Le PNR Pacman

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42 réponses

  1. jna dit :

    j’ai envie de dire que le Préfet est un incompétent, un ignare.
    Mais, il y a quand même du vrai dans les arguments avancés pour exclure nos communes du périmètre. On ne peut pas contester le phénomène de cabanisation de la vallée et Crécy en est l’exemple type. Combien de fois nous sommes nous dit que l ‘on acceptait tout des riverains, en particulier dans une zone sensée être domaniale. Les élus de la vallée ont laissé une zone de non droit s’installer. Et que dire de la zone commerciale Super U de Couilly, autre plaie … la bétonisation du fond de vallée ???

    De même en matière environnementale … qu’a fait le Syndicat intercommunal du Grand Morin ? Certains ont rigolé quand on leur parlait de restauration de continuité écologique … tous les maires du coin sont des spécialistes, mais à part nous rabacher des inepties sur l’effet positif des barrages sur la régulation des inondations, ils n’ont rien fait … En REVANCHE, qu a fait le second Syndicat, celui qui gère la partie Amont de la rivière ???, il a remonté ses manches, lancer une étude, et des aménagements sont en cours … n’est-il pas normal de reconnaître le travail réalisé ?
    J espère quand même que cette proposition de périmètre ne sera pas retenue et que nous réintégrerons le projet. C’est qd meme inconcevable de sortir la partie aval du GM du projet, ou a minima il conviendrait de changer le nom du PNR qui de fait est « galvaudé »

    • AS77 dit :

      tout a fait d’accord avec toi JNA,
      je suis un des seul a me battre contre les élus pour la continuité écologique contre le syndicat du grand Morin mais pour certain dans élus nouveaux la vision commence a changé

    • retraitactif dit :

      il n’est pas étonnant de voir JNA bondir devant telle inertie :paf
      D’un autre côté, tous les commentaires que nous brionautes avions apportés au site passés relatifs à l’implantation d’une zone d’activité (une autre ineptie) n’ont servi à rien puisque d’après ce que je comprends, c’est à cause de cette monstruosité que notre vallée est hors PNR. :# 😐

      • jms dit :

        Le préfet a tenu compte des remarques faites par la commission nationale des PNR il y a deux ans. Si j’ai bien compris, jlv pourra confirmer, ils n’ont pas apprécié la ZAC de Mouroux et ont émis un avis défavorable. Je ne pense pas qu’ils soient allés jusqu’à Couilly.
        J’imagine bien M Houel inviter le préfet de région a venir vérifier de visu qu’à Crécy il y a autre chose que des cabanes.
        A ce propos, il semble que la lettre que je diffuse dans cet article n’est pas parvenue aux communes. Je l’ai eu au travers des associations.

      • retraitactif dit :

        pardon… telle INEPTIE bien sur.

    • retraitactif dit :

      Quel idée que ce rompu au croisement de la RD 934 avec l ‘A 4???? pour 500 M :paf :-d)

    • jms dit :

      La raison d’être du syndicat du grand-morin, et il s’y emploie avec zèle, est d’éviter les inondations, pas de succomber à des aberrations idéologiques. La continuité prétendue écologique serait une catastrophe pour la régulation du grand-morin devenue impossible et pour notre patrimoine, c’est pas demain la veille que ça viendra chez nous. De plus en plus de voix en France s’élève contre cette bétise.
      Mais ce n’est pas l’objet de cet article.

