Pour la reconnaissance de l’économie domestique

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8 réponses

  1. retraitactif dit :

    Dans les entreprises ou moi même et mon épouse avons travaillé,à responsabilité égale les salaires n’étaient pas différents entre hommes et femmes.
    Dans la « famille en général » il appartient au couple de se partager les tâches. et si l’un domine l’autre c’est une affaire « privée ».
    Pour les métiers dont parle lomig, je suis de son avis d’ailleurs, les besoins dans ce sens vont augmentant et sont souvent exercés au sein d’associations.
    En ce qui concerne les religions, je considère personnellement que les femmes est contrainte sous bien des aspects(quelle que soit la religion), mais ce n’est peut-être pas leur avis pour peu qu’elle puisse ou souhaite le donner.

    • Cindy dit :

      Ce qui ne semble pas changer, c’est que nous sommes les seules à porter dans nos ventres nos enfants et sur ce point, cette inégalité m’arrange. Allez savoir pourquoi, je n’ai rien à redire. Pour la religion : le « tu enfanteras dans la douleur » c’est pas top ! Pour les revenus, sachant qu’en cas de divorce c’est souvent les femmes qui ont la garde de leurs enfants, on constate qu’elles se retrouvent au niveau de la quasi-misère. Et cela n’est pas tolérable surtout pour élever des enfants. Des exemples de ce genre, j’en rencontre tous les jours. Prenez l’exemple du logement : si elles avaient un bien lors de leur mariage, leur part (logiquement la moitié, sauf cas spéciaux) ne suffit pas pour racheter un autre bien puisque leurs salaires ne suffisent pas pour contracter un emprunt et louer un logement idem car les loyers sont trop chers ! « Il faut faire 3 fois le montant du loyer en salaire net minimum avec garant en sus m’a raconté une amie !
      L’égalité passe d’abord je crois par les revenus ou les moyens pour vivre et les tâches ménagères c’est simplement une question d’arrangement interne.
      A bientôt, j’arrête là ma pause, j’ai du boulot !
      Cindy

  2. jna dit :

    un sujet d’actualité est également celui de la féminisation des noms, en particulier des professions et des fonctions :on en parlait à la radio ce matin.

    Que nous révèle l’inconscient de lomig lorqu’il écrit : « Acheteur, blanchisseur, nourrice, cuisinière … :la femme tour à tour n’exerce-t-elle pas ces différents métiers « 

    Pourquoi :
    – acheteur et pas acheteuse,
    – blanchisseur et pas blanchisseuse,
    – cuisinière et pas cuisinier,
    (pour nourrice … je passe car je ne suis pas sûr qu’il puisse y avaoir un masculin).

    C’est peut-être parcequ’à la maison c’est lui qui achète avec de l’argent sale (ça ne m’étonnerait qu’à moitié avec un journaliste bretonnant … à la bretonnière) et qu’un autre fait se confirme, lomig n’a pas le temps de faire la cuisine (forcément pendant qu’il suit les conférences sur la condition de la femme, c’est ki ki bosse à la maison ?).

    Moi je l’aime bien quand même.

    • jms dit :

      A propos de langage masculin-féminin, vous connaissez tous le blague suivante :

      « Un gars : c’est un jeune homme
      Une garce : c’est une prostituée

      Un courtisan : c’est un proche du roi
      Une courtisane : c’est une prostituée

      Un masseur : c’est un kiné
      Une masseuse : c’est une prostituée

      Un coureur : c’est un joggeur
      Une coureuse : c’est une prostituée

      Un rouleur : c’est un cycliste
      Une rouleuse : c’est une prostituée

      Un professionnel : c’est un sportif de haut niveau
      Une professionnelle : c’est une prostituée

      Un homme sans moralité : c’est un politicien
      Une femme sans moralité : c’est une prostituée

      Un entraîneur : c’est un homme qui entraîne une équipe sportive
      Une entraîneuse : c’est une prostituée

      Un homme à femmes : c’est un séducteur
      Une femme à hommes : c’est une prostituée

      Un homme public : c’est un homme connu
      Une femme publique : c’est une prostituée

      Un homme facile : c’est un homme agréable à vivre
      Une femme facile : c’est une prostituée

      Un homme qui fait le trottoir : c’est un paveur
      Une femme qui fait le trottoir : c’est une prostituée
      « 

  3. jms dit :

    C’est bien évident que les tâches domestiques sont un vrai métier.
    Parent en est un aussi. S’occuper de l’éducation de ses enfants est beaucoup plus difficile, autant au niveau physique qu’intellectuel, que bon nombre de métiers de bureaucrates dont les intéressés ne percoivent pas toujours la finalité.
    Et évidemment les tâches domestiques ne sont pas nécessairement féminines.

  4. brionautes dit :

    en faisant travailler sa femme à la maison, on fait une économie de domestique, il faut le reconnaître

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