Mme Marie Richard introduit la réunion et la replace dans la cadre du projet.
C’est réunion est la première d’une série de réunions d’information.
Le conseil général qu’elle représente soutien le projet ainsi que la création du syndicat mixte qui sera la prochaine étape du projet.
M. le Sous-Préfet de Meaux découvre le territoire et le projet.
Le PNR permet une réflexion sur le territoire. C’est un outil et une procédure intéressantes.
C’est également un outil de défense des atouts du territoire.
Mme Mollet-Lidy, représente le conseil régional.
Ce dernier a répondu présent en 2007 pour lancer l’étude et soutien le projet activement.
Il s’agit d’informer sur le diagnostic effectué.
Il convient maintenant d’informer les élus et les populations sur le contenu du projet.
Le territoire répond bien aux critères d’un PNR, ce qui permet de poursuivre la démarche.
Fabien Reuilly rappelle les étapes du projet.
En 2011 les communes et intercommunalités devront délibérer afin de décider de leur adhésion ou pas au projet.
Le syndicat mixte pourra alors être créé avec tous ceux qui auront choisi d’y adhérer. Ils auront pour mission d’élaborer la charte du territoire.
Il y a quatre PNR en Ile-de-France qui travaillent en réseau, le PNR Brie et deux Morins s’inscrirait dans cette démarche.
M. de la Ferrières rappelle les principaux éléments de l’étude d’opportunité et de faisabilité qui vient de s’achever en se focalisant sur les caractéristiques les plus saillantes, les atouts et les fragilités du territoire :
– 132 communes 130 000 ha, 170 000 hab en position charnière à l’interface de 3 régions
– un territoire attractif avec une forte croissance démographique
– une population en quête d’habitat de qualité
– une forte dispersion de l’habitat 71% en hameau, village ou isolé (8%). Il en ressort un isolement, une dépendance à la voiture.
– une dynamique de création d’entreprise mais pénalisée par une désindustrialisation.
– d’où un taux d’emploi de 0,5 (en incluant la ville nouvelle)
– la détérioration de la situation économique et sociale
– Le trajet domicile-travail augmente (24 km en moyenne)
Les atouts du territoire : ensemble rural original, bocage, continuité écologique mais une tendance qui peine à s’imposer.
– patrimoine
– architecture
– lieux de mémoire
– savoir-faire
– ambiance
Donc, des atouts nombreux mais pas assez reconnus.
Des ressources limitées : 20 000 Euros/hab dans le territoire
Des singularités du territoire :
– une dichotomie entre le quart nord-ouest et le reste en termes de revenus
– dans le domaine de la santé le tiers ouest est mieux loti
Les richesses patrimoniales sont éparpillées :
– bois, prairies
– sites classés et inscrits
– vallées typiques
– zones humides
– forêts
– bourgs et villages de caractère
– monuments
– petites vallées
– sites historiques
– exploitation de la
– savoir-faire et gastronomie
Les communes limitrophes peuvent faire questions :
– val d’europe
– les communes près de Provins
Conditions et moyens nécessaires
– porter les besoins auprès des hautes instances
– fédérer les attentes
– se doter d’un projet de territoire
– révéler et mettre en valeur l’identité
– être en mesure de monter des projets
Le PNR est un outil adapté et pertinent, il n’en existe pas d’autre pour atteindre ces buts.
Témoignage vidéo : Le PNR Chevreuse
Né en 85, dans le but initial de créer une protection par rapport à la ville nouvelle de Saint-Quentin-en Yvelines. Il n’y a pas eu vraiment de frein à la constitution du PNR. La population a conscience de vivre dans un PNR, d’habiter dans un endroit privilégié.
Cela fonctionne sur le principe du volontariat : le PNR propose, les communes choisissent de participer ou pas aux activités et projets. Les seules contraintes sont dans l’urbanisme. Le plan de parc vaut sur les documents d’urbanisme.
Le renouvellement de la charte est en cours, de nouveaux enjeux plus ambitieux sur l’urbanisation, la compacité du logement. Le périmètre s’est aussi étendu, des communes ayant souhaité intégrer le PNR.