      • AS77 dit :

        bien au contraire la lutte contre les inondations n’est pas de maintenir des ouvrages mais les enlever les innombrables erreurs commises de construire bétonnée dans une partie des lits des rivières ainsi que dans les zones d’étales sont le résultat de nombreuses détresses et perte immobilières suite aux inondations plus les zones industrielles qui sont les premières victimes et on en connais les dégâts que nous payons tous .et ton résonnement JMS est le même que certains tenait lorsque l’on parlais de crues cinquantenaires ou autres
        prenons exemple sur les pays bas .ses derniers jours nous avons connus un épisode pluvieux qui se rapprochait de ceux d’il y a plus de 13 ans et on vois la rivières grossir et déborder par endroit si il n’avait pas geler les inondations était la et la continuité écologique est un atout majeur pour la qualité de l’eau de la faune aquatique ,le transport sédimentaires et enfin pour aller comme le demande

        La directive cadre sur l’eau

        La directive du 23 octobre 2000 adoptée par le Conseil et par le Parlement européen définit un cadre pour la gestion et la protection des eaux par grand bassin hydrographique au plan européen. Cette directive joue un rôle stratégique et fondateur en matière de politique de l’eau. Elle fixe en effet des objectifs ambitieux pour la préservation et la restauration de l’état des eaux superficielles (eaux douces et eaux côtières) et pour les eaux souterraines.

        La directive cadre demandent de veiller à la non-dégradation de la qualité des eaux et d’atteindre d’ici 2015 un bon état général tant pour les eaux souterraines que pour les eaux superficielles, y compris les eaux côtières. Des reports d’échéance ou des objectifs moins stricts restent possibles, à condition d’être justifiés.

        La DCE, transposée en droit français par la loi du 21 avril 2004, est appliquée en France à travers les SDAGE, Schémas Directeurs d’Aménagement et de Gestion des Eaux actuellement en cours de révision. Les exigences nouvelles à intégrer dans notre politique de l’eau sont :
        •l’atteinte du bon état des eaux et des milieux aquatiques d’ici 2015 (obligation de résultats),
        •la participation active du public et des acteurs locaux,
        •la transparence des coûts de l’utilisation de l’eau (principe pollueur / payeur)

        La loi sur l’eau

      • jna dit :

        type de reponse typique de l’elu de base de la région. Nous récoltons ce que nous méritons …

        Que le syndicat ait contribué à developper un systeme d alerte aux crues, c’est une chose, mais c’est la seule mesure active prise contre les inondations.
        Les réparations et la motorisation de certains vannages contribuent a limiter le risque contre l’inondation, car le pire c’est bien de ne plus pouvoir ouvrir les barrages pour limiter les retenues d’eau. Mais ce sont des mesures passives qui limitent les dégats, on soigne le symptome pas l’origine du mal.

        • jms dit :

          On voit bien que tu ne connais pas ce que fait le syndicat.
          Le système d’alerte n’empêche pas les inondations, c’est juste un plus, un détail par rapport aux missions du syndicat.
          Heureusement que le syndicat existe pour agir autant dans le nettoyage de la rivière qui est une lourde tache que dans la manoeuvre des vannes. Les gens qui vont sur les vannages en pleine nuit pour les manoeuvrer ne font pas beaucoup parler d’eux mais sans cela on serait inondé.
          Les maneuvres demandent une coordination qui ne serait évidemment pas possible si on n’avait pas ces équipements. Si on devait subir les bétises de la continuité écologique, on serait impuissant face à la moindre crue, et on serait quelques-uns contraints de déménager … et je ne parle pas des brassets sans eau en période d’étiage, fini la venise de la brie.

          Pour revenir au rôle du syndicat, et des syndicats en général, c’est bien la faute des élus si les citoyens ne connaissent pas leur rôle. On pêche par manque de communication. A propos du syndicat du Grand-Morin, j’ai commencé par partager un peu de mon expérience du sujet sur le site communal de Voulangis, et j’ai encouragé mes collègues à en faire de même pour les autres syndicats, sans succès pour l »instant.

          Pour revenir au PNR et faire la transition, là-aussi, malgré les articles que l’on a pu faire sur le site, bien peu de gens en comprennent les enjeux.

