Conseil municipal de Voulangis du 18 mai 2010

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5 réponses

  1. jms dit :

    Le premier sujet abordé, qui était en fait un sujet divers traite du déroulement des futures élections municipales et communautaires.
    En effet en 2014, la loi va changer, dans la mesure où conseillers généraux et conseillers régionaux ne feront plus qu’un et s’appeleront des conseillers terriroriaux.
    Il seront surtout moins nombreux, nous aurons l’occasion d’y revenir.

    Le législateur en a profité pour modifier également les élections municipales. Jusqu’à présent dans les communes de moins de 3500 habitants, nous avions des scrutins nominatifs.
    Au sein d’une liste l’électeur pouvait rayer des noms et en rajouter d’autres. Au final, on comptait les voix de chacun.
    Dans les communes de plus de 3500 habitants, il s’agissait d’un scrutin de listes, où l’electeur choisit une liste entière sans possibilité de panachage.
    Les élus sont déterminés par un système de proportionnelle, dans l’ordre de la liste, liste d’ailleurs alternant un homme et une femme.
    Ce système va être généralisé aux communes de 500 habitants (voire 1000, il semble que ce ne soit pas tranché).
    Il s’agira d’un changement culturel important.
    Les avantages sont facilement visibles.
    Une meilleure représentativité des femmes, souvent bien peu nombreuses dans les conseils.
    Et surtout une meilleure représentativité des tendances de la commune, où ce ne sera plus une liste qui rafflera tous les postes.
    A l’inverse on peut craindre une politisation des communes, les partis politiques cherchant à être représentés un peu partout.

  2. AS77 dit :

    j’aimerai bien être reçu par la commune de VOULANGIS ,lors du prochain conseil afin de prévoir avec la commune une action de nettoyage et débroussaillage des bords du Grand Morin sur la commune afin de redonner accès aux pêcheurs promeneurs les bénévoles seront les bien venus :b

  3. retraitactif dit :

    Le parisien.fr du 31 mai 2010
    « La Seine-et-Marne lance un grand projet de développement et de modernisation pour ne pas être à la traîne dans les prochaines années.
    1 réaction | Réagir L.P. | 31.05.2010, 07h00
    A quoi ressemblera la Seine-et-Marne dans les années à venir? Quels projets vos élus soutiendront-ils? Quels sont les souhaits des habitants? Autant de questions auxquelles le conseil général a voulu trouver des réponses concrètes en lançant en septembre dernier Projet de territoire. Une série de rencontres citoyennes et de réunions d’élus ou de responsables d’entreprise, dont le fruit du travail a été dévoilé et soumis au vote vendredi en séance publique (lire ci-dessous).

    La méthode de travail. Réunions publiques, enquête statistique auprès d’une centaine d’habitants, propositions à déposer sur un site Internet dédié : plus de 4000 Seine-et-Marnais, tous profils et appartenances politiques confondus, ont participé à l’élaboration du projet.

    « Ce projet, ce sont des pistes pour donner une vision moderne et dynamique de notre département, mais sans qu’il perde ses spécificités, comme ce territoire vert unique, s’enthousiasme Vincent Eblé, président (PS) du conseil général. Nous changeons de position. Après les revendications, voici le temps des propositions. »
    Renforcer les services. Sous ce thème, Projet de territoire mise sur l’aménagement numérique avec un réseau très haut débit qui permettra de développer le télétravail et la télésanté, d’augmenter les services proposés sous forme itinérante. Egalement en projet : davantage de services dans les gares, l’installation d’un centre hospitalier universitaire puis des grands équipements sportifs comme une salle couverte pour l’athlétisme à Sénart…

    Faciliter la mobilité. Objectif : augmenter l’offre de transports en commun, faