Journées des zones humides 2012

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97 réponses

  1. AS77 dit :

    nous vous attendons nombreux à Villiers sur Morin en mairie (salle des peintres )a notre vidéo projection et sortie sur site n’oublier pas vos bottes :-b)

    • AS77 dit :

      voila du concret pour le tourisme et notre avenir avec la qualité de l’eau ,élément indispensable à notre vie 😉

      • jlv dit :

        Bonjour serge,
        je comprends ton enthousiasme mais franchement, tu parles d’un exemple.. elle est belle notre frayere !
        moi à chaque fois que je passe devant, ça m’énerve vraiment !
        JL

        ps : juste pour taquiner, là om il y a encore de l’eau (je parle pas des mares dans les roseaux) c’est
        à couilly dont plusieurs ha (en fait la majorité) constituent la frayère. (bon ok, je suis un tantinet
        chauvin là..).

        • retraitactif dit :

          bien plus elle est effrayante la frayère. 😐 .remarque que tout ce coin finalement l’est EFFRAYANT..frayère plus zone d’activités alors qu’il y avait une belle peupleraie certes détruite par la tempête en 1999 mais qui déja avant le creusement de cette frayère se régénérait rapidement et un beau champ.
          maintenant qu’est ce qu’on a 🙁 un marécage laissé à l’abandon(voir un récent article du maire de Couilly) et une vérue en tole plus un terrain vague. :paf

          • jna dit :

            La je crois que l’on se trompe.
            Une zone humide n’a pas vocation à être toujours en eau. C’est donc normal que la frayère ne soit pas toujours remplie. Mais effectivement si on ne coupe pas les herbes, ça ressemble à un marécage.
            De plus pour être en relation avec le Morin, il faut que le niveau du Morin soit suffisemment haut, et il ne peut l’être d’une façon « naturelle » qu’en hiver et encore, il faut je pense que les vannages en aval retiennent l’eau, ce qui ne semble plus être le cas. De toute façon, le principe de la retenue d’eau n’est plus « dans l’air du temps ».

            • jlv dit :

              ouaip… 300.000€ quand même le marécage

              • AS77 dit :

                merci JNA .
                JLV le vrai prix de la frayère 225000 €,une frayère à brochet entre en fonction quand la rivière déborde alors la le site de la reproduction peux commencer ,le problème suivant est que les communes qui ont laissé les zones inondable se construire les zones dite d’étals être remblayer ,afin afin de construire des zones industriels qui sont les première victimes des inondations avec comme cause les entreprises noyés =chômage technique,pertes d’emplois ,primes d’assurance qui vont être à la charge de tout les citoyens pertes de valeurs immobilières,alors on ouvres les vannes afin que le peuple ne te réélise pas aux prochaines élections et voir les erreurs que l’on laisse faire en voila des bons sujets à discuter pour les vannages et la luttes contre les inondations l’effacement des vannages voila la vrais solutions alors voila le dialogue est ouvert
                pourquoi laisse ton une personne ouvrir les vannes de son moulin afin de mettre la frayère en péril j’ai la réponse mais j’ouvre le dialogue on va bien rigoler :b :-e) :-e) :-b)

                • AS77 dit :

                  le jour de la visite je vais commencer à expliquer aux personnes les méthodes employés envers le monde de la pêche et la nature ,les enfants des écoles avec qui nous allons faire des animation ,pourront voire les méthodes employés par certains

                  • AS77 dit :

                    J LV ?? RA?? alors le dialogue :# 😐 :-b)

                    • AS77 dit :

                      pour parler réellement de la frayère ,pas par des chiffres qui sont faux ,genre 300000€ ,mais pour parler des vrais problèmes d’une part causé par le syndicat du grand morin et une propriétaire de moulin ,la bizarrement ??plus personne ou il est passé mon élu Mr JLV ,vous qui soutenez bien votre association de pêche ,l’AAPPMA de Crécy à le Même sens et vision des chose alors votre soutient peux nous être utile,alors abordons sur le site les vrais problèmes et n(ayons pas peur de parler des vrais responsables j’ai des courriers du réel et concret 😐 beaucoup trop d’élus vont et agissent contre le monde associatifs ,un des résultat de se comportement et la raréfactions des bénévoles 😕 🙁

                    • jna dit :

                      Nous on ne sait pas quoi dire.
                      Quels sont les vrais problèmes à propos de la frayère ?
                      Est-ce qu’elle dérange ?
                      Est-elle menacée ?

                    • AS77 dit :

                      j’attends Mr jlv pour ouvrir le dialogue

                    • AS77 dit :

                      le chemin du pré de la corne ,après vérification au cadastre à Meaux l’annonce comme voie publique .
                      je tien à le préciser,car certaines personnes empêches les promeneurs de si promener à pied en le prétextant privé ,avec l’appui de certains élus de la mairie de Crécy ,dont une élu , qui lors d’une réunion sur le sage des deux morin ,alors que j’informai les personnes présentes à cette réunion, de notre animation sur le site de la frayère du marais à l’occasion de la journée mondiale des zones humides, me dit que le chemin du pré de la corne était privé je lui ai fait remarqué que le cadastre disait le contraire ,alors a ma stupéfaction et de celle du représentant de Mr le préfet à mes cotés elle nous dit que le cadastre était faux. ,je trouve cette situation déplorable et contre les actions menés envers le grand publique et nos efforts pour développée le tourisme

                    • AS77 dit :

                      petit rappel pour le droit de passage le long des rivières
                      Article l.2131-2 du code général de la propriété des personnes publique (en vigueur au 1er juillet 2006)
                      les propriétaires riverains d’un cours d’eau ou d’un lac domanial ne peuvent planter d’arbres ni se clore par haies ou autrement qu’a une distance de 3,25 mètres
                      leurs propriétés sont grevés sur chaque rive de cette dernière servitude de 3,25 mètres. ,dite servitude de marchepied .

                      tout propriétaire,locataire,fermier ou titulaire d’un droit réel , riverain d’un cours ou du lac domanial est tenu de laisser les terrains grevés de cette servitude de marchepied à l’usage du gestionnaire de ce cours d’eau ou de lac ,des pêcheurs et des piétons.

                      une commune ,un groupement de communes ,un département ou un syndicat mixte concerné peut ,après accord avec le propriétaire du domaine public fluvial concerné,avec le cas échéant avec son gestionnaire entretenir l’emprise de la servitude de marche pied le long des cours d’eaux domaniaux.