          • AS77 dit :

            JMS nous fait du Lomig (salut lomig)
            les vannes ouvertes plus besoin de les manœuvrer ,pour les brasset tu les fais recreuser un peu comme cela et la Venise briarde excite toujours de plus si tu laisse la vanne du champs de foire fermé il doit reste de l’eau dedans doit ton subir les dégradations naturelles pour faire plaisir a certains élus.
            pour les crues les vannes ouvertes ou bien fermés temps que la marne laisse le Morin s’écoule pas de problème une fois que la marne déborde elle empêche la rivière de de s’écoulée donc inondations
            beaucoup de personnes a force d’écouter des blablas comme nous débite JMS croies que le Morin ne débordera plus et font du n’importe quoi

            • jms dit :

              Lutter contre les crues c’est ralentir l’eau le plus possible, d’où le rôle de tout ce qui peut faire barrage et peut servir de régulateur, notamment la fausse rivière qui stocke l’eau à Coulommiers. Si on ouvre tout tout le temps, on ne contrôle plus rien et on inonde ceux qui sont en aval, ce que font ceux du Haut-Morin avec nous. On est dépendant du niveau de la marne mais tout ce qui peut servir à réguler doit être utilisé, même s’il est vrai qu’il n’y a pas de miracle, mais cela tout le monde en est bien conscient, quand il y a trop d’eau, il faut bien qu’elle passe quelque part.

              • AS77 dit :

                arrête ils ton converti ,,donne moi des solutions plus juste ralentir l’eau ces de l’utopie moins de construction dans les zones d’étales ,inondables ,moins de bétonnages ,goudronnage ,les barrages ils étaient la pour servir de motricité aux moulins c’est la qu’il faut vous en soyez bien confiant mais pas en me sortant des inepties que l(‘on ta fais avalées

                • jms dit :

                  Bien sur que le betonage n’aide pas, il faut combattre l’extension urbaine, et pas seulement en bas, mais en haut pour limiter le ruisselement. La lutte contre les inondations c’est une course contre la montre et de multiples solutions peuvent y participer. A niveau de la rivière elle-même, le rôle des barrages n’a bien sur de sens que s’il y a zone de stockage de l’eau en amont.

                  • AS77 dit :

                    tout se que tu décrit c’est se qu’il y a dans le midi de la France on a vu le résultat

                    • AS77 dit :