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Patrick Thomas, architecte
Quel patrimoine aura-t-on à transmettre ?
Cela pose la question du rapport à ce qu’on nous a légué
En termes d’architecture, on a assisté à des rénovations malheureuses.
Or, il existe une charte de valorisation du bati ancien en seine-et-marne. Elle n’est pas suffisamment connue. Le gros souci est en fait la pédagogie.
Le PNR peut jouer ce rôle, par exemple en constitutant des groupes de spécialités qui fourniraient une expertise sur le bati.
Anne-Marie Nuyttens, agricultrice, militante FDSEA, productrice de chanvre.
L’agriculture doit rester une démarche économique.
Il faut faire vivre le territoire.
Ses attentes par rapport au PNR : exister davantage en symbiose avec nos voisins, recréer du lien.
L’identité du territoire doit être retrouvée.
Savoir communiquer.
Les paysans ont une identité, les populations bougent, les agriculteurs restent. Ça "frotte" parfois avec d’autres populations.
Identité marquée : exemple la marque « Ile-de-France »
Privilégier accueil et tourisme.
Nous sommes bien placés pour le tourisme près de Paris, c’est un atout à exploiter.
Réseau T2M intéressant pour le tourisme.
Cohérence politique : attention au mille feuilles.
Le PNR doit ouvrir des voies, amener des sous, aider les politiques.
Réponses de Mme Richard
Le PNR s’inscrit dans une action long terme.
C’est projet avec un cap commun entre tous les élus.
Il doit créer une identité commune sans être banalisante.
Il faut mutualiser les compétences, monter des projets européens à l’image du cas du chanvre.
M. Reuilly
L’équipe du parc : ingénierie sur projets : économie, agriculture, …
Expérimentations, innovations sont poussées, aidées par le parc : circuits courts en agriculture par exemple
Mme Nuyttens
Il faut passer de la méfiance à la confiance pour la gente agricole.
Le PNR ne doit pas figer les choses, l’activité économique doit pouvoir exister dans le cadre d’une agriculture moderne.
Témoignage vidéo : le maire d’une commune de 2000 hab (Bonnelles) du PNR Chevreuse
L’activité économique est possible, des zones d’abord artisanales plus qu’industrielles.
Dans l’exemple cité, ils ont pu faire déplacer un projet de supermarché vers le centre ville plutôt qu’en pleine campagne.
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Jean-Claude Magny, lycée de la Bretonnerie
Il y a un manque de communication.
La vision du PNR par les élèves sont très diverse.
Ceux qui se destinent au milieu agricole le voit comme une mise sous cloche.
Ceux qui vont vers des métiers plus liés à l’environnement y voient une protection des espèces.
Difficulté de faire passer le message.
Difficulté de financer des expérimentations en une agriculture bio.
Une structure PNR pourrait aider en termes d’expertise et de financement.
Les circuits courts : quelques ventes au détail. C’est un moyen de consommation avec le public et d’impliquer d’autres filières.
Intérêt du PNR pour lycée agricole : implication des lycées sur ce type de sujet.
Je retiendrais de cette soirée les idées suivantes :
– un PNR doit à la fois permettre une meilleure protection environnementale tout en allant de l’avant sur l’activité économique, agricole en particulier.
– un PNR est d’abord un outil au service des collectivités, qui permet de lancer des projets innovants.
– un PNR permet d’avoir un poids politique fort.
Concernant la place des associations au sein du syndicat mixte, les réponses n’ont pas vraiment convaincu. La rivalité classique élus-associations es reste en filigrame. Pourtant, sans les associations, le projet ne serait jamais né.
Au delà de cette réunion, l’objectif à court terme est de convaincre les élus locaux d’adhérer au syndicat mixte, c’est l’enjeu des prochaines réunions auxquelles sont vivement invités les élus locaux. Pour le canton de Crécy, c’est à Quincy le 23 mai à 18h30.
Bon, c’est intéressant, mais on a l’impression d’entendre toujours la même chose.
La vraie question tient dans une des lignes du CR : « se doter d’un projet de territoire ».
