Le Pré Manche, le couteau suisse du Pays Créçois

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21 réponses

  1. mdspr dit :

    bjr !
    oui; le parcours; le morin c’est très agréable Mais j’aime pas
    : les crottes de chien sur la piste, les poubelles pleines et quasi
    jamais vidées, les tas d’herbe en décomposition.

    A part tout ça, je suis crécois et j’aime vivre à crécy. 😛

    • IndianaJones dit :

      Ou quand le parcours de santé devient le parcours du combattant… 😀

    • jms dit :

      En rappelant, s’il en est besoin, que le Pré Manche est sur le territoire de Voulangis, même si le terrain est un un bien municipal créçois.

    • jna dit :

      Cher ami,
      – les crottes de chiens : … il n’y en a pas tant que ça sur la piste, peut-être dans l’herbe … en tout cas les chiens créçois sont éduqués mais rien ne nous interdit de penser que des chiens voulangeois passent par là, et donc, on peut tout craindre…
      – les poubelles pleines qui débordent, ça c’est pas faut. Le plus curieux comme on l’a dit il n’y a pas si longtemps, c’est de voir que certains continuent à remplir des poubelles pleines.
      – les tas d’herbe en décomposition : alors là, je ne suis pas d’accord, c’est naturel, l’espace est assez vaste pour laisser l’herbe pourrir tranquillement dans un coin et permettre à nos jeunes footballeurs et aussi à nos vétérans (qui tapent et courrent encore bien le dimanche matin !) de pratiquer leur sport favori sur des surfaces correctement tondues.

      :-d)

      • jms dit :

        Pour une fois depuis longtemps je suis d’accord avec jna, en particulier sur le troisième point.
        Un tas d’herbe en décomposition sur un site naturel de 10ha, je ne vois pas en quoi cela peut gêner. Rien de plus naturel à cela.
        Quand je vois ce matin, en faisant le tour de Voulangis, les tonnes d’herbes et de brindilles stockées dans des sacs devant les maisons attendant le ramassage, je me dis qu’on marche sur la tête. Payer des camions pour transporter de l’herbe est complètement aberrant, alors qu’il suffit de la laisser sécher dans un coin, cela en diminuera considérablement le volume et donnera du terreau. Sommes-nous encore à la campagne ? on se demande ! je pense que certains n’y sont plus au moins dans leur tête, et c’est le plus grave.

        • jna dit :

          Je ne suis qu’à moitié d’accord avec jms pour une fois.
          Concernant le ramassage de déchets verts, c’est un service très utile au contarire. Il faut penser que tous les habitants ne disposent pas de milliers de m2 de terrain pour se permettre de faire des tas de déchets verts chez eux. Stoppons là cette écolo-ruro-démagogie qui pourrait nous conduire à parler du barreau alors que ce ,n’est pas le sujet de l’article.
          Personnellement, moi qui n’habite qu’un lotissement (une hérésie dans l’esprit des bien pensant de ce pays créçois !) je recycle sans pb l’herbe des tontes soit en paillage soit en les déposant sur un tas d’herbe « justement » qui se décompose tranquillement au gré des saisons. Pour les autres déchets, c’est plus compliqué : tailles de haies, branches, … des déchets un peu « gros » qui sont chaque année plus importants en volume. Alors, le ramassage organisé est bien pratique.
          Il y a bien la solution traditionnelle, très rurale et très campagne, comme on l’aime, celle que nos ancêtres paysans et ruraux jardiniers ont toujours partiqué : le bon vieux feu au fond du jardin, mais ce n’est plus très tendance et heureusement interdit de mars à octobre, car avec les barbecue, l’air est déjà bien saturé (et ça dérange les pêcheurs comme nous l’avons vu dans un précédent article).

          Enfin, il reste la possibilté de se rendre, avec sa voiture, chacun à la queue leu leu, à la décheterie, Mais attention, le bilan carbone de cette solution est bien moins satisfaisant que celui d’un ramassage organisé : un camion contre mille voitures, ii n’y a pas photo ! . Solution intermédiaire, délocaliser les points de collecte en mettant des bennes dans chaque commune ?

          • retraitactif dit :

            mettre du gazon synthétique,ça ne pollue qu’une fois (à la fabrication) et ça évite tout le reste..tonte, donc pas de carburant ou éléctricité-pas de fumée-pas d’engrais-pas de fatigue etc.. 😉 😛 .

