le Comptoir des Fromages
Nous vous proposons d’en savoir un peu plus sur ce nouveau commerce créçois : visite du Comptoir des Fromages… Les jeunes propriétaires, demeurant à la Celle sur Morin, avaient identifié depuis quelques temps déjà, un manque réel dans l’offre en produits de bouche au centre ville.
Une boutique libre, un esprit d’entreprise et voilà le jeune couple lancé dans l’aventure.
Brie, Coulommiers, les briards sont bien représentés, mais c’est toute une variété de fromages qui s’offre désormais à nos papilles. Il y en a pour tous les goûts, même les plus forts ! J’ai vu un corse très corsé, bien noir, tout en poils, tellement les nobles moisissures y étaient vivaces! Quant aux illustres locaux, Brie et dérivés, ils présentent tous une origine garantie : Meaux (St Faron), Tournan ou St Siméon.
François, le fromager, a l’esprit un peu espiègle, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Son épouse, Agnieszka, porte un prénom à consonance peu commune en terre briarde; c’est en fait la patronne du lieu.
Pour l’été ils feront traduire leur prospectus en batave, comptant bien capter quelques clients du camping. Pourquoi ne viendraient-ils pas remplir leurs glacières avant de regagner la Hollande !
J’encourage les internautes du pays créçois, à lui rendre une petite visite amicale et commerciale.
(article vu 17 fois)
C’est sûr que nos fromages sont hautement meilleurs que ceux de Hollande !
Comme je l’avais fait avec Patrick BERNOUIN, le sculpteur j’ai pensé qu’il pourrait être intéressant de présenter ce nouveau commere. On est bien au coeur de la vie locale.
L’idée est de renouveller l’expérience avec tous les nouveaux mais pourquoi pas aussi, avec les plus anciens. Le tout est de trouver un angle d’attaque un peu original.
Il y a les commerces de Crécy, mais ceux des autres communes aussi, tout le monde (vous tous) peut donc contribuer à cette tâche.
Peut-être arriverons-nous ainsi à familiariser les acteurs de l’économie locale à ce moyen de communication et à étendre ainsi petit à petit le rayonnement de notre site. (Donc si vous passer chez un commerçant dont on parle sur le site, n’oubliez pas de lui dire que vous avez entendu parler de lui sur http://www.district-crecy.com !!!)
Autant dire que ces objectifs ne sont pas simples à atteindre sans autre moyen de CO que le bouche à oreille.
C’est la poule et l’oeuf en permanence … la corde raide.
Les sujets un tantinet « critiques » (c’est en général vis à vis des « institutions » en place – mais c’est dans l’ordre normal des choses !) font vite monter l’audience. Ils génèrent a contrario de la méfiance de la part de ceux qui se sentent plus ou moins mis en cause …
Plutôt que de répondre par un silence un peu méprisant, on aimerait parfois que s’engage un échange d’idées.
Les élus, les municipalités ne sont pas habitués à communiquer en dehors du cadre qu’ils maîtrisent : publications municipales ou de la communauté de communes voire même, la presse locale qui publie, à demande et sans beaucoup d’esprit critique (à mon avis), tous les communiqués et photos souhaités.
Elus, opposants, commerçants, ouvriers, paysans, jeunes, retraités, internautes du pays crécois unissez-vous et rejoignez-vous sur le plus grand blug communautaire que le canton n’ait jamais connu : http://www.district-crecy.com
Bonnes vacances à ceux qui en prennent.
Merci jna d’apporter de l’eau à mon moulin !
Depuis septembre 1997, date de présentation des atouts internet dans la vie locale, j’étais, je suis et resterai convaincu de cette analyse.
Pour preuve, l’accroche du site de la société :
Bixis participe au développement de la mondialisation… LOCALE ! Pour TOUT découvrir près de chez soi, dans son village, son quartier, sa région !
Mais que d’effort d’évangelisation : le district-crecy.com en est le meilleur exemple (je n’ai jamais trouvé le modèle économique…)
Ce matin, j’ai pu lire cette info qui interesse les US pour le moment.
Publicité locale : de la World Wide Company au plombier sur le web
Le commerce en ligne va-t-il devenir local ? 25 % des recherches d’achats en ligne sont désormais consacrées à des recherches sur des commerces locaux, situés à proximité des lieux de travail ou des lieux d’habitation des acheteurs en ligne. C’est ce que révèle une enquête de Kelsey Group et de BizRate.com menée auprès de 5500 internautes acheteurs. Selon Kelsey Group, ce type de recherche aurait doublé en un an.