On a l’impression que les objectifs sont saupoudrés ; un peu d’environnement, un peu de patrimoine, un peu de tourisme, un peu d’agriculture, pour le reste de l’économie, on ne sait pas trop : faire de la mise sous cloche ou pas, ou un peu mais pas trop …
Cela dit ce n’est pas simple quand on y réfléchit.
Mais j’ai le sentiment que pour réussir, en tout cas pour que le PNR est une identité affirmée vis à vis de l’extérieur et qu’en même temps, il puisse constituer un liant à l’intérieur, il faut que les régions ou les sites concernés proposent une cohérence forte en termes d’image.
Le PNR du Morvan, le PNR des volcans d’Auvergne, … ça parle, c’est fort, le PNR de la forêt D’Orient, c’est plus petit mais très cohérent …
Pas simple d’être un PNR aux portes de Paris
Entendre toujours la même chose, certes. Mais combien de gens ont entendu le message. Sur ce site, l’on parle régulièrement du PNR depuis 2004 si je me souviens bien, vous êtes des privilégiés.
Par contre le grand public ne connait pas vraiment le sujet. Bientôt les conseils municipaux vont devoir voter. Je suis à peu près sûr que dans quelques communes moyennes, le conseiller municipal moyen n’a jamais entendu parler du PNR. On l’a dit au cours de la réunion, il y a un vrai problème de communication.
Pour ce qui est de l’identité, la Brie c’est quand même un concept connu, et depuis le moyen-âge. Ce n’est pas à un érudit historien comme toi que je vais l’apprendre.
Oups, puisque tu me tends la perche, j’en profite.
Souvenons-nous, qu’au commencement, il y avait « Le PNR des 2 Morins » que nous avait fait découvrir lomig, du temps où il était des notres.
Et voici ce j’ai proposé dans un commentaire du 16/03/2004 (cf.ci-dessous, la copie de ce commentaire )
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« Re: Parc Naturel Regional, vu par Familles Rurales (Score obtenu : 1)
par jna le Mardi 16 mars 2004 @ 09:46:25
[ Informations sur l’auteur ]
Je trouve paradoxal l’apport collacien sur ce projet, mais il n’en n’est pas moins intéressant.
Je propose un autre nom pour ce Parc qui me paraît beaucoup plus évocateur de la région concerné : « Parc naturel régional de la Brie des Morins »( ou de la Brie des deux Morins) ( ndle : plutôt que « PNR des 2 Morins », donc ).
Ce nom serait un peu moins intimiste que « les 2 Morins » tout seul. L’évocation de la Brie est un repère pour ceux qui ne connaissent pas notre région (imporatnt pour la communication et la promotion vers l’extérieur), il est aussi porteur naturel de ruralité, de fromages et de vaches gambadantes …
C’est une proposition honnête que je soumets directement par ce commentaire, à l’association Familles rurales. «
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C’est ki ka des bonnes zidées parfois ??? je ne m’en lasse pas . 😀
Ca fait 7 ans ! il faut toujours tourner sa langue pendant 7 ans dans la bouche, avant de se répéter !
Je note aussi qu’il y a 7 ans, l’immonde projet de zone industrielle collacienne en fond de vallée m’interpellait déjà : il me paraissait déjà incompatible avec l’idée même de PNR. Les travaux en-cours ne font que confirmer cette autre géniale intuition.
Et il y en a ki disent que je râle tout le temps … ils feraient mieux de m’écouter 😀
râler c’est avant de mourir, ramener sa science,
c’est l’instant présent pour essayer de motiver nos élus et de rappeler certaines promesses électorales pour la défense de la nature et de notre environnement 😉
Oui, il est important de motiver les élus afin qu’ils s’informent, s’impliquent dans le projet.
Ils ont toujours un train de retard sur les associations. En regrettant que ce ne soient pas les associations qui aient le pouvoir décisionnaire, les choses iraient beaucoup plus vite assurément !