                    • jna dit :

                      Peux-tu rappeler le statut du Grand Morin à cet endroit : je crois qu’il fait parti du domaine royal et public depuis François 1er (c’est à dire toute la partie naviguable jusqu’au moulin du Coude) ce que semble oublier les riverains.

                    • jna dit :

                      c’est quel chemin ? celui qui donne accès à la frayère ?

                    • IndianaJones dit :

                      Oui, c’est la rue derrière la gare Villiers-Montbarbin qui redevient chemin latéral d’exploitation sur la commune de Couilly, jusqu’au hameau de Martigny.
                      Sur le site cadastre.gouv, la rue est mentionnée aussi comme voie publique.
                      Le Conseil Général n’aurait pas fait poser un panneau informatif au sujet de la frayère, au bout de cette rue, uniquement pour les riverains me semble-t-il ?

                      L’AAPPMA ne peut-elle pas être considérée comme riveraine ?

                      Par contre, les riverains et la rue elle-même sont situés en zone inondable. :-e)
                      Doit-on y voir un lien avec la gestion de la vanne du Moulin Guillaume, dont l’ouverture permet aux riverains de ne pas avoir les pieds dans l’eau, mais ne permet pas à la frayère de se remplir… :#

                    • AS77 dit :

                      la rivière est classé du domaine public,le plus grave ,c’est construction en zones inondable,une façon pour les élus de ne pas reconnaitre leurs droits de faire respecter le code de l’urbanisme de ne pas entretenir cette voie public goudronnage tout à l’égout etc ou vont leurs eaux usées ,une fosse septique enterré ou pas avec l’eau qui à un fer de bêche apparait tous de suite ou est le respect de la nature ,de la zones classée en PPRI,et on crée une zone de non droit dans une voie publique soutenu par certains élus ,je dit c’est grave ,mais au fait monsieur JLV quand pense t’il ???? :# 😐

                    • AS77 dit :

                      pour les personnes qui vont venir visiter la frayère ,je vous montrerai la clôture faite sur la dernière habitation avec un seuil de portail qui dois au moin mesurer0, 80 à1 mètre de hauteur comment le franchir sans le remblayer dans une zone inondable et classé PPRI ,j’ai avertie la mairie il doivent faire le nécessaire à suivre ,si moi je ne vais pas dans cette zone de non droit qui va aller prévenir de ses actions 😐

                    • AS77 dit :

                      le respect de la continuité écologique va être un bien pour la qualité de l’eau ,le désenvasement des rivières ,le de-colmatage des fonds de nos rivières et la libre circulation de la faune aquatique et de lutter contre les inondations ???

                    • AS77 dit :

                      Souvent perçue négativement, la continuité écologique n’est pourtant
                      pas une affaire de « dynamiteurs ». Cernée par un cadre législatif
                      important et ambitieux, sa mise en place sera pourtant bénéfique
                      au pêcheur. Le point sur un dossier souvent mal compris.
                      La continuité écologique c’est quoi ?
                      La continuité écologique d’un cours d’eau se définit comme la libre circulation
                      des organismes vivants, notamment les poissons, et le bon déroulement
                      du transport des sédiments. Tout ouvrage transversal au cours
                      d’eau, tel qu’un seuil ou un barrage, est un obstacle à cette continuité.
                      Les ouvrages longitudinaux, tels les digues par exemple, ont également
                      un impact sur la continuité écologique, en isolant les milieux aquatiques
                      connexes au cours d’eau (les zones humides notamment).
                      Un contexte règlementaire international
                      traduit localement (voir tableau)
                      La prise en compte du respect de la continuité écologique des cours d’eau
                      découle de la Directive Cadre européenne sur l’eau qui fixe un objectif
                      d’atteinte du « bon état écologique » des cours d’eau. La Loi sur l’Eau et
                      les Milieux Aquatiques de 2006, ainsi que les récentes lois « Grenelle » ont
                      abouti à la mise en place d’un plan national de restauration de la continuité
                      écologique des cours d’eau, dont l’objectif est de réduire les impacts d’un
                      nombre important d’ouvrages d’ici 2015. Concrètement, de nombreux barrages,
                      seuils ou buses, devront être effacés ou aménagés dans le cadre des
                      programmes locaux de restauration des cours d’eau que sont les Contrats
                      Restauration Entretien (CRE).

                    • jna dit :

                      un beau défi incontournable, un vrai plus pour le PNR qui devrait à mon avis être encore plus ambitieux, sauf à n’être qu’un machin de plus comme cela semble se dessiner pour le moment :-e)

                    • AS77 dit :

                      JNA je te rejoins dans tes réflexions, j’ai un problème devant chez moi je crée une association je me bat et basta ,la une grande erreur et imbécilité de cette façon de faire nos ennemies envers nos combats connaisse la recette ,et rien ne change ,alors ??a quand le courage de s’ engager pour tous les problèmes environnementaux qui nous entours et les combattre ensembles et intelligemment et sincèrement :b 😐

                    • georges dit :

                      Humidité – Biodiversité – Vitalité

                      pour avoir accompagné plusieurs fois, ces dernières années, des sorties animées par le passionnant et passionné Jacques DUMAND, (cité sur le calendrier d’animations de cet article) : je vous les recommande!
                      Découvrir aux alentours des étangs de Torcy, Croissy-Beaubourg, etc, autant de refuges tranquilles, si proches mais si protégés de la ville, est une expérience inoubliable!
                      Surtout si vous avez la chance d’apercevoir, ou même de photographier (de loin) le rare, le timide, le fugace petit héron Blongios…
                      Et connaissez-vous la petite réserve du Bois de Vaires-sur-Marne, classée site Natura 2000? A visiter, toujours avec Jacques DUMAND. Il vous y révèle, entre autres merveilles, l’existence d’une petite mare abritant des spécimens de batraciens et surtout de tritons justement protégés!
                      Et, selon les saisons, on peut faire des rencontres inattendues : une renarde arrêtée dans sa traversée du sentier; une prairie d’orchidées intouchée; une course de marcassins pressés… et bien d’autres surprises!

                    • AS77 dit :

                      oui autant de chose ignoré bien trop souvent et pourtant si proche de nous 😎

                    • jms dit :

                      Tiens, je ne te savais pas aussi lyrique. Tu cherches à m’imiter ou est-ce une nouvelle forme d’ironie ?
                      Moi, je n’y comprend goute (d’eau) à ces histoires de vannes qu’il faut pas laisser ouvertes et ces barrages qu’il faudrait supprimer.