                      Les Pays-Bas comptent plus de 16 millions d’habitants
                      sur 41 528km², dont un quart situé en dessous du niveau des
                      eaux, avec une côte battue par la mer du Nord à l’estuaire de
                      trois fleuves (Rhin, Escaut, Meuse) : les Pays-Bas ne seraient
                      rien sans leurs ponts et leurs digues. Le quart du territoire se
                      situe sous le niveau de la mer et atteint même moins 6,76
                      mètres, record en Europe. Or, d’après les scientifiques, les
                      terres de très basse altitude (en dessous de 10 mètres)
                      pourraient être très vite affectées par la montée des océans. Le
                      Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat)
                      considère d’ailleurs le delta du Rhin comme l’un des plus
                      vulnérables du monde.
                      Fleuron des travaux de génie hydraulique du plan Delta destiné à lutter contre l’assaut des
                      eaux, le Maeslantkering, immense barrage anti-tempête situé dans le Nieuwe Waterweg, près de
                      Rotterdam, a été inauguré en 1997. Le 9 novembre 2007, pour la première fois de son histoire, ses
                      portes se sont refermées pour lutter contre la violence des intempéries.
                      Pour lutter contre la montée annoncée des océans, les Pays-Bas allient méthodes ancestrales
                      et solutions innovantes. Et se proposent de réapprendre à vivre en harmonie avec l’eau. Si le
                      réchauffement climatique prévu pour les prochaines décennies a bien lieu, les Pays-Bas seront
                      triplement menacés. La montée des océans et la force accrue des tempêtes mettront à rude épreuve
                      le système de barrages et de polders qui maintient au sec le territoire national, déjà en grande partie
                      en dessous du niveau de la mer. En outre, la multiplication des périodes de fortes pluies en Europe
                      provoquera des crues soudaines de la Meuse et du Rhin, qui traversent le pays. Enfin, les Pays-Bas
                      sont de plus en plus bas : des provinces entières, dont le sous-sol est composé de tourbe,
                      s’enfoncent inexorablement.
                      Comme ils ont su le faire dans le passé, les Néerlandais se mobilisent. Le puissant corps des
                      ingénieurs en travaux publics reste fidèle à la grande tradition de lutte systématique contre l’invasion
                      de l’eau : il affirme qu’il suffira de rehausser les digues, de renforcer les barrages et les écluses, de
                      multiplier les stations de pompage et de remblayer les dunes côtières voire de les recouvrir
                      d’asphalte.
                      Face à cette école « classique », des équipes d’architectes, d’urbanistes, d’entrepreneurs et
                      d’élus locaux tentent d’imaginer des solutions innovantes, en rupture avec la tradition : au lieu de
                      mener une guerre sans fin contre l’eau, pourquoi ne pas réapprendre à vivre un peu en harmonie
                      avec elle ?Les partisans de l’approche « naturelle» viennent de remporter une première victoire,
                      avec le lancement d’un grand projet national, qui consistera à élargir les lits de la Meuse et du Rhin
                      en détruisant les digues pour les reconstruire plus loin, puis à raser les talus et les bâtiments risquant
                      de faire goulot d’étranglement en cas de crue. Le projet prévoit aussi la création de « rivières vertes »,
                      4
                      zones à usages multiples qui, selon les périodes, seront tour à tour des prairies, des marécages ou
                      des lacs.
                      Dans les villes, la mise en oeuvre de ces nouveaux principes entraînera des bouleversements
                      encore plus spectaculaires, y compris dans les mentalités. L’un des principaux lieux
                      d’expérimentation sera la splendide cité historique de Dordrecht, construite sur une île fluviale, au
                      confluent de quatre cours d’eau et proche d’un estuaire dans lequel la mer s’engouffre à marée
                      haute. Depuis des années, la ville avait prévu de raser une friche industrielle proche du centre-ville
                      pour créer un nouveau quartier d’habitations et d’activités. Pour tenir compte de la future montée
                      des eaux, la municipalité et la commission des eaux (une instance puissante et respectée, élue au
                      suffrage universel) ont modifié le plan initial et inventé un nouveau concept : le quartier amphibie,
                      où l’eau pourra entrer et sortir sans trop perturber la vie des habitants. Le pourtour du futur quartier
                      sera surélevé grâce à un large talus en arc de cercle, sur lequel on construira des bâtiments
                      classiques. En revanche, le centre sera creusé et transformé en zone inondable capable de stocker
                      l’eau en cas de crue. La grande nouveauté est que cette zone basse sera aussi habitée.
                      Pour cela, la municipalité a demandé à l’entreprise de BTP Dura Vermeer et au cabinet
                      d’architectes britanniques Barker and Coutts de concevoir des maisons d’un genre nouveau.
                      Certaines seront flottantes, construites sur des pontons en bois et en polystyrène enrobé de béton.
                      D’autres seront « amphibies » : leurs pontons seront simplement posés sur le sol en période de
                      basses eaux et se mettront à flotter quand viendront les crues. Il y aura aussi des maisons carrément
                      « inondables » : le rez-de-chaussée sera construit et équipé en matériaux résistants à l’eau et toute
                      l’électricité sera installée près du plafond. De même, les rues et les trottoirs du quartier seront en fait
                      des pontons flottants articulés. Les espaces publics seront parfois des parcs et des esplanades,
                      parfois des lacs et des petits ports de plaisance. La société Dura Veermer a déjà construit un
                      lotissement pilote de cinquante maisons flottantes et amphibies, à Maasbommel. Reste à savoir si le
                      grand public aura envie de s’installer dans ces quartiers aquatiques.
                      D’autres experts militent pour que les Pays-Bas se lancent dans une nouvelle ère de grands
                      travaux, par exemple pour surélever certains polders avec du sable venu du fond de la mer du Nord –
                      une opération impensable dans le passé, mais désormais réalisable grâce à la puissance des engins
                      de terrassement et aux techniques de fertilisation des sols. Adrian Geuze, célèbre architecte et
                      urbaniste de Rotterdam, a conçu un projet encore plus ambitieux : la création, à une trentaine de
                      kilomètres au large des côtes de la Flandre et de la Hollande, de cinq îles artificielles longues et
                      étroites. La plus grande pourrait atteindre 100km de long.
                      Elles seront «dynamiques», c’est-à-dire que
                      leur littoral
                      la source de l’article
                      université de technologie Compiègne