Eh oui, tu es un précurseur. Le nom du parc te doit beaucoup. Une plaque commémorative devrait apposée à la maison du parc en ton honneur. Et encore tu n’as pas été complètement écouté : il y a ce « ET » en trop dans le nom qui est vraiment une erreur et que l’on ferait bien de supprimer. Qui sait, ce sera peut-être proposé par le syndicat mixte, un élu, qui n’avait jamais entendu parler du parc à l’époque où tu te creusais les méninges, aura cette idée géniale en réunion.
oui, svp une plaque à mon nom en lieu et place du gros tas de terre à vendre à Couilly
En fait et d’une façon beaucoup plus sérieuse, la question du nom du parc est beaucoup plus importante qu’il n’y parait. L’incohérence de l’appellation actuelle reflète bien les incertitudes, pour ne pas dire le malaise identitaire qui accompagne la tentative de création du parc. Il pourrait ne jamais s’en remettre.
On sait qu’un PNR doit couvrir une région marquée par une identité forte (on parle même de reconnaissance nationale ).
Dans le cas qui nous concerne on n’a toujours pas compris quel était l’objectif du parc à commencer par son périmètre, ce qui me semble essentiel.
Est-ce que l’on vise le « PNR des deux Morins » (voire en termes plus marketing « de la Brie des deux Morin », c’est la même chose) et dans ce cas le périmètre est clair, seules les communes appartenenant aux deux bassins versants sont concernées, excluant ainsi les territoires situés au nord de la Marne ou plus au sud dans le bassin versant de l’Yerre ou encore ceux tournés vers Provins.
Est-ce que l’on vise, le « PNR de la BRIE » (Brie Champenoise plus probablement), auquel cas, on abandonne la notion de « deux Morins » et le périmètre peut alors être élargi naturellement aux communes citées plus haut, exclues du périmètre du « PNR de la Brie des deux Morins ».
Du coup le nom actuel de « PNR de la Brie Et des deux Morins » qui ne veut rien dire du point de vue sémantique traduit bien le malaise et l’incapacité récurente à définir clairement un périmètre. Ce sera ennuyeux de ne pas savoir de quoi on parle quand il s’agira de communiquer auprès du grand public.
Ce dernier , tout comme moi, ne comprendra pas grand chose à l’histoire. de ce » machin ». Il serait temps d’en prendre conscience, car la com grand public risque bien de faire un flop.
Du coup, l’impression que l’on a, c’est plutot qu’avec le PNR on essaie de créer une nouvelle entité pseudo-administrative, dans laquelle elus et associations diverses cherchent d’abord de nouveaux prolongements de mandats, à lmage des syndicats de tous genres qui existent déjà.
L’identité briarde n’est pas très affirmée, et il est même de bon ton parmi les néo-ruraux de la région de présenter le briard de souche (comme moi) comme un être un peu rustre, pas accueillant, hostile aux nouveaux arrivants. Comme les nouveaux arrivants sont plus nombreux à l’ouest qu’à l’est du territoire supposé du PNR, je me demande s’il n’existe pas déjà une fracture identitaire qu’il sera difficle de réduire. Vive le Brie et la morue comme on dit à Crécy.
Ton exposé est intéressant, fouillé, pertinent.
Cependant ta préoccupation, qui est d’ailleurs fort ancienne, n’est pas du tout dans la logique du projet, enfin pas sous cette forme.
S’il est vrai que l’identité est au coeur du débat, la genèse et la logique du projet fonctionnent tout autrement.
Un territoire d’étude de 132 communes s’est dessiné (au départ c’était plus grand avec les communes des autres régions). Ce territoire a été étudié à la loupe sous tous les aspects pour en définir les caractéristiques, les atouts, les faiblesses. Maintenant, il ne s’agit pas de décider d’en haut de manière unilatérale quel sera le territoire, cela ne marche pas ainsi. C’est à chaque commune de décider si elle veut y participer ou pas. Le territoire est très vaste, il y a tout à parier qu’il se réduira. Le pire à craindre est que ce soit un gruyère. Un Brie serait préférable 😉
J’entends bien, et c’est je crois le coeur du problème. La méthodologie est purement technocratique basé sur un postulat : « tiens et si l’on créait un PNR, ça ferait bien ».
On parle d’adhésion de communes, entendons par là du vote de conseils municipaux. Moi je parlais de la perception de la population, d’adhésion populaire, nous ne sommes pas sur le même créneau.