                    • jna dit :

                      Je ne sais pas si tu t’adresses à AS77 ou à jna. Mais …
                      Quitte à faire un PNR, autant qu’il soit naturel.
                      Et rendre aux Morins une partie de leur cours naturel serait un thème de circonstance, le moins que l’on puisse faire et bien sûr en réouvrant des zones humides, des prairies au fond des vallées de nos rus, avec des vaches dedans !!!!
                      tout ça dit sans la moindre ironie, bien au contraire.
                      Et pour compléter je dirais que cela n’est absolument pas incompatible avec une déviation routière traversant la vallée là où on sait… 😎

                    • retraitactif dit :

                      A propos de déviation..vendredi soir vers 18h après m’être perdu dans les dédales de l’hopital de Coulommiers, je revenais donc pépère at home ,et à la traversée de Mouroux il y avait une file de véhicules venant de l’ouest depuis l’entrée de Mouroux donc jusqu’à la sortie… 🙁
                      VIVEMENT LA DEVIATION 😉

    • jlv dit :

      Bonjour,
      désolé de ne pas avoir pu visiter votre site depuis ma dernière intervention, et d’autant plus qu’apparemment, Serge m’y attendait de souris ferme !
      Je ne sais pas si le débat peut se faire avec autant de liens de réponse… je tente ma chance tout en laissant un des webmaster corriger le tir si ça ne va pas.

      1°) pourquoi ne peut-on pas obliger quelqu’un à fermer un barrage ? Je me lance en prenant deux points de vue : celui du propriétaire et celui du défenseur des rivières.
      Vu du propriétaire :
      Eh bien c’est simple, il en est le propriétaire et on est donc sur une question de droit privé. Obtient-il des aides dans le cas présent pour restaurer sa porte ? Dans le présent cas, je ne pense pas. Par contre, quand son barrage est comme actuellement détériorié, il doit en assumer seul la réparation… ce sont plusieurs dizaines de milliers d’euros à chaque fois.
      Le propriétaire du barrage se bat actuellement pour sauver son moulin, à cause d’une baisse générale du niveau de la rivière induit par la disparition d’un autre barrage détruit en aval au niveau des anciens abattoirs. Pour rappel, les fondations du moulin sont faites sur des pieux en bois très anciens qui tant qu’ils étaient immergés n’évoluaient pas. A cause de la baisse du niveau des eaux, les pieux sont à l’air libre et les pieux pourissent et du coup, la maison s’affaisse avec de nombreux désordres intérieurs. Le barrage détruit ne semble pas être répertorié comme intéressant pour réguler la rivière et donc tout le monde s’en fiche.

      Du point de vue des pêcheurs et autres personnes intressées par l’écologie de la rivière : le barrage éventré au niveau du solin fait que la frayère ne sera plus inondée que par des crues extrêmes. Les barrages détruits comme celui des anciens abattoirs ne doivent pas être reconstruits car il faut laisser libre cours au franchissement du barrage par les espèces et à la rivière…

      Pour ma part, pourquoi ne subventionnons pas la réfection du barrage cassé pour remettre à flot
      la frayère ? mais c’est uniquement le choix du propriétaire de décider ou pas d’aller dans cette direction.
      Au-delà, et c’est une position qui n’engage que moi, je trouve que dans tout cela, on occulte un point
      essentiel du grand-morin : sa régulation. Sans régulation et sans barrage, vannage, nous revivrons les crues et leur cortège de misère (je ne souhaite à personne de vivre ce traumastime d’inondation de sa maison), d’autant plus que nous urbanisons toujours plus et que des m3 d’eau arrivent plus vite dans le grand-morin, aggravant les phénomènes de crues.

      En tout cas, c’est assurément un dossier à porter mais un dossier complexe qui trouvera d’ailleurs une réponse (pour le barrage des abattoirs) par la justice, un procès étant en cours.

      Par contre, sur les autres points :
      a) que ce soient 300.000 ou 250.000€ voire 200.000€ , c’est une somme conséquente qui mérite que
      quelque chose soit fait pour maintenir cet investissement conforme aux objectifs fixés.
      b) en ce qui concerne le chemin côté couilly, c’est un chemin communal qui appartenait à l’association foncière communale : personne ne peut empêcher quiconque de l’emprunter « à pied ou en vélo » pour
      rejoindre Villiers. Je serais surpris qu’un chemin communal débouche sur un chemin privé mais ce qui se passe à Villiers ou à Crécy, je ne peux rien en dire.

      Enfin, allez, un peu de chauvinisme, il me semble que la grande majorité des ha du site de la frayère
      soit sur le territoire de Couilly… j’ai signalé que j’aimerais bien qu’on ajoute dans le nom de cet ENS
      le nom du village que j’administre quand on désigne son lieu (la frayère du marais est son nom
      d’usage).

      A votre disposition pour plus d’échanges et encore mes excuses pour ne pas avoir pu répondre en live
      à AS77 !:))
      JLV

  2. jna dit :

    D’après mon informateur, le visite de la frayère de ce samedi a attiré une douzaine de visiteurs. 🙂

    • AS77 dit :

      le contact c’est opéré ?.
      Nous avec les écoles nous organisons une vidéo projection avec sortie sur site et vendredi 3 vidéo et sortie sur site avec les adultes j’espère avoir un bon nombre d’adultes pour les enfants il seront environ 2 classes

      • Korie dit :

        Quelles sont les prochaines dates et les tarifs ?

        • AS77 dit :

          quelques questions
          L’eau retenue en amont est compatible avec une vie aquatique naturelle
          la retenue d’eau artificielle induit une dégradation du milieu aquatique et donc un appauvrissement en espèces végétales et animales qu y vivent .
          de multiples études comparatives ont été conduites entre les rivières cloisonnées par des retenues d’eau et d’autres sans retenue.
          tous les résultats indiquent une abondance et une diversité d’espèces vivantes supérieures dans les rivières sans obstacle

          • AS77 dit :

            il n’y a plus d’eau dans la rivière après ouverture des ouvrages.
            Le niveau d’eau,en amont d’un ouvrage ,est artificiel .
            l’ouverture ou la suppression de l’ouvrage permet simplement de rétablir un niveau d’eau naturel.
            Ainsi le débit de la rivière ne varie pas ,seules la vitesse du courant et la largeur retrouvent leurs caractéristiques d’origine .
            Le niveau d’eau quand a lui ,variera en fonction des saisons

            • jms dit :

              Je crois que je commence à comprendre.
              Il faut juste penser que l’eau descend du haut vers le bas.
              Mais, supprimer les barages, n’est-ce pas se priver d’un moyen d’éviter les inondations ?