          • jms dit :

            Que ceux qui ont un tout petit jardin soient concernés, je veux bien, mais quand on voit des sacs par dizaines, au bout de propriétés pas si petites que cela, je reste perplexe.
            Bruler du gazon, j’avoue ne pas avoir essayé, c’est peut-être une coutume du côté des Rougets. On peut supposer que les émanations aient des vertus aux effets curieux …
            Par contre s’agissant de branchages issus d’élagage, le feu est quand même ce qu’il y a de plus efficace et c’est très répandu dans la vallée, contrairement à ce qu’écrit jna, du moins chez ceux qui ont une assez grande propriété et ont conservé le bon sens paysan.

            • retraitactif dit :

              pour ma part, je mets tous les déchets végétaux(espaces verts et nourriture )plus les cartons d’emballage non imprimés sur un tas qui me donne une fois par an une dizaine de brouettes d’un compost de très bonne qualité :-d) .
              pour les branchages et Dieu s’est si j’en ai, ou je fais emmener à la décharge de nanteuil ou je les brule en prenant toutes les précautions de bon sens(direction du vent pour ne pas géner les voisins ou la route-lance d’arrosage à proximité immédiate-rateau etc…)
              L’inconvénient c’est qu’on ne peut pas en faire toute l’année (en principe). 🙁 😉

              • IndianaJones dit :

                En principe, oui ! 😉
                Sauf si le feu est contenu dans un incinérateur de jardin, genre gros bidon en tôle.
                Par contre, pour éviter les fumées, il ne faut pas brûler des branches en feuilles, ni du bois vert, ni
                l’herbe.
                Le tas de bois, pour ceux qui ont du terrain, est un bon abri pour la faune sauvage (hérisson, troglodyte mignon,..). Il suffit de le renouveler pour le faire sécher, une fois par an.
                Le broyer pour l’ajouter au compost de l’herbe de tonte donne aussi un très bon terreau… et de très beaux lombrics que les poissons du Morin semblent apprécier. 😀
                La collecte des déchets verts est un bon compromis pour les petits terrains. Elle évite la queue leu-leu des véhicules à la déchetterie, mais aussi, de ne plus avoir de bennes remplies de n’importe quoi.

          • AS77 dit :

            baskets argentés nom indien de JNA, le pêcheur ils invite les gens de ton campement à allumer des feux avec brulages de plastiques et autres détritus ,le jour ou le vent pousse ses agréables odeurs dans ton habitation ou vu le beau temps tu à laissé les fenêtres ouvertes et ton linge sécher au vent histoire d’avoir un linge frais et sans odeurs ,peut être que le jour ou cela va t’arriver tu va ranger le calumet de la paix et déterré la hache de guerre 😉 pour les feuillages et les tailles de haies et arbres tu achète un broyeur pour végétaux et cela te fera du composte en plus , bonne journée et bons baisers de villiers le pêcheur râleur 😉 :paf

            • jna dit :

              eh bé marin d’eau douce ! tu ne lis toujours pas jusqu’au bout ce que j’écris … le feu, j’ai justement indiqué que ça faisait de la fumée (de fait, il n’y a pas de fumée sans feu) qui peut être très gênante pour les voisins qui ont eu l’idée saugrenue d’aérer leur demeure ou de faire sécher du linge à l’extérieur, au soleil et au vent que dame nature nous prête si généreusement (alors que c’est bête parcequ’il y a des sèche linge énergivores qui font ça très bien au propre), des fumées même plus gênantes que celle les barbecue … sauf ceux des pêcheurs, quand ils font griller leur fritures !

              Mais c’est le boss jms, ton mentor qui dit que c’est super le feu ! Moi j’en fait un en automne, fin novembre ou début décembre quand les fenêtres sont fermées, en revanche je n’ai jamais dis que je faisais brûler du gazon comme le prétend notre Président ( non mais, c’est lui qui fume de l’herbe ou quoi ?)
              Donc, vois avec le Président pour en discuter, si sa fumée te gêne.