                    • AS77 dit :

                      mourir est un acte naturel détruire un crime

              • jna dit :

                mais il ne faut pas confondre une retenue supplementaire artificielle comme la fausse riviere ou un lac du type Foret d’Orient avec une barrage qui barre le cours primaire de la rivière.
                On t a deja expliqué que le volume retenu par un barrage de moulin est derisoire, l’equivalent de quelques minutes d’eau transportée par la riviere
                C ‘est désespérant …

                • retraitactif dit :

                  Et si on en revenait au PNR en général????
                  ya pas que de la flotte dans un PNR je suppose…
                  :# 🙁

                  • jms dit :

                    Tu as raison c’est totalement hors sujet et ça ne sert qu’à créer des conflits.

                    • retraitactif dit :

                      En réalité qu’apporterait en dehors des subventions dans l’état actuel de notre région le fait d’être PNR sans oublier les contraintes ou obligations éventuelles.
                      faisons l’analyse par postes..
                      :#

                  • AS77 dit :

                    le PNR si les élus style JMS l’avait désiré il y longtemps qu’il serait en place. Mais bien au contraire pour la pluparts ses comme les SAGE cela dérange on ne pourrai défiguré et construire n’importe quoi pour eux se genre d’évolution dans le bon sens c’est comme les soit disant écolos fou une façon d’apeurer certains afin de fausser une image de progrès dans le bon sens
                    . L’eau source de vie naturelle en faible quantité avec une mauvaise répartitions sur la planète donc défendons la .
                    JMS les miracles même à LOURDES ils n’ont pas empêcher l’inondation 😀 alors arrête ton égarement et mais toi dans le bon sens ne joue pas les toutous fidèle tu persévérer en politique sans être un mouton soit plutôt un Bergé 😉

                • jms dit :

                  Je suppose que c’est la tactique pour justifier la démolition de nos barrages que de faire passer ses adversaires pour des idiots. Si tu connaissais le dossier tu saurais que la suppression de la fausse rivière fait partie du projet comme de tous les barrages. Une démolition du patrimoine et des moyens de régulation juste pour des raisons idéologiques.

                  • AS77 dit :

                    inondation sur le taux d’audience du site après des jours de morte plaine ca remonte :-d)

                    • Korie dit :

                      Et voilà ça recommence ! J’en appelle au calme.
                      On peut parler d’un sujet sans pour autant s’exciter.
                      De plus, il serait nécessaire de prendre soin de l’orthographe, certaines phrases ne veulent rien dire ! Un exemple : selon que l’on utilise le articipe passé au lieu de l’infinitif et inversement, une phrase ne veut rien dire du tout !
                      Il m’arrive parfois (je dirais même trop souvent à mon goût) de faire des fautes mais c’est souvent à cause de la précipitation, manque de temps.
                      Il ne sert à rien de faire de longues tirades, bourrées de fautes, qui du coup nous découragent et qu’on ne lit finalement pas.
                      L’audience du site n’est pas plus en hausse avec ce genre de polémique. Si l’on aime ce style, on allume la télé et nos politiques nous en servent à grandes pelletées.
                      Le PNR c’est compliqué, pour ma part je me garde bien de commenter le sujet. Je lis les uns et les autres (ce qui est possible de lire car là c’est pas évident…).
                      Si j’osais un avis, je dirais que jms doit sans doute connaître le sujet mieux que nous. Sans pour autant être un « mouton » (vous pensez bien que ça ne risque pas d’être mon cas ! ;-)) je vous remercie de bien vouloir nous éclairer, dans la mesure de votre possible, sans nous emmener dans vos sacs de noeuds dont on ne comprend rien.

