La Chapelle sur Crécy, au temps des prairies
Si la période hivernale atoujours été propice aux crues des fleuves et rivières, notre société dite « moderne » ena sous estimé les conséquences au niveauhumain et financier, sous prétexte que de tels évènements restentexceptionnels… Dommages collatéraux acceptables en quelque sorte.
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Depuis 1950, le paysage de la vallée s’est retrouvé modifié avec lapermission d’installer des « baraques » de week-end (qui deviendrontpour la plupart des maisons principales) le long des berges et leurappropriation illégale pour un usage strictement privé. Aujourd’hui encore, les élus semblent ne plus vouloirfaire respecter ce droit de passage des pêcheurs et promeneurs. Mais heureusement, la « Vallée despeintres » nous a légué quelques reliques qui nous permettent deredécouvrir les pratiques écologiquesdes milieux humides et une certaine « sagesse » malgré l’ère del’industrialisation des moulins du Grand Morin.
Je vous propose de découvrir cette petite œuvre. Une huile sur carton dudébut du 20e siècle… Cette œuvre n’est pas signée, dommage… mais elle reste intéressante carcette vue de La Chapelle n’est plus possible aujourd’hui. Enfin, plus commeça ! Intéressante aussi, sur ce point, car elle relie le patrimoine culturelau patrimoine écologique, on y aperçoit des prairies. Ces prairies, dites « humides » surtout en périodes de crues,avaient un rôle écologique bien particulier. Elles se transformaient en« zone d’étale » pour la rivière… une sorte de retenue d’eaunaturelle. De plus, ces crues apportentdes sédiments non négligeables pour les végétaux. Depuis bien fort longtemps,ces parcelles étaient destinées à l’agriculture. Elles fournissaient de richespâtures aux vaches laitières tout en contribuant à la gastronomie locale… leBrie de Meaux, le Coulommiers. Sur ce détail agrandi d’une CPA affranchie le 24 avril1910, issue de la collection de jna, nous retrouvons à peu près lareprésentation proposée par notre artiste inconnu. Même à l’ère de l’industrialisation des moulins « usines », avantl’arrivée de la fée électricité, la « sagesse » locale s’est efforcéede conserver ces prairies, et de ne pas construire à proximité du lit de larivière. De nos jours, en été, nous pouvonsencore voir quelques vaches brouter dans les prés Saint-Michel à Voulangis. Enface, côté Crécy-La-Chapelle, enclavés entre le Champ de Foire, la scierieet la zone d’activité commerciale,quelques chevaux paissent paisiblement dans les prairies de l’Abbesse. Attention ! Mais ces parcelles ne servaient pas qu’à l’élevage. La culture maraîchèresur de petites parcelles, où celle de plantes gourmandes en eau, était courantedepuis l’antiquité. Bon d’accord, Le Grand-Morin n’est pas le Nil… mais, lesromains installés dans le « Croissant » avaient des champs encultures le long de la rivière. Probablement des lentilles, souvent proposéesau menu des légionnaires. Plus près de nous, la Grande Catherine de Médicis eut le caprice de fairepousser des melons au couvent des Minimes. L’histoire ne nous dit pas s’il fauty voir une allusion subliminale. En tout cas, l’histoire nous apprend qu’ilsétaient de bons précurseurs pour le développement durable. Mais ça, commedirait la publicité : « Ça, c’était avant ! » Oui, avant l’apparition des moulins, leur multiplication, avant latransformation de la rivière en canal navigable et surtout depuis le 19esiècle… avant le rehaussement desbarrages et l’utilisation intempestive de l’ouverture des vannages, entraînantun fort débit … comme quand on tire une chasse d’eau. Le frai des poissons déposé sur le haut desquelques herbes poussant encore le long des rives se retrouve desséché. Pasfacile d’ailleurs, pour les végétaux de se maintenir aux berges qui s’érodentsous les forts débits, à chaque ouverture de vannes. Il en est de même pourleurs graines. Les plantes des milieux humides ne sont pas toutes aquatiques.Le fait de jouer