Méoussédon cette église ?

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7 réponses

  1. jlv dit :

    il me semble reconnaître l’église de coutevroult avec son clocher 4 pans et son entrée en « chapeau » assez caractéristique.
    Mais il y en a peut etre d’autres comme ça.

    • jms dit :

      Pour recherche, s’il s’agit bien d’une église du pays créçois, je vous invite à aller sur le site de l’office du tourisme il y a une galerie de photos que j’avais complétée il y a 2 ans.
      Il y manque encore les nouvelles communes comme Couilly, à alimenter par les intéressés ou par d’autres …

    • IndianaJones dit :

      :-d) Bravo à Jlv qui a l’oeil !
      C’est bien l’église Saint Jean-Baptiste de Coutevroult, gravée par André Dunoyer de Ségonzac.
      Des photos suivent pour confirmer l’endroit.

      Si j’ai acheté cette matrice il y a quelques semaines, c’est parce que j’avais reconnu l’endroit, mais je n’étais pas sûr de mon coup quant à son auteur.
      J’ai fait des recherches, demandé à Jean-Jacques s’il avait des infos sur Coutevroult, contacté le musée pour leur exposer mes théories, car je ne trouvais nulle part l’épreuve qui aurait pu en être tirée.

      En préparant l’article, je me suis dit qu’une photo actuelle permettrait de mieux se rendre compte et là, oh surprise ! je tombe sur le panneau de la Vallée des Peintres, avec la gravure en question et l’église de Coutevroult… à l’envers bien sûr !

      Merci aux concepteurs de ces panneaux, passionnés membres de l’OT si je ne m’abuse, qui ont réussi entre autres à mettre la main sur cette gravure et qui ont fait du super boulot.

      Jms, belles photos ! 😉

  2. jna dit :

    merci Indiana pour ces informations et cet article qui fait honneur a l’esprit des brionautes
    a propos des tirages à l’envers, cela veut-il dire que les dessinateurs etaient un peu paresseux et cherchaient a se simplifier la tache.

    • Korie dit :

      :-d)
      Cependant les Brionautes s’intéressent à beaucoup de choses et pas seulement à l’art.

      • IndianaJones dit :

        C’est pas tant une histoire d’art, mais plutôt de patrimoine…

        Or il se trouve que depuis l’aube des temps, ce sont les écrits qui restent. Sous des formes diverses et variées, peintures (rupestres, aborigènes, mais il y en a pas trop par ici !), livres, gravures.

        Et je ne parle pas des pièces de monnaie, décorations, ornements vestimentaires, armes, outils qui pullulent sous nos pieds et nous éclairent sur la vie passée de la cité.
        Il n’y a pas de lobbying artistique ou antiquaire de ma part, mais un devoir de mémoire envers ces objets ou images, témoins de notre passé.
        Parfois, grâce à ces artistes, on retrouve des lieux oubliés comme François-Richard de Montholon avec la roche de Serbonne, ou ce peintre anonyme et les prairies de la Chapelle, qu’on ne verra jamais plus hormis sur des cartes postales anciennes.
        Et parler de notre région en ces termes, ça donnera peut-être l’envie à certains d’y venir, et ça c’est bon pour le tourisme.

    • IndianaJones dit :

      On peut avoir du talent mais être néanmoins feignant, effectivement… 😎

      Concernant Dunoyer de Ségonzac, toutes ses productions étaient faites « sur le motif », d’après nature. Que ce soit en peinture, en dessin ou comme ici, en gravure. Ceci m’a été confirmé par Mr Vidal, conservateur du musée et artiste référencé qui l’a cotoyé dans sa jeunesse, et c’est aussi mentionné sur le panneau de la Vallée des Peintres. En gros, c’est la vie en extérieur, l’authenticité naturelle qu’il aimait et qui de surcroît l’inspirait.

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