                    • jms dit :

                      Jna est un coquille. Il a provoqué une guerre fratricide en divergent sur un sujet annexe.
                      as77 connaît bien le sujet mais il est dans ses certitudes.
                      J’ai découvert le sujet il y a quelques mois et toujours méfiant vis à vis des solutions toutes faites et politiquement correctes j’ai de plus en plus de convictions que la continuité écologique c’est du pipo. De plus en plus de voix et de témoignages s’élèvent contre. Pour sortir de cette discussion auquel personne ne comprend il faudra refaire un article un jour le sujet à la lumière des dernieres évolutions et sans passion. Et si on revenait au PNR !

                    • jms dit :

                      Coquin et non coquille. C’est une coquille!

  2. retraitactif dit :

    Si je comprend bien la carte (floue), toute une zone de part et d’autre de la RD 934 (dont Crécy) est hors PNR :paf

  3. jms dit :

    Les élus de la vallée M Vaudescal en tête ne sont pas décidés à accepter cette situation et vont passer à l’action : http://www.lepaysbriard.fr/le-projet-de-parc-naturel-regional-doit-etre-revu-16159/ Affaire à suivre. …

  4. retraitactif dit :

    Il est vraiment dommage que des articles ayant déchaîné « autrefois » des échanges animés voire passionnés sur ce site soient si peu commentés maintenant si ce n’est par les »piliers » de l’association « les brionautes » qui est le soutien financier du site, (ne l’oublions pas .);
    je cite à la volée quelques uns de ces articles:
    le PNR
    le péage
    le (les) barreaux
    l’urbanisation
    disney
    village nature
    Etc…
    je laisse le soin aux membres du bureau de rappeler pour info certaines valeurs telles que :
    nombre de lectures-de pseudo…Etc.
    alors que les blogs des médias à couverture nationale regorgent de commentaires de toutes sortes et toutes proportions gardées, il n’est pas normal que le notre (tous les lecteurs) soit si peu fourni.
    C’est décevant et décourageant…
    🙁 😐

    • AS77 dit :

      nous sommes dans une époque ou le voyeurisme et la jalousie ont plus d’importance que l’intelligence.
      Voyeurisme — Wikipédia
      fr.wikipedia.org/wiki/Voyeurisme En cache
      Le voyeurisme est un terme à connotation morale, qui décrit un comportement ou une tendance « voyeuriste », c’est-à-dire basé sur l’attirance à observer l …
      merveilleux monde virtuel ?
      😉

    • Korie dit :

      Retraitactif, soit tu fais don soit tu vends.
      Il faut se dire qu’aujourd’hui, gratuit est un mot jouissif.
      « Pourquoi faire ce que les autres peuvent faire à ta place ? »
      Les gens ne sentent concernés qu’à partir du moment où ils le sont vraiment. Attendons qu’il soit trop tard et là, tout le monde criera au scandale.
      Tu as aussi une autre option : ça n’interesse pas les gens, ils s’en fichent.
      C’est ça la démocratie. Du moins celle d’aujourd’hui.
      Et puis il faudra du temps pour que les gens « osent » s’exprimer, la peur d’être « incendié » est toujours présente.
      L’ambiance s’est apaisée (on sent qu’il faudrait peu de choses pour que les braises reprennent mais nous veillons à ce qu’elles ne prennent pas), laissons faire le temps.
      Et puis, si les gens veulent seulement lire, c’est pas gênant, c’est leur droit.

  5. jms dit :

    Pour la révision de la carte, une pétition est en ligne : http://www.pnrbrie2morin.fr/

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