au « yoyo » avec le niveau de la rivière noie toutsimplement les graines. La germination de certains végétaux ne peut pas sefaire en apnée. Pourtant, ce phénomène de « yoyo », pour maintenirplus ou moins le niveau d’eau du Grand Morin, n’est plus utile depuis bienlongtemps. Plus de navigation, plus de roues à aubes en fonctionnement, lesdéversoirs ne sont plus entretenus. La plantation d’arbres au bord de l’eau n’empêchera pas cette érosiongrandissante au fil des ans… juste elle indisposera un peu plus les pêcheursaffiliés aux Associations de Promotion et de Protection des Milieux Aquatique(AAPPMA), en réduisant l’espace des postes de pêche et la libre circulationpédestre. Or, ces associations, grâce à leurs adhérents, financent aussi laprotection des milieux aquatiques et le maintien des populations depoissons avec l’apport annuel d’alevinsde diverses espèces. Malheureusement, cen’est pas à cause des pêcheurs franciliens trop nombreux qui apprécient notrevallée que les associations de pêche alevinent. C’est bien dû au déclin despopulations piscicoles qui perdure depuis le 19e siècle… à cause deces vannes. Mais revenons à nos moutons… et prairies disparues. Voici une prise de vuede 2012, se rapprochant de cette huile sur carton. C’est au gymnase JeanPerrichon, le long du terrain de foot que vous pouvez encore apercevoir leclocher de la Collégiale. Depuis 1970, les élus du coin ont semblé préférer les abus privés, àl’intérêt général… Pourquoi ? On s’en fiche à vrai dire aujourd’hui. Etrappelons-le, seuls les équipements collectifs sont censés être construitsmaintenant sur ces zones. Mais on aimerait bien que nos élus fassent enfinappliquer la loi relative au droit de passage le long des berges sur lesparcelles privées, pour l’intérêt de tous… Et de préférence sans chien sur leterrain, qui risquerait de mordre les postérieurs des utilisateurs de ce droit. Alors que choisir ? Continuer à faire la pluie et le beau temps enentravant le cours écologique du Grand Morin ou lui permettre sa continuiténaturelle en le réaménageant comme le préconise l’Union Européenne. N’oublionspas que l’Europe subventionne aussi beaucoup de projets sur l’environnement. LePNR de la brie et des deux Morins pourrait en faire partie… peut-être, dans unavenir proche. Sources : |
(article vu 12 fois)
Très bon commentaire, que des vérités et c’est se même exemple que j’emplois a chaque réunions ou bien toutes autres commissions sur lesquelles je travail et démontre les erreurs et autres arrangement de certains élus de tous nos petits villages et don tous les jours ont vois les dégâts plus la détresse des gens aux journaux télévisés digues ,merlons remblais zones industrielles sur terrains remblayés en zones inondables quand le sage des deux Morin sera acté les élus devront entreprendre la restauration de leurs erreurs :-e)
ton commentaire est en plein dans la dérive actuelle et récurrente de la folie destructrice pour tout.
Sous couvert des fameux « droits de l’homme etc.. »on se permet n’importe quoi dans tous les domaines.
ce comportement est bien ancré dans la mentalité française ou on se fout de tout.
Paradoxalement la France est probablement le seul pays au monde à disposer d’autant de lois et réglementations tous azimuts et en même temps d’en faire un repoussoir.
Comme de plus les moyens de contrôle ne sont pas à la hauteur de ce trop plein.
On laisse faire et on assiste aux désastres successifs.
Alors le dilemme est le suivant..Comme on a laissé faire et que ça continue, faudrait-il réagir lourdement par exemple détruire tout ce qui n’est pas réglementaire comme les constructions sans permis, les clotures normalement interdites?
Si cela se faisait,le paysage en deviendrait tout chamboulé tellement il y a eu de »coulage ».
Que faire?
AS 77 critique souvent le laxisme des élus mais même quand des décisions sont prises, elles ne sont pas respectées.
Que faire?
Changer les mentalités?…….Mission impossible en France.