              • AS77 dit :

                bien au contraire puisque pour éviter les inondations on les ouvre

                • AS77 dit :

                  si on rétablit le milieu naturel,les inondations seront plus fréquentes et plus graves ?
                  si les barrages ont contribué à réduire le risque de débordement jusqu’à la crue décennale en remplaçant les anciennes vannes et seuils, ils ont aussi leurs propres limites.
                  En réalité le barrage mobile assure l’écoulement de la valeur du débit entrant en débit sortant .
                  Des lors ,le barrage va progressivement s’abaisser à mesure que le débit augmente tout en maintenant un niveau d’eau identique à l’amont.La régulation n’est plus assuré quand le barrage est intégralement couché.
                  Par conséquent le niveau d’eau va lors progressivement monter dans le bief jusqu’à à sa cote de débordement.
                  En abaissant les barrages ,la rivière retrouve son niveau naturel et dispose alors d’une capacité de stockage plus importante ,apte à absorber les crues dans son lit mineur..
                  QUOI qu’il en soit,au delà d’une crue décennale avec ou sans barrage ,les débordements sont inévitables.

            • IndianaJones dit :

              Pour ma part , je trouve aberrant de laisser partir une part du patrimoine du Grand Morin. Des moulins sans retenues en rendant le cours de la rivière comme il était à l’âge de pierre, alors qu’ils ont inspiré tant de peintres ?
              Si les barrages venaient à disparaître, le niveau du Grand Morin variera en fonction des précipitations. Comme ça on pourra faire de la rando dans son lit avec 20 cm d’eau. Ça nous changera des convois de canöés.
              Mais attention, amis promeneurs et amis pêcheurs. Gare aux crues éclairs lors de gros orages ! Car la rivière redeviendra alors comme un torrent de montagne.
              Aussi, les poissons ne vont plus se bousculer sur le parcours de pêche car il y aura beaucoup moins d’eau. Mais au moins, on pourra toujours essayer de réintroduire l’esturgeon dans la vallée. 😀
              Il faut préserver les pôles de bio-diversité existants, et créer de nouvelles niches. Le tout avec le patrimoine existant. C’est le challenge du PNR.

              Quant aux droits privés des vannages des moulins, il faudrait soumettre l’idée aux gouvernants d’un droit de préemption des barrages par les communes, pour avoir la possibilté de prendre en charge l’entretien et les travaux et ainsi ouvrir la voie aux subventions départementales et régionales.

              • jlv dit :

                Bonjour,

                j’ai réagi dans une contribution ci-dessus qui, compte tenu du nombre important de lignes est passée inaperçue.
                Je suis en phase avec cette position : virer les barrages nous mettrait en exposition à un risque très fort d’inondations sévères et changerait l’équilibre naturel actuel : la baisse forte des niveaux aboutirait à un autre équilibre qui pour le coup rendrait la frayère inutile (plus de brochet).
                PAr contre, les communes n’ont pas les reins assez solides pour assumer de telles charges d’entretien et la réponse est sans doute syndicale et intercommunale ou SDAGE.
                JL

                • jms dit :

                  Je comprends mieux à la lumière de ces explications.
                  Les crues, et je connais pour avoir été plusieurs fois inondé par le Grand-Morin, il me semble que c’est d’abord une course contre la montre. Faire en sorte de retenir l’eau, qu’elle se déverse le plus lentement possible permet d’éviter le pire.
                  De ce fait, curer les fossé n’est pas une bonne chose, autant retenir l’eau assez longtemps là où elle est plutôt qu’aller grossir les rivières. De même les barrages non seulement vont ralentir le flux de l’eau, mais aussi en jouant sur les ouvertures et les fermetures on peut mieux agir sur la régulation. De ce fait je trouve aussi aberrant qu’on supprime les barrages. A l’inverse tous les cours deaux et fossés canalisés par une campagne qui s’urbanise de plus en plus, c’est pas bon pour les crues car cela en accentue les effets.

                • AS77 dit :

                  pas d’accord l’effacement de certains vannage ne feront pas trop baissé le niveau de la rivière,lors des essais sur l’étude en cours pour l’effacement des vannages le Moulin Guillaume devra être maintenu mais il devra être équipé d’une passe à poissons et c’est une hérésie de dire que d’effacer les vannages nous mettrait en exposition à un risque très fort d’inondations,.
                  je dirai plutôt que c’est le bitumage à outrance le remblais des zones humides et d’étalé et l’urbanisation effréné de nos chers élus qui nous mettent en périls :b style la zone de couilly plus les autres 😐 et les questions réponse que j’ai écrits plus haut sont le résultat d’étude sur la conclusion du sage de LYerres.

                  • jlv dit :

                    Bonsoir,
                    gérer les crues est une affaire de bassin et pas seulement un vannage ou un autre. Et on peut,
                    en fonction de la situation de la Marne (la rivière) ou du bassin de rétention de COulommiers, avoir à jouer le yoyo avec nos barrages.
                    Dire que d’effacer les barrages augmente le risque n’est aps une hérésie, vient en parler aux
                    colliaciens qui en 1999 ont été inondés en quelques 2h30 à Pont-aux-Dames parce que précisément, quelqu’un avait levé les barrages par erreur…
                    Quant aux passes à poissons… c’est vrai, depuis 150 à 200 ans que les barrages sont là, les
                    poissons ont été lésés : la remontée du saumon du Grand-Morin jusqu’aux sources du Grand-morin
                    à Lachy dans la Marne (le département cette fois-ci) mérite de tels équipements. Et juste une question : qui va payer la passe à poissons dans un barrage privé ? Le propriétaire ? …

                    Enfin, arrêtons peut-être de stigmatiser une urbanisation comme la ZA de Couilly, elle a son bassin de rétention calibré pour encaisser les orages sur la plateforme. Mais bon, chacun aura
                    compris la taquinerie de Serge sur ce point, taquinerie qui n’empêche que nous sommes au moins
                    d’accord pour dire que l’urbanisation accroit la rapidité d’écoulement des eaux pluviales vers
                    les rivières, et renforce donc la nécessité de faire des barrages pour réguler le morin.