Et tu as raison, une mauvaise compréhension des objectifs pourrait conduire à un effet gruyère.
Le territoire ne correspond pas à l’idée qu’on se fait d’un parc naturel, de ce faite ne risquons nous pas de nous retrouver avec des contraintes d’urbanisation, qui risque malheureusement de créer une obstruction à un développement économique serein du pays créçois, j’entends par développement économique la création d’emplois dit privé et non des emplois précaire du secteur public
Créer de nouvelles zones d’activité sera presque impossible voir irréalisable du faite des cahiers des charges de plus en plus contraignant financièrement pour nos petites communes.
L’investissement dans tous les défis environnementaux et les contraintes financières supporté par les communes et les administrés ne doivent en aucun cas, en cette période de sortie de crise, ni affecter le fonctionnement des communes, ni en fragiliser l’équilibre économique et financière bien trop précaire actuellement.
Toutes les nouvelles approches doivent être assurées d’une cohérence économique, et surtout dénuées de toute orientation dogmatique, pour ne pas dire intégriste car n’oublions pas qu’un PNR est subventionné de deux manières soit par des aides départemental, régionale, national, voir européenne et par les communes choisissant d’adhérer au Parc.
(Un Parc naturel régional ne prélève soi disant aucun impôt pourtant les communes versent en moyenne 1 euro par Hab., ce qui est selon moi un moyen détourné pour ne pas dire subvention par le biais d’imposition.)
Et j’espère que nos élu feront la par des choses le moment venu afin de ne pas reproduire ce qui ce passe actuellement au sein du Pay créçois, c’est-à-dire un concoure de création d’emploi précaire du secteur public au détriment d’une réelle politique de développement économique durable.
Pour information, ci-après le site internet du Parc des Monts d’Ardèche qui fête cette années ses 10 ans.
Intéressante source de renseignements pour ceux qui se questionnent.
http://www.parc-monts-ardeche.fr/v1/sommaire.php3
à propos de « Marie Richard, Maire de la Ferté-sous-Jouarre, conseillère générale, conseillère régionale », est-ce que l’on sait quel mandat elle compte abandonner dans le contexte de l’interdiction du cumul de mandats ?
que la droite donne l’exemple 😐
De toutes façons la question de jna est hors sujet dans cet article.
Réponses aux deux larons brionautes qui viennent de répondre n’importe quoi à mon commentaire!
C’était juste une question non partisane ( tous les élus sont soumis aux mêmes lois en la matière me semble-t-il : prnons l’exemple du sénateur maire que nous connaissons, il a du abandonné son mandat de CG quand il est devenu sénateur) qui n’est pas si hors sujet que cela.
En effet, sachant que le sort du PNR est trsè dépendant de la Région, une élue au conseil Régional, Vice Pdte de Conseil de surccroit, c’est un atout pour le PNR à mon avis. D’où ma question.
Je réfute le « n’importe quoi » et je maintiens que la question était hors sujet.
Maintenant, le complément de question qui nous ramène au PNR, peut être pris en compte.
Je ne connais pas la réponse à la question initiale, mais j’ai noté que Mme Mollet-Lidy s’est présentée au nom du conseil régional dont elle représentait le vice-président absent. On peut en déduire que Mme Richard était d’abord là en tant que Maire de la Ferté, hôte de la réunion, tout en étant très investie dans le projet. Mais cela ne répond pas à la question initiale …
Monsieur le sénateur maire à plusieurs casquettes maire ,sénateur ,président de l’union des maires ,et président du syndicat du Grand Morin ?
de plus je le trouve bien fatigué , 😉 tu devrais t’inquiéter pour lui 😮
le smiley rigolo 😉 qui suit le « je le trouve bien fatigué » n’est pas des plus heureux.
Quant aux casquettes, il n’y en a que deux qui entrent dans le cadre de la loi sur le cumul des mandats électifs. Les autres, les zacotés comme je le disait plus haut en parlant du PNR font partie des divers prolongements des zélus dans les différentes institutions et syndicats.
A noter que les indemnités liées à certains de ces mandats sont parfois correctement indemnisés, c’est pourquoi il y a peu de risques de les voir vacants.