🙁
certains élus on compris avec intelligence et honnêteté et commence à changer leurs façons de faire je les en remercies et salut leurs courage .la continuité écologique est l’avenir du dévellopement touristique de nos villages
bel article Indi !
Je ne suis pas sur que le PNR puisse vraiment aidé à la restauration de la continuité écologique ou encore permettre de réouvrir tous les chemins d’accès le long de la rivière sur sa partie domaniale.
Difficiile de faire confiance à ceux qui vont présider aux instances du PNR et qui ont autorisé tout et n.importe quoi auparavant
Si l »Europe préconise certaines pratiques, elle doit être à même d’octroyer les subventions qui vont avec.
Le PNR est alors à même par le poids qu’il peut représenter en termes de taille de territoire et d’acteurs concernés, de monter des dossiers argumentés pour obtenir ces subventions, et pour lancer ces projets du fait de ses moyens techniques. Ce qu’aucune commune ou communauté de communes ne pourrait faire toute seule.
Je suis aussi de cet avis. Le PNR regrouperait environ 130 communes. C’est déjà un bon argument pour déposer un dossier de demande de subventions à l’Union Européenne. Il existe des « enveloppes » non utilisées prévues pour la protection de l’environnement. Je ne vois pas pourquoi nous devrions nous en priver.
Certains projets d’équipements de postes d’observations de la faune et la flore peuvent être pris en charge par les partenaires incontournables au PNR. Les Offices Nationaux des Fôrets et de La Chasse (ONF, ONC), les fédérations de chasse et de pêche, les associations de protection de l’environnement. De même, il doit exister des « enveloppes » au niveau du département et de la région.
Pour le droit de passage le long des berges, les élus locaux ont obligation de faire respecter la loi et de la rappeler aux contrevenants, ou ils peuvent transférer cette compétence à la CCPC. Comme ça, les élus ne seront pas inquiétés par leurs administrés, vu que ce serait une décision collective.
Et la liaison douce dans la vallée aurait tout son attrait.
Nous avons presque tous les ingrédients pour réaliser le PNR. Nous avons de beaux paysages à conserver et à faire découvrir, des projets écologiques, des subventions pour leurs financements, des partenariats constructifs à réaliser… oui, presque tous les ingrédients.
Mais l’ingrédient principal qui fait défaut et qui entrave ce grand projet d’intérêt général de cadre de vie, surtout aux portes de Disney et du Village-Nature, c’est la volonté de certains de nos élus.
je l’ai deja écrit au moins dix fois dans des articles et des commentaires, la restauration de la continuité écologique du Grand Morin pourrait effectivement constituer un défi à relever pour le PNR. J’irais même plus loin, je verrais bien aussi comme le suggère Indi dans son article de s’attaquer à la restauration des prairies humides, de tous ces paturages de fonds de vallées (GM et ses affluents) qui ont été transformés en champs de céréales. Une restauration qui passerait du coup par une nouvelle pratique de l’élevage, la promotion du Brie AOC … le retour des meumeus dans la région …
La ou je doute du PNR c’est que les élus ne sont pas très motivés par ces questions qu’ils ne perçoivent que comme des contraintes imposées par l’Europe et ce d’autant que certains très roués, comme tu l’écris, essaient de nous faire prendre des vessies pour des lanternes en expliquant que le rôle des vannages est essentiel à la bonne gestion des risques de crues (argument électoral). Pour supprimer les crues, il est évident qu’il commencer par supprimer les barrages.
Si certains sont intéressés, je pense que mon fils ne verra aucun pb çà ce que je vous transmette le travail qu’il a réalisé sur ce sujet l’an dernier.
Bonjour,
comme je l’ai deja écrit au moins 10 fois également, il faut être clair sur ce qu’on entend par continuité écologique des rivières. Faire des passes à poisson me semble préférable à la destruction des barrages qui régulent les rivières et nous permet d’éviter les inondations catastrophiques qui ne manqueraient pas de survenir sans cette régulation. car c’est bien ce qui me gêne dans les positionnements radicaux qui visent à éradiquer les barrages des rivières : on occulte la dimension humaine du problème.