                    En 1999, une erreur

                    • AS77 dit :

                      je suis à te rencontrer devant tes élus inondés et dialoguer avec toi et eux .
                      moi natif de ST Germain un gars du coin comme toi j’ai toujours connu le morin avec ses inondations ,l’hôtellerie du Grand Morin,( Famille DEMAY) inondé à chaque crue les zones d’étalés a cette époque n’étaient pas remblayées le niveau se maintenait les vannes du morin étaient ouvertes les grande villes ont construis en zones inondables et on voit le résultat

                    • jlv dit :

                      je sais tout ça serge, et j’ai moi aussi en mémoire ces épisodes où Couilly était coupé en deux
                      Rue Cyprien Borgnon et om on allait prendre el train en marchant sur des planches posées
                      sur des parpaings (Bon désolé pour les autres membres si on se rappelle nos vieux souvenirs de jeunesse) ; mais regarde, depuis qu’on a mis en place ce système de vannages et
                      coordination d’ouverture/fermeture des barrages sur tout le linéaire du Grand-Morin depuis
                      coulommiers jusqu’à Esbly, on n’est plus inondés (sauf en 99 où il y a eu une erreur de
                      coordination précisément).

                    • AS77 dit :

                      JLV nous sonnent en 2012 une simple remarque bientôt plus de 11 années que il y a un déficit de pluviométrie ce qui explique le fait du non débordement du Grand Morin ,ses derniers jours un peux plus de pluie tout de suite le morin à monté et était boueux? résultats des drainages, des fossés curés ,les hauteurs des villages avec des routes en forte pente qui forme des torrents au moindre orage et des cours d’habitation que l’on goudronne ,les trottoirs plus tous le reste voila la vrais situation .

                    • retraitactif dit :

                      quand vas tu sortir la tête 😉 de l’eau…de là ou d’ailleurs

                    • jlv dit :

                      tiens , c’est marrant, début 2011, le Grand-Morin est presque arrivé au niveau de la rue du stade
                      face à l’école publique du village. LE parcours de santé, pourtant réhaussé de 80 cm par rapport à
                      l’oriigine était bien sous l’eau. comme quoi….

                    • jna dit :

                      Beaucoup d’ironie dans les propos d’un élu qui se présente comme un fervent partisan du PNR.
                      Ceci m’inquiète beaucoup quant aux objectifs réels de ce PNR : qui avance et se cache derrière ce truc ?
                      En effet, il apparait à travers ces commentaire qu’il n’y a pas beaucoup de volonté de progresser sur le plan environnemental : je vois que notre élu se prononce contre la restauration de la continuité écologique, et préfère que l’on ne parle pas trop de la betonnisation de la vallée (qui n’est pas souhaitée mais peut être admise à certains endroits, c’est selon). Enfin je constate une grande compassion pour les propriétaires de moulins au nom du sacro saint respect de la propriété privée … Il y a là des contradictions très perturbantes.

                      Pour revenir au cas des propriétaires de moulin la législation leur a toujours imposé de nombreuses contraintes. Tout le monde semble croire qu’elles ont disparu et que posséder un moulin, c’est la même chose que posséder une simple résidence de campagne. C’est faux. Je suis à peu près certain que la loi leur impose toujours l’obligation d’être en mesure d’ouvrir leurs portes à bateaux si d’aventure une « péniche » se présente pour franchir le seuil de leur moulin, évènement devenu, heureusement pour eux, fort improbable sur le Grand Morin.
                      Etre propriétaire, cela s’accompagne aussi de devoirs envers la société puisque la propriété (le Morin est dans le domaine public à notre niveau) empiète sur le domaine public et entrave le cours naturel de l’eau (Les meuniers ont toujours payé pour cela). Pour ce qui est de la réponse à la question : qui va payer la passe à poissons ? elle n’a pas à se poser un instant, car elle est évidente, c’est le propriétaire du moulin.
                      Pour l’entretien de leurs installations, les propiétaires de moulin auront bientôt le choix ou de détruire les seuils à leur frais (s’il n’a pas de rôle reconnu dans la régulation du cours d’eau) ou de les entretenir et de créer les amènagements nécessaires comme les passes à poisson avec des aides financières (de quel montant ???).

                    • jlv dit :

                      il n’y a pas d’ironie dans mes propos, et si cela a été perçu ainsi, je m’en excuse.
                      Je n’ai notamment pas présenté les choses de façon aussi stricte puisque ce que jna rapporte, ce n’est qu’un seul des points de vue, celui du propriétaire ! J’ai aussi rapporté celui du ben commun.
                      C’était histoire de pointer que les choses ne sont pas aussi simples que cela et je trouve dans
                      tout cela un peu tout et son contraire !
                      On veut imposer, mais on veut aussi détruire les barrages pour redonner libre cours aux rivières : dans le cas d’espèce, on veut une frayere, un grand-morin régulé mais aussi une rivière libre
                      dans son cours … c’est tout bonnement incompatible (ça n’a rien à voir avec de la compassion) !
                      Quand à dire qu’on va aménager des passes à poissons, très bien, mais j’attends de voir qui va
                      payer la facture…
                      Quant au PNR, j’ose tout de même croire quu’il n’y a pas de doute sur mon engagement, tout en rappelant tout de même que je n’ai jamais adopté une position purement « N » mais me plaçant dans
                      une perspective qui permette un certain développement : n’oublions pas que nous vivons aussi
                      dans nos vallées !

                    • jna dit :

                      sur la cas de la frayère il y aura effectivement un problème si le seuil du moulin situé en aval devait disparaitre. Selon notre ami pêcheur, le remplissage de la frayère (si on veut qu’elle assume son role) n’est nécessaire que pendant quelques semaines, en février et mars. Comme l’idée n’est pas d’y mettre des pédalos en été, le remplissage par « voie naturelle » semble envisageable pour la période considérée.

                      Mais ce sur ce coup, il est bien possible qu’il y ait comme une contradiction … que les aménageurs n’avaient pas vu venir

                    • jlv dit :

                      pour ma part, il me semble que c’est l’imbroglio autour de la situation générale de ce moulin
                      qui génère la difficulté. Jusque là, le propriétaire n’avait fait montre d’aucune dificulté à ce sujet…
                      En tout cas, si ce n’était pas clair, je suis plutôt favorable au maintien de ces ouvrages
                      (comme le disait indianajones) qui font partie de notre patrimoine et qui permettent de réguler
                      nos rivières et de préserver leur aspect actuel.