              Pour ma part, je lis aussi les petites annonces des Brionautes. Et c’est comme ça que j’ai récupéré le broyeur de végétaux de Retraitactif qui cherchait à s’en débarasser. J’en profite pour lui faire savoir que j’ai fait un test avec des branches de rosier … c’était pas la meilleure idée. Je recommencerai avec un autre matériau, mais c’est vrai qu’il faut être passiant. En deux ou trois jours de broyage on doit bien pouvoir obtenir un sceau de déchet.

              Quant à Indiana qui parle de brûler dans un bidon, je voudrais bien savoir où il a vu ça, ou entendu ça (et en parlant d’entendre des voix, ça me rappelle une histoire de bûcher)

              • AS77 dit :

                le président je suppose qu’il rêve d’être un saumon ,(nous les uns des autres ) 😛 de plus ce n’est pas avec un mentor que l’on peu retourner sa veste ?? 😉 😎

              • IndianaJones dit :

                Brûler dans des bidons c’est faisable, c’est en vente libre dans toutes les GSB, sous le doux nom d’incinérateur de végétaux.
                A utiliser sans modération à la seule condition qu’il soit en acier, galvanisé ou non. L’acier est un matériau incombustible, il se déforme mais ne prend pas feu. En revanche, il reste un très bon conducteur de chaleur, faut pas s’en approcher quand on brûle !
                Autrement dit, on nous vend aujourd’hui le fût en acier d’autrefois, idéal pour les méchouis et le brûlis…

          • misterMdeVILLIERS dit :

            Et dire qu’avant les paysans du plateau de Villiers pratiquaient les feux pastoraux (écobuage pour les incultes), pratique ancestrale dans l’agriculture.
            Et maintenant on ne pourrait plus le faire, sous divers prétexte alors qu’un bon feu de branchage ou de broussaille l’hiver réchauffe le bien heureux et au printemps fortifie et assainis sa terre afin que sa récolte soit généreuse avec lui.
            A les bonnes pratiques ce perdent avec le temps sous couvert de principe et de ressenti.

            • jna dit :

              oui, mais nous parlions de feux « en milieu quasi urbain ».

              • papounet dit :

                et vous pourriez nous dire la définition du » quasi urbain » 😉 . moi à part le quasi de veau????? 🙁

                • jms dit :

                  Mr le nouvel venu, vous mettez les pieds dans le plat.
                  Le « quasi-urbain » est à rapprocher du « rurbain » et autre « néo-urbain ». Le « quasi-urbain » veut habiter la campagne, mais sans en subir les conséquences. Il veut son confort, son jardin, mais il se débarrasse de ce qu’il appelle des déchets, tonte, branchages, alors que ce ne sont des choses bien naturelles qui lui incomberaient de recycler. Il est friand de services en tous genres, et d’assistanat, de préférence de ce qui n’existe pas à la campagne. Il veut vivre loin de la ville mais pas trop loin quand même, il n’aime pas être isolé des autres, mais ne les fréquente pas pour autant. Il veut le métro au bout de la rue, ou à défaut un bus toutes les 10mn. Il ne fréquente que les hyper-marchés, de préférence les plus bondés, où il y a beaucoup de queues, signe de qualité selon ses critères. Il va peu aux activités et festivités locales qu’il considère comme ringardes, laissant cela aux locaux. Il aime bien les clôtures et les haies denses pour ne pas être vu.
                  Je pense que vous saurez compléter le portrait, on en connait tous, mais on n’en fait pas partie, évidemment.

                  • papounet dit :

                    je pensais que c’était une zone plutot géographique.. :#
                    Merci de ces précisons « l’ancien ». 😉

                    • jna dit :

                      oui, moi aussi, c’est plutôt comme une zone géographique que je voyais le « milieu quasi-urbain » que j’ai évoqué.
                      Tout simplement des zones qui ne sont pas nécessairement très urbanisées et sans doute plus de la campagne. Bref une urbanisation véritable mais mesurée, si vous voyez ce que je veux dire, du genre de ce que l’on rencontre à tous nos coins de rues.
                      Alors, de là à dire que les habitants de ces zones présentent les caractéristiques décrites par jms, c’est peut être aller vite en besogne, sauf à considérer que la zone quasi urbaine est en même temps péri-urbaine (à proximité d’une zone très urbanisée). Et réciproquement.
                      Franchement cher papounet, vous auriez pu poser une autre première question. Bienvenu chez les fous !

                • AS77 dit :

                  dans les stands de tire il y à les( quasi mir) 😉

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