Je vous suggère d’aller expliquer à des personnes inondées par la rivière lord d’un apéro que c’est un argument électoral… à mon avis, vous n’aurez pas le temps d’attaquer les cahuetes !
Quant au PNR, je l’ai écrit, oui les rivières doivent bien être un des piliers du projet de territoire.
JLV
cahuetes !
c’est quoi? 😉
C’est sur que notre ami jna qui habite sur les hauteurs n’a rien à craindre des inondations. S’il était dans mon cas, il se poserait la question des risques encourus à supprimer tous les moyens de régulation.
jna n’a rien à craindre ni des inondations, ni des caméras ! 😉
ah elle les aime les caméras korie !
Les cahuetes, c’est les cacahuetes bien sûr (le truc que des fois on grignote à l’apéro quoi ! )
Serge Gainsbourg – L’ami caouette,,,, 😉
trop d’argent ,toujours en vacances ,les pauvres 🙁
il est bien ton cas une maison surélevée d’un mètre plus asse éloigné de la rivière ,rien redire sauf ,qu’il ne faut pas aménager le dessous de la maison puisque qu’il est prévue pour ne pas inonder la partie habitable 😉
de quel moyen de régulation parlez-vous ?
Avec de faux argument on tient le monde dans l’ignorance, les gens inonder avec ou sans barrages lors du super crue le résultat sera le même et on mettra en avant les faux arguments des maires et devant leurs responsabilités avec des demandes de dédommagement sur leurs bien personnels.
Les rivières sans barrages avec des aménagements adéquates et certaines modifications et garder un ou deux barrages ou seuil aménagés fera l’affaire .et pour le P NR quand tu traverse certains villages et que tu vois le massacre des paysages et villages (maisons coupé en trois voiture sur les trottoirs aucune construction jolie merci Messieurs les Maires d’avoir massacrés ses villages et paysages .le PNR cela les obligerais a respecter et non dénaturés moins d’habitants la mandature est plus maigre
Cher jlv,
Je suis d’accord pour participer avec vous à un apéro géant sur les berges du Morin avec les riverains. Nous verrons bien si votre « amendement cacahuète » de la gestion des eaux par les vannages aura plus d’impact que cette petite démonstration du genre « c’est pas sorcier » pour la compréhension de tous.
D’ailleurs, je vous invite à faire cette expérience :
Prenez deux éviers, l’un rempli à moitié, l’autre au quart. La seule évacuation possible est le trop plein. vous savez, le petit trou en haut. Ouvrez grand le robinet.
D’après vous, lequel de ces deux éviers va déborder le premier ?
Alors, oui, je préfère dire la vérité aux populations, plutôt que de leur faire croire encore, à leurs äges, au père Noêl !
Par contre, je n’ai jamais dit qu’il fallait « tout » éradiquer, juste permettre la continuité écologique au Grand Morin. Des études ont été faites pour proposer des aménagements allant dans ce sens.
Cela ne coûte rien, mis à part un peu de temps, de s’y intéresser. N’oublions pas que l’europe peut financer ces aménagements.
Eh oui, chers élus, c’est comme pour les agriculteurs…pour réaliser certains projets, il faut se lancer à la chasse à la « prime ». 😉
Tiens au fait, peut-être avez-vous deja des informations à ce sujet, mais les 25 et 26 mars 2013, nous aurons le plaisir d’accueillir au nom du COPIL du projet de PNR, des rapporteurs
pour le projet de Parc Naturel Régional de la Brie et des Deux Morin. Deux journées hyper importantes qui font partie de la démarche officielle et qui permettra à l’issue de savoir si notre territoire a des chances au bout du compte d’être labellisé par la Fédération. Ce sond 2 choses pour faire découvrir à ces rapporteurs notre territoire au travers de parcours sur le territoire.
Je ne manquerai pas de vous en dire plus quand j’aurai des informations sur ce sujet qui nous tient à coeur.
JLV
AS77 et RA font le même lapsus en parlant de commentaire, alors qu’il s’agit d’un article. Mais cela se comprend, car il s’agit bien d’un article « commentaire » dans le sens « subjectif », et qui défend un point de vue et apporte des éléments de critique.