                    • retraitactif dit :

                      ne crois tu pas qu’il faudrait cesser »d’assticoter » cet élu qui a au moins lui a le courage d’abord de dialoguer sur le site et ensuite de donner ses avis sur les questions ou soucis que nous lui posons?
                      pourquoi personne n’assticote d’autres élus bien plus proches de Crécy sur les thèmes abordés :# ..PNR -Grand morin-ZAC-commerces etc…?

                    • jlv dit :

                      merci. pour cette remarque que j’apprécie..
                      mais bon, le débat fait partie du jeu et si je puis me permettre une remarque globale sur tous ces échanges, c’est qu’au final, il manque une synthèse de ces débats. Même si je ne suis pas d’accord
                      avec certaines contributions, d’autres permettent de faire émerger de bonnes idées et les
                      idées, c’est ça qu’il faut exploiter.
                      Et pour faire amende honorable, j’asticote moi-même volontiers AS77 et jna à mes heures (qui je
                      l’avoue sont mes cibles préférées 🙂 pour leur réactivité ! .

                    • jna dit :

                      C’est AS77 le grand spécialiste de l’assticotage … faut que ça morde

              • jna dit :

                Je vois dans ce regard passéiste une caricature.
                Il faut admettre pour commencer que les peintres ont peint de la pollution.
                Peindre un moulin sur le morin et des lavandières entrain de polluer des eaux déjà eutophisées, c’est comme peindre des sacs en plastique flottant sur l’eau dans un bassin du Havre. Entre ces deux tableaux : l’esthétique est peut être différente mais sur le fond, les deux sujets sont à peu près les mêmes : des tableaux nous montrant le désolant spectacle de la pollution.
                Et ce n’est pa nouveau car un auteur scientifique comme Bazin se désolait déjà au tout début du XXème siècle en constatant par exemple la disparition définitive des écrevisses du Grand Morin, à cause notamment des entraves multiples du cours de la rivière et de certaines « industries » qui avaient particulièrement contribué à la pollution de la rivière : tanneries, traitement du lin, …

                • jms dit :

                  Voila qui est une remarque iconoclaste, du grand jna. Ainsi les peintres de la vallée du grand-morin seraient les peintres de la pollution. A l’heure où on réfléchit à la promotion de la vallée des peintres, qui sait, ce thème pourrait être vendeur, pour une clientèle branchée. Dans le même ordre d’idées les décharges sauvages que l’on a eu l’occasion ici de photographier permettraient de compléter l’offre par une exposition sur le thème de la vallée du dégueux. On va y réfléchir :#

                • jlv dit :

                  Pour les écrevisses, je ne crois pas qu’il s’agissait seulement du grand-morin mais de la branche morte du canal qui arrive à Saint-germain.
                  Pour le reste, je parle d’inondations et de moyen de s’en prémunir et … d’irriguer une frayère.

                  • AS77 dit :

                    JNA est le seul qui soit dans le vrai et résonnable
                    la gestion des vannages,pourquoi dire que l’on les évites en ouvrant les portes ,??sans les portes quelle différence??la continuité écologique c’est essayer de rendre aux rivières la libre circulation des poissons la qualité biologique de l’eau,le désenvasement et du colmatage des fonds de la rivières afib que le milieu redevienne naturel et que la nature suivit des poissons reprennent possession des lieux grand attrait touristique pour le monde de la pêche ,un des seuls touriste qui fait marcher le commerce local avec ses GRANDES SURFACES !Style la zone de Couilly dont le Président de L’AAPPMA Mon Ami J Pierre espère leurs faire vendre des cartes de pêche et pourquoi pas un Rayon article de Pêche
                    de plus Mr J L V n’oublie pas que je suis Membre de La CLE je fais parti des commissions inondations,tourisme,eaux de surfaces eux souterraines eaux potables et tous le reste ,donc mes propos sont sérieux et je parle en homme de terrain et en toute connaissance des choses

                    • AS77 dit :

                      tient un petit sujet l’autre jour je vais a la frayère ,dernière clôture un portail avec un seuil de 70à80 cm de hauteur je prévient la mairie de Crécy ,on me dit envoyer la Police Municipal,OK ZONE de PPRI ,ZONE inondable ,remblais interdits ,hier l seuil coté chemin un remblais de tuile à été fait ,se matin j’ai rappelé la marie il doivent faire le nécessaire ,J espère que cela va être ?pas comme le remblais ,toujours en zone inondable qui à été fait au moulin de crécy la terre à été étaler et le résultat est le même 2 poids 2 mesures ? nos élus sont ils vraiment pour défendre la nature et nos villages ??et cela et proche d’un monument classé 😐 :b

                    • AS77 dit :

                      autre chose lors d’une réunion sur le Copil sur l’impacte des vannages sur le Grand Morin les portes ouvertes lors d’essais le niveau ne baisse pas trop donc pas d’assecs redoutés

                    • jlv dit :

                      ben c’est sur, y a de la flotte (tu le fais expres là ou quoi ?)
                      Faisons la même chose je mai ou juin dernier et tu verras tous les jolis poissons chercher
                      l’air et avoir le ventre en l’ait tellement on cherchera l’eau…
                      Plus sérieusement, quand on parle de régulation et de maintien des berges, c’est justement pour
                      éviter les crues néfastes pour les habitants et permettre une gestion de débits et volumes
                      d’eau quand il y a moins d’eau.
                      Dernière chose, il est toujouts dangereux de donner tel ou tel épisode de temps pour justifier
                      des décisions relatives aux cours d’eau ; les crues, les sécheresses s’établissent sur des milliers
                      d’années, pas le temps d’un copil en tout cas.

                    • jlv dit :

                      mais dis voir serge, tu parles comme un élu là dis donc ! :))))
                      Et je vois avec plaisir que le monde la pêche va trouver un intérêt à l’arrivée de Super U … :-e)

                • IndianaJones dit :

                  Tiens donc ? C’est caricatural un regard passéiste ? Ce n’est pourtant pas moi qui prêche le retour à l’ancien régime pour le Grand Morin.
                  Depuis quand un moulin qui se sert de l’énergie hydraulique ou des lavandières qui ne connaissaient que la cendre de bois comme lessive ont pu s’avérer polluants ?
                  Mais c’est bien la pollution de certaines industries, mais aussi les déjections animales et humaines, et l’introduction d’espèces allochtones qui sont la conséquence de la disparition de l’écrevisse. Pas les entraves dûes aux barrages.

