont jamais de réponse ou si peu…
      :# 🙁

  4. lomig dit :

    Un yaourt …et une pomme … de Brie , j’espère
    Soyons locavores

    • jms dit :

      Le yaourt je ne sais pas mais la pomme de 2008 c’était bien une pomme du verger. Cette année la photo serait impossible, il n’y a pas eu de pommes ou si peu.

    • jms dit :

      Au passage tu m’as appris un mot : locavore.
      Il s’agirait d’une doctrine visant à ne consommer des produits agricoles produits localement. Du bon sens, mais si peu partagé, notamment par l’agriculture moderne.

      • Florence dit :

        Le principe est bon mais à appliquer avec souplesse. Mieux vaut acheter ce qu’on trouve dans sa région c’est vrai. Mais par exemple en Normandie on ne cultive pas de melons, et pourtant c’est bien bon. Alors il faut s’en priver ?

        • IndianaJones dit :

          Oui , si ce n’est pas la saison…
          Le problème des locavores… c’est de trouver une nourriture locale, selon la saison, à coût abordable et pour tous.
          Malheureusement, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Les productions locales recherchées par les locavores, issues d’une agriculture généralement dite « biologique », sont faibles et par conséquence accessibles par leurs côut qu’à une seule catégorie sociale de la population.
          Mais, pour les autres, heureusement il y a Chevaldus 🙁

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