A la recherche des poilus
La Municipalité de Crécy-la-Chapelle souhaite rendre hommage à « ses poilus » qui se sont battus pour que nous restions Français.
Vous êtes des descendants de soldats qui ont été mobilisés, de ceux qui figurent sur les monuments aux morts de la commune et êtes en possession de photographies d’ancêtres en « poilu », de témoignages, de lettres… vous pouvez nous les transmettre. Ces documents nous permettront d’enrichir l’exposition en préparation. Si vous souhaitez leur rendre hommage, merci de vous faire connaître à l’accueil de la mairie de Crécy-la-Chapelle ou par courriel à communication@crecylachapelle.eu (à l’attention de Dominique Doutrelant). Pour qu’ils ne soient pas oubliés ! Cette exposition aura lieu salle Altmann, le 11 novembre 2014. |
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Faut pas les oublier. Ces hommes courageux morts au combat ou quelques années plus tard, sont notre histoire à tous.
Un film à voir absolument : « joyeux Noël » qui relate le combat de ces hommes et leur grande fraternité, entre-eux mais aussi avec l’ennemi lors d’une courte trève, celle de Noêl. Film magnifique.
Les élèves du collège de Crécy ont fait des exposés sur cette guerre et ont visité le Musée de la Grande Guerre à Meaux. Meaux qui fut témoin de cette période, les taxis de la Marne.
Ne pas oublier, c’est important.
Voici le résumé de ce superbe film français, réalisé par Christian Carion, sorti en 2005. Ce film a pour sujet la Trêve de Noël de 1914 lors de la Première Guerre mondiale :
« Pendant l’été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d’êtres humains dans son tourbillon.
Nikolaus Sprink doit renoncer à une carrière prestigieuse de ténor à l’Opéra de Berlin et, de plus, ne ne peut plus voir et fréquenter Anna Sörensen, sa partenaire et compagne.
Pour suivre le jeune Jonathan qui s’est engagé, et qui l’aidait beaucoup dans son église, le prêtre catholique Palmer quitte l’Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France.
Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l’ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui taraude toutes les nuits du lieutenant Audebert.
Le temps passant, la neige s’installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. Car c’est l’impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d’en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l’école aussi bien qu’à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C’est alors que l’on assiste à une trêve passagère, « au grand dam de leurs états-majors1 », entre les trois camps, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d’attachement, les chefs de ces trois camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. Une histoire réelle oubliée de l’Histoire elle-même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord, près de Lille, actuellement un parc et un centre équestre nommé l’AHFRA. »
Source Wikipédia
vu au ciné à la télé..partout 🙁
C’est une excellente occasion d’évoquer ce film qui raconte une très belle histoire vraie :=!
histoire vraie???? encore aurait-il fallu retrouver des survivants de cette boucherie qui a du certainement avoir lieu dès le lendemain.
c’est un peu du même tabac que « un dimanche de fiancailles ».
dfans ces films les producteurs et metteurs en scène sont bien obligés d’y mettre du romantisme.
j’ai toujours de gros doutes sur les « vérités » montrées dans ces films et aussi sur la réalité de l’existence de cette trève de Noel. :#
Je ne sais pas si cette histoire est vraie, mais en voici une que me racontait mon grand-père, histoire qu’il a vécue au front et qui est un peu sur le même thème :
Cela se passait sur le front de l’est, français et allemands avaient sympathisé et avaient pris l’habitude de festoyer ensemble régulièrement en laissant les armes de côté. Un jour, l’état-major allemand décida de déplacer les régiments. Le soir, au rendez-vous habituel les français se trouvèrent face à des inconnus qui n’étaient pas au courant des petits arragements et les français se firent décimer.
Et donc ? Il ne t’as pas plu ce film ? Tout le monde ne l’a peut-être pas vu. La trêve dont il est question, je n’en n’avais jamais entendu parlé avant d’avoir vu ce film. A voir et à revoir.
oui, je me souviens avoir fait un commentaire sur ce film, dans le forum , du temps ou nous avions initié une rubrique sur les spectacles… certains sur le site avait qualifié cette histoire de fraternisation de marginale, ajoutant que la plupart des soldats étaient des patriotes … un peu triste !
A propos du forum, en faisant quelques recherches, j’ai retrouvé ce lien qu’on avait évoqué alors, il s’agit d’une histoire qui se passe pendant la guerre de 1914 à Couilly, c’est en anglais : http://www.gutenberg.org/cache/epub/11947/pg11947.html