Sur l’accès aux berges du Morin, je crois qu’il coulera beaucoup d’eau sous les ponts du Morin avant d’être conforme à la loi ! N’est-ce pas trop tard ?
Quant à la continuité écologique, sujet déjà abordé, j’ai compris qu’il y avait plusieurs points de vue opposés, et comme il se doit, nous ne serions nous contenter d’une pensée unique.
lapsus ..lapsus,reste poli tout de même 🙂 😉
Effectivement, c’est un article engagé, parce qu’il n’y a aucun argument valable pour justifier cette non continuité écologique de la rivière.
Quels sont les intérêts à conserver ces ouvrages non entretenus ?
Qui doit payer pour son entretien ?
Les collectivités par nos impôts ?
Pour quelles raisons ? Pour des moulins transformés en habitations au profit de particuliers propriétaires ou bien de locataires ?
En tout cas, ce ne sera jamais pour promouvoir le patrimoine industriel des moulins du 19e siecle. Il n’y en a plus aucun en état de fonctionnement. Ils ont tous été transformés et ne sont pas visitables. Intérêt historique et patrimonial inexistant. Ce ne sont plus que des boules de Noël… Ça fait juste joli dans le décor.
C’est comme jouer avec tous ces vannages. Cela sert à quoi de nos jours ?
Mis à part faire croire aux populations que le Père Nöel existe et qu’il gère les crues dûes aux fortes précipitations hivernales, avec le risque zéro dommage collatéral.
J’imagine d’ailleurs, que c’est pour cette même raison que l’on a pû observer la vanne du pont du Marché à Crécy, complètement immergée pendant plusieurs jours il y a maintenant deux semaines… juste après le dernier épisode neigeux.
Je ne suis pas persuadé que ce soit un nouveau moyen de conservation des vannes. Je ne vois pas la différence entre laisser immergé cette vanne quand le Grand Morin atteint son lit majeur, ou de la voir ouverte… hors d’eau !
Alors, à quoi ça sert de jouer avec ?
Par contre, j’ai oublié un autre argument positif de cette continuité écologique, en faveur de mes « collègues » archéologues et historiens subaquatiques de La Tour aux Saints de Crécy.
Moins d’eau dans le Grand Morin, leurs permettrait de faire plus de prospections durant leur saison de fouille. Et de proposer plus de lieux de fouille pour des stages initiatiques dans un niveau d’eau inférieur à 70cm.
Cela faciliterait les recherches pour trouver l’emplacement du pont jeté qui reliait Saint-Martin à la Collégiale.
J’ai bien encore un argumentaire allant dans ce sens lié au projet du Pays Créçois. Les chemins ruraux… et pour leur permettre vraiment une continuité d’intérêt écologique, le rétablissement des passage à gué 😀
le niveau du grand Morin était plus bas de 1mètre il n’y a pas si longtemps un témoin on voit encore à certains endroit des pontons immergés
ils vont avoir soif tes brochets serge ! 🙂
avec mon ami jean pierre on va s’associer pour la continuité écologique et comme le maire de sa commune est avec les pêcheurs on va faire avancer les choses 😉
vous savez que vous êtes les bienvenus !
Je me permets aussi de rebondir sur ce qui m’a frappé entre cette représentation artistique de La Chapelle et la prise de vue actuelle.
Quel est l’avenir de ce paysage briard ?
Devons-nous rajouter en arrière plan de l’aquarelle de la Collégiale, en vignette en haut à gauche, un pont de béton ?
Ou devons-nous oeuvrer vers l’inscription de ce bijou archithectural et son paysage environnant au sein du Pays Créçois à l’UNESCO ?
Cette organisation finance la conservation du patrimoine mais aussi la conservation des paysages, au niveau mondial et pour l’humanité.
C’est bon pour le développement économique et surtout touristique. Même si Crécy La Chapelle n’est pas comparable à Provins, la Collégiale sur le Croissant n’en est pas moins unique.