Nous ne sommes donc qu’au début d’un phénomène qui devrait s’accentuer à mesure que les moteurs de recherche et les pages jaunes des opérateurs apporteront des services plus élaborés aux internautes. A noter à ce sujet que les pages jaunes françaises sont relativement bien fournies en ce domaine, grâce au couplage des cartes Mappy et des photos d’adresse recherchée.
Selon le site eMarketer, le marché de la publicité en ligne américain devrait atteindre 2,5 milliards de dollars en 2004 et 3 milliards de dollars en 2005 ; 15 % de ce marché devrait revenir aux annonces de commerçants locaux. D’où l’appétit féroce des leaders du marché sur ce domaine : Google a testé un système de recherche par localisation, avec entrée du code postal US dans la barre de recherche. Pour tester, cliquer sur : http://labs.google.com/location. Yahoo possède aussi son Yahoo Research Labs.
(Atelier groupe BNP Paribas 16/02/2004)
Et comme toujours : avant l’heure, ce n’est pas l’heure !
Peut-il exister un modèle économique à un site tel que http://www.district-crecy.com ?
Le problème est de savoir ce qui peut motiver un internaute à se connecter à un tel site et de surccroît régulièrement.
Il faut que ça bouge, bien sûr. En ce sens l’idée de diffuser des news sur la vie locale me paraît être une stratégie toujours valable.
Mais à mon avis dans ce domaine, seules les entreprises de presse professionnelle ont réellement les moyens de le faire. Il faut aussi pouvoir communiquer en dehors de la toile, au moins au démarrage, pour faire connaître le site … présentation aux institutionnels, commerçants, associastion, etc. (bref constituer un réseau, chose que les dites entreprises de presse ont déjà)
Il me semble évident qu’un site émanant d’une Marne et/ou d’un Pays Briard attirerait les internautes, pourvu que le contenu bouge et soit aussi adapté à la cible ou les cibles (il n’y a pas qu’un type d’internaute loin de là).
Serait-ce alors un doublon avec les canards papier ?
A mon avis non … parce que le public ne serait pas nécessairement le même.
L’aspect interactif constitue aussi un plus que le papier ne peut offrir.
On peut supposer que le site générerait des recettes publicitaires complémentaires, car au-delà du commerce local potentiellement intéressé, d’autres sites d’ e-commerce s’y feraient sans doute référencer à titre payant (vendeurs de produits informatiques, consommables, …).
Ce que fait le Parisien est intéressant, mais le périmètre couvert est déjà un peu trop vaste et on sent que les mises à jour ont un peu de mal à suivre. Quand je tape « Crécy » dans 80 % des cas on me propose un article « AZF parlant de la raffinerie de Nangis » paru il y a deux ans … forcément, on se lasse.
Quand pense Lomig, lui qui est un peu de la partie?
Je ne pense pas qu’il faille chercher à se comparer à des organes de presse qui ont des moyens que l’on n’a pas (disponibilités, réseaux et budgets). Il est des sujets dont l’audience est assez confidentielle et qui ne peuvent pas les intéresser.
L’idée de faire connaitre les commerces locaux (avec réciprocité) est bonne. Cela ne doit pas être de la pub déguisée ni de la critique subjective.
De même qu’on ne doit s’abaisser à soutenir un camp politique, ni à dénigrer systématiquement sans non plus être soumis à un pouvoir économique. Cela laisse tout de même un grand champ de liberté.
Quant au ecommerce, on en est effectivement qu’au début tout au moins au niveau local.
Salut jna,
Je saisis la perche …
La communication devient globale.
Les lecteurs de journaux (merci à eux) ne sont pas les mêmes que les brionautes.
L’info locale est importante et les 2 media sont complémentaires !
Je trouve matière à des articles dans le site, ce qui me permet de traiter en profondeur certains sujets.
Notre confrère « Le Parisien » cherche le sensationnel et il ne faut pas oublier « La Marne ».
C’est la richesse des lecteurs qui font la richesse de la presse locale … n’hésitez pas à nous contacter.
G.MACHY
Le Pays briard
06 12 43 76 50
PS : en parlant de mondialisation, le/la Brie est universel et tout ce qui s’en rappelle est voué au succés
Lomig « breton de la Brie » 😉
Bravo pour votre article;cependant à propose du petit commerce une chose est à déplorer,c’est le remplacement de celui-ci au fil des ans par d’autres commerces n’amenant aucune animation(à part bixis et son cybercaf bien sûr):les banques,les assurances,les agences immobilières etc..
Dommage pour notre petite place de village.
Il y eu un article dans le pays briard la semaine dernière qui présentait aussi ce nouveau commerce.
Ca commence comme vous par un couplet sur la Brie laitière !