                  • IndianaJones dit :

                    De plus, on parle de passe à poissons surtout pour les édifices qui ne possèdent pas de vannage, ou quand le dénivelé est important.
                    L’ouverture des vannes pour réguler l’eau devient un passage pour les poissons qui se regroupent vers les barrages. Rappelons aussi que pour cette raison, il est interdit d’y pêcher.

                    • AS77 dit :

                      mon cher élus JLV je vais répondre à ce qui te parait une énigme le moulin guillaume est nécessaire pour tenir un étiage de la frayère en respectant les droits d’eau qu’elle bafoue et que le syndicat du grand morin soutient une passe à poisson la porte de dérive ainsi que la porte fermer et le problème est résolu ,pour le moulin en aval de son Moulin,la porte est rester fermer pendant des années une fois réparé lors d’une montaison des eaux le syndicat à demander l’ouverture de la porte ,après un arbre est resté coincé sous la porte et en le dégageant le radier fut abimé les réparations était trop couteuse pour le propriétaire à ce moment la et les dégâts se sont amplifiés ,et le résultat est que d’une part son Moulin à les pieux qui le soutiennent hors d’eau et ce n’est pas en laissant les vannes du moulin guillaume que cela va s’arranger .

                    • jlv dit :

                      mais enfin, le niveau d’eau que « voient » les pieux est celui en aval du barrage du moulin
                      Guillaume. C’est bien l’ancien barrage du Héroin qui a un impact sur ce niveau, pas celui du moulin
                      Guillaume !
                      Le barrage détériorié par l’arbre a des conséquences en amont, donc sur la frayère.

                    • AS77 dit :

                      non c’est le moulin guillaume qui abaisse le niveau d’eau de la frayère il est avant le barrage du héroin si le moulin guillaume ferme ses vannes comme elle à fait ses 2 derniers jours le niveau était parfait, essais de venir vendredi après midi à la visite de al frayère tu va enfin tous comprendre et défendre le milieu naturel des poissons comme le cas que subissent nos pauvres abeilles avec tous ses erreurs humaine qui au non de l’argent et du n’importe quoi détruise sans compter 😀 😎

                    • jlv dit :

                      allez, histoire de faire bisquer notre ami AS77, moi qui voulait pêcher des brochets dans la frayère,
                      je suis de la revue ! Faut vraiment trouver une solution ! Ch’est bon le brochet !

                      Je partage en tout cas le sens de cette contribution qui identifie bien le sens des choses et
                      la façon dont elles se passent « vu du poisson ».

                    • AS77 dit :

                      un lien à faire suivre et à lire une façon de mieux comprendre le pourquoi du pourquoi 😀 http://www.centre.developpement-durable.gouv.fr/rubrique.php3?id_rubrique=228

                    • AS77 dit :

                      Accueil > Eau, nature > Eau et milieux aquatiques > SDAGE, SAGE > SDAGE Loire-Bretagne > La continuité écologique des cours d’eau :-e) :-d)

                    • IndianaJones dit :

                      C’est sûr, on n’est pas des carpes koï… quoi que ! 😀
                      Mais cela ne répond pas aux besoins de prévention contre les crues des populations qui vivent dans les zones inondables (même si c’était une erreur), et des communes en amont de la rivière et des fleuves.

                      Qu’est-ce qui coûtera le plus cher aux contribuables ? La destruction des barrages et vannages avec l’expulsion des « intrus » dans les zones inondables ou la restauration de ce qui existe déjà pour le maintien du cours actuel du Grand Morin ?
                      Une chose est certaine ! Trouver le financement soit pour l’un ou pour l’autre reste à ce jour le principal souci.

                  • jna dit :

                    gregregere
                    ce n’est pas de l’ancien régime dont on parle mais d’un régime plus naturel.
                    « Depuis quand un moulin qui se sert de l’énergie hydraulique ont pu s’avérer polluants ? » la réponse est : « de tous temps ». Nous parlons de la sédimendation et de l’eutrophisation de l’eau devant les barrages.
                    Les entraves du aux barrages ont contribué à la disparition des écrevisses ainsi que les industries déployées le lond de la rivière dès la fin du XIXème siécle puisque que les bebetes ont disparu au début du XXème.

                    • jms dit :

                      Il faudrait d’abord définir le mot pollution. Selon Wikipedia : « La pollution désigne la dégradation d’un biotope par l’introduction, généralement humaine, de substances chimiques ou organiques, gènes ou de radiations (radioactivité, lumière artificielle), altérant de manière plus ou moins importante le fonctionnement de l’écosystème1. par extension, le mot désigne aussi parfois les conséquences de phénomènes géologiques comme une éruption volcanique ».
                      Est-ce qu’un moulin introduit des substances chimiques, organiques ou génétiques ? En général il n’est ni radioactif ni volcanique. jna cherche à noyer le poisson avec ses histoires de pollution …

                    • retraitactif dit :

                      Il nuous bassine avec ses histoires d’O. 😉 😀

                    • AS77 dit :

                      non a mon avis il connait mieux le sujet que vous c’est homme éclairé et lucide ,une eau réchauffé est une biologiquement polluée ,donc eutrophisation développements de micro algues etc …

                    • IndianaJones dit :

                      Sauf que le Grand Morin dépasse rarement une température de 17° c, même en plein été.

                    • retraitactif dit :

                      c’est vrai il vaut mieux donc boire du :# ?????????Chablis(au hazard) 😉

                    • jna dit :

                      Evidemment si tu te réfères à Wikipédia, tu ne vas pas beaucoup progresser.
                      L’eutophisation de l’eau est une forme de pollution qui est favorisée et accélérée par les retenues et les barrages.
                      Si je titille un peu sur ce sujet de la reconquête de la continuité écologique c’est que ce pourrait être un vrai défi environnemental à relever dans le cadre du PNR. Et cela ne veut pas dire qu’il faut supprimer tous les barrages, ni les moulins (qui je vous le rappelle ne produisent plus beaucoup de farine) , mais ceux qui sont « en trop ». Ce n’est pas parce que ta cave prend l’eau de temps en temps qu’il faut refuser de voir l’intérêt de la chose, c’est un peu comme ceux qui se scandalisent à l’idée de d’apercevoir un viaduc depuis leur terrasse et qui se prononcent contre le PNR dès que le spectre du viaduc s’estompe … 😛

                    • IndianaJones dit :

                      Si les entraves dûes aux barrages étaient une des causes de disparition du homar autochtone d’eau douce, l’écrevisse aurait dû donc disparaitre depuis que le Grand Morin a été rendu navigable.
                      Tu pourrais tout aussi bien argumenter le fait de sa disparition par la suppression des écluses.

                      Mais ce n’est pas ce que nous rapporte les résultats d’enquêtes nationales réalisées depuis 1977 par le Conseil Supérieur de la Pêche. C’est la pollution et et l’introduction d’écrevisses exotiques en provenance d’Amérique du Nord, qui ont pris d’assaut les niches écologiques de l’écrevisse à pattes rouge (Astacus astacus) qui sont la cause de sa disparition depuis la fin du XIXe siècle.

                    • AS77 dit :

                      un exemple de la fragilité d’un écosystème le pua :il assure à, lui seul l’équilibre des rivières
                      La théorie d’un enchainement en cascade à commencé avec le départ des Pumas de certaines zones du parc national du Zion ,dans le sud-ouest de l’ Utah,qui fuyaient les touristes venus de plus en plus nombreux admirer les canyons creusés par la rivière Virgin et ses affluents.Une aubaine pour leurs proies favorite , le cerf mulet ,dont les populations ont plus que doublé par rapport à leur valeur historique dans ces endroits .Ils ont pu revenir le long des cours d’eau, devenus beaucoup plus fréquentables depuis qu’ils ne sont plus sur le terrain de chasse privilégié des carnivores .
                      Ils y ont pris d’assaut la végétation, en particulier les jeunes arbres comme les peupliers noirs de Californie ou les saules .Au point d’empêcher le renouvellement du couvert végétal …Or ,qui dit moins d’arbres dit moins de racines pour retenir le sol: quand le niveau de l’eau monte, la rivière emporte sans peine les berges .Les scientifiques ont ainsi estimé que l’érosion est 2,5 fois plus rapide là ou le prédateur est absent .Et les conséquences s’enchainent : le lit de la rivière devient plus large moins profond et moins ombragé,ce qui fait grimper la température de l’eau ,tandis que l’apport de matière érodée modifie sa charge en sédiments .Et ce sont au final,les plantes hydrophytes (immergées dans l’eau),les poissons et les grenouilles qui en souffrent .
                      article tiré dans la revue science et vie Février 2012 n°1133

                    • retraitactif dit :

                      le puma pua ou pu? 😉

                    • jna dit :

                      Exact, … et la disparition du puma dans la vallée du Grand Morin a eu à peu près le même effet.
                      Les mauvais rameurs qui tournaient en rond avec les barques du syndicat d’initiative devant le pre-manche ont donné le tournis aux pumas qui broutaient paisiblement les herbes folles le long des berges.
                      Les pumas sont partis chercher des patûrages plus tranquiles et les footballeurs ont pris leur place sur le pré-manche. Du coup, entrâinement après entraînement, match après match, l’herbe a été arrachée par les crampons, en particulier devant les buts. La bonne terre de Brie, pourtant si fertile, s’est transformée en une matière sablonneuse et inculte, pleine de sueur, de gros mots et de pipi de chats. Les footballeurs ont alors abandonné le pré Manche et les hommes ausi. Ils ont été remplacés par d’autres espèces comme des pêcheurs à la ligne et des épuisettes. Les poissons et les grenouillent en souffrent beaucoup, surtout ceux qui finissent dans les fritures. 😕

                    • retraitactif dit :

                      as77…a vu des pumas sur les berges du morin. 🙁
                      Ah le Chablis c’est terrible :-a)

                    • AS77 dit :

                      😉 le long des cordes de tentes les sardines maintenaient les cordes rendues 😉

  3. IndianaJones dit :

    Il existerait bien un début de projet pour le PNR dans la vallée, assorti de financements pour le maintien et le rétablissement des zones humides du Grand Morin. C’est au Syndicat d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) des deux Morins de s’engager dans une politique d’acquisition de zones humides en fonds de vallée, afin de garantir la pérennité de pratiques agricoles aujourd’hui encore compatibles avec la préservation de ces milieux fragiles. Le patrimoine des moulins contribue aussi à cette préservation (voir le cas de la frayère).
    Moins de champs cultivés ou tolérer un label bio, moins de zones en friches (même industrielles comme les anciens abattoirs) où de terrains boisés le long de la rivière. Un réaménagement en prairies humides pour faire paître les vaches, pour le plaisir de jna, mais aussi de tous, en créant de doux aménagements et ainsi, de nouvelles frayères.
    Des zones humides peuvent être aussi recréées pour en faire des zones tampons en jouant un rôle de filtre. Le but est de collecter les eaux de ruissellement de petits bassins versants pour faciliter l’auto-épuration en amont du cours d’eau et de limiter les variations brutales d’arrivées d’eau souillées provenant des bassins versants agricoles drainés ou remembrés (comme le rû Dammeron). Un autre bon moyen de lutte contre l’eutrophisation. 😛

    • AS77 dit :

      mon cher indiana cela fait déjà pas mal de temps que nous travaillons sur tous ses sujets au des commissions et de la CLE au sein du sage des deux Morin ,le lundi 30 janvier 2012 la CLE (commission locale de l’eau )à mis au vote en priorité l’étude dimpacte et de recensement des zones humides ,et les niveaux d’eaux .
      Le travail en priorité sur le scitesage( sage et sciences ) que nous élaborons (un petit aperçu < · Comment faire comprendre les erreurs d’hier ? Comment réinventer une gestion des cours d’eau
      longitudinale et latérales (sédiments + poissons + usages) ?
      · Comment gérer la rivière (inondations) en tenant compte de l’effacement des ouvrages et l’entretien de la
      rivière ?
      · Comment gérer les ouvrages pour assurer la continuité écologique, gérer les inondations et préserver le
      patrimoine et la libre circulation sur l’eau ?
      · Comment gérer les inondations ?
      depuis le début du sage 2004 je laisse une grande partie de mon temps personnel au sein du sage pour la qualité de nos eaux ,élément de vie.et tous reste du travail que cela implique .

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