Le projet de territoire – 4 – le volet agricole

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25 réponses

  1. retraitactif dit :

    c’est bien tout ça et ambitieux, dommage que ces bonnes idées tombent au moment ou les dotations de l’état aux collectivités locales vont prendre un coup de rabot.
    Il ne faudra compter que sur nous memes (les contribuables) pour les financer par les taxes locales et foncières et autres.
    AI…AIE…AIE 🙁

    • jms dit :

      Le financement de tous ces projets inclue des subventions (je ne parle pas des dotations), on ne sait pas faire autrement. Même si on entend parler de réductions les robinets ne sont pas coupés pour autant.

      • retraitactif dit :

        dotations et subventions ne sont-elles pas issues en amont du même porte-monnaie :#

        • jms dit :

          Les dotations proviennent de l’état et vont aux communes pour équilibrer leurs comptes.
          Les subventions c’est plutôt le conseil général, régional, …
          C’est toujours de l’argent public. Heureusement qu’il y a les commandes de l’état et des collectivités locales pour faire donner du travail à nos entreprises et investir pour notre avenir.

          • retraitactif dit :

            on tourne en rond comme d’ailleurs en général en France on pique dans la poche de pierre pour mettre dans la poche de paul. :-d)

            • jms dit :

              Quelles sont les alternatives alors ?

              – supprimer les impôts ? cela veut dire plus du tout de secteur public, plus d’équipements publics. tout est privatisé, il n’y a plus de solidarité, tout acte devient payant, y compris marcher sur un trottoir (nécessairement privé).

              – supprimer les subventions ? les systèmes d’impôts étant nécessairement injustes, les habitants de communes riches seraient sur-équipés et les autres n’auraient rien. Pour caricaturer, tu imagines une route qui s’arrête à la frontière de la commune riche.
              Le système actuel de péréquation permet de ré-équilibrer un minimum. Quant aux subventions elles permettent de réaliser des projets à ceux qui ont des idées, et ça c’est plutôt bien. Il faut savoir que de nos jours on n’accorde plus une subvention y compris à une association pour un simple besoin de fonctionnement. Il faut justifier, monter des dossiers, démontrer qu’on apporte un plus aux populations.

  2. jna dit :

    pour en revenir au vrai sujet de l’article (et pas l’éternel refrain du on paie trop d’impoits) j’ai trouvé l’action en faveur de la filière des semences de plantes mellifères tès intéressante.
    Pour autant je ne savais pas ou plus ce qu’était une plante mellifère !
    jlv aurait pu nous l’expliquer, mais bon j’ai cherché sur wiki et voici une explixation :
    « Les plantes mellifères produisent des substances récoltées par les insectes butineurs et oiseaux nectarivores pour être transformées en miel. Beaucoup de plantes sont mellifères, mais seulement une partie peut être butinée par les abeilles domestiques, du fait de leur morphologie (encombrement du corps, longueur de la trompe…).
    L’apiculture classe une plante comme mellifère lorsque celle-ci est exploitable par l’abeille domestique. »

    c’est plus clair maintenant. Vive les abeilles. 😛

  3. jna dit :

    Pour ce qui est de l’adaptation des voies de circulation aux engins agricoles, on se retrouve dans la problématique de la poule et de l’Oeuf.
    Ce sujet tend plutôt à nous faire sourire.
    Sont-ce les voies de circulation qui sont inadaptées, ou les matériels qui en devenant de plus en plus gros posent problème. Je ne serais pas étonné que dans la vallée bleue on prenne le problème à l’envers, d’une façon purement idéologique et que l’on réfléchisse déjà à un élargissement des voies de circulation. Une bonne occasion de ne pas dépenser inutilement les fonds publics.

    • jms dit :

      La CCPC n’a aucun pouvoir sur la politique des constructeurs d’engins agricoles essentiellement étrangers en matière de dimensionnement de leurs produits.
      Par contre elle peut en avoir sur les communes en matière de recommandations dans l’élaboration des aménagements de voirie.
      C’est pas de l’idéologie, c’est du réalisme.

      • jna dit :

        Ca me fait ppenser au barreau
        S’il y a plus de voitures (on n’y peut rien) on prévoit des routes, c’est du réalisme et pas de l’odéologie

      • jna dit :

        L’utilisationd’engins toujours plus gros est un choix écinomique guidé par la recherche de profits toujours plus impoortants, au mépris e notre environnement (voire aussi l’utilisation des traitements qui déciment les abeilles dont nous parlions plus haut) et ce d’autant plus facilement que le financement de ces engions est largement assuré par les contribuables à travers la politique agricole commune de l’Europe.

        • jms dit :

          C’est pas faux, mais que proposes-tu pour y remédier ?
          Pour revenir au sujet, repenser même modestement les axes de développements de l’agriculture locale peut sûrement mieux y contribuer que des discours idéologiques rabâchés.

      • IndianaJones dit :

        Le réalisme serait dans un premier temps de restaurer la continuité écologique du Grand Morin. Puis, la réabilitation de passage à gué pour les engins agricoles.
        En plus, ça pourrait intéresser les propriétaires de 4×4, les centres équestres,… c’est bien pour le tourisme.

        • jms dit :

          Le sujet polémique que tu cites n’est pas encore mur il me semble pour arriver au programme de la CCPC, en supposant qu’il créé l’unanimité.
          Le passage à gué pour les engins agricoles, c’était valable du temps des charrettes relativement légères et dont la mécanique ne craignait de prendre l’eau, mais vu la taille de ceux de maintenant, je ne sais pas ce que cela donnerait.

          • IndianaJones dit :

            Ce n’est pas la continuité écologique du Grand Morin qui est polémiqiue dans ce cas, mais ce programme soi-disant « écologique » et de developpement économique durable. Le pays créçois a 20 ans de retard dans ce domaine. Jna a raison… la vallée bleue est peut-être trop mature pour envisager des voies de circulations naturelles… donc construisons de nouveaux ponts et interdisons tous stationnements de véhicules dans les villages pour permettre la traversée sans encombre de ces gros engins.
            Les engins agricoles sont soumis à rude épreuve dans les champs. Et vu leur hauteur, il y a de la marge avant de noyer le moteur ! Ce ne sont pas des « concordes », bien au contraire.
            Le seul risque pour ces engins, c’est de nettoyer leurs pneus et chassis.

        • AS77 dit :

          indiana profife du mariage pour tous pour nous proposer des passages pour tracteurs gays sacré indiana

  4. jna dit :

    Peut-on m’expliquer le rapport entre l’inscription des chemins de terre au Plan départemental de … et la contribution à la continuité écologique. Encore une fois, il serait bon, pour notre compréhension, que les technocrates prennent le temps d’expliquer leur charabia qui n’est pas convainquant.

    Pour ce qui est de « l’amélioration du dynamisme » de la filière agricole, la formule est au sommet de la langue de bois, difficile de faire pire … heureusement « qu’une une étude sera menée pour définir des pistes d’actions de développement à destination des habitants et du tourisme » … ça nous rassure.

    Du concret, donnez nous du concret, halte aux discours creux et sans saveur

    • jms dit :

      Les chemins contribuent à la continuité écologique, les inscrire au Plan départemental permet de garantir qu’ils ne disparaitront pas. C’est tout simple à comprendre.

      Du concret ? toujours à se plaindre ces français ! si on donne des pistes précises et concrètes, vous allez dire qu’on décide sans concertation, sans réflexion.
      Et si on dit qu’on lance une étude vous vous plaignez qu’on reste dans le vague.

      Pour donner un peu plus de détails, l’idée c’est de diversifier, en évitant les a-priori trop restrictifs, les productions agricoles et plus généralement l’offre. Cela passe par une meilleure connaissance de ce qu’est une ferme briarde. C’est pas écrit mais on peut penser aux possibilités de tourisme à la ferme, de cultures nouvelles plus aptes à la vente directe, … On reste dans le général justement pour rester ouvert en termes de solutions. C’est par une meilleure connaissance de l’existant et en menant des réflexions avec les professionnels qu’on peut aboutir à des pistes auxquels on ne pensait pas forcément au départ. Enfin c’est ce que je comprends …

  5. jms dit :

    L’ensemble des thèmes du projet de territoire profite du financement d’un contrat C3D (contrat départemental de développement durable) d’un montant de 1,6 million d’euros apportés par le département. Le contrat a été signé le 14 février entre Patricia Lemoine et Vincent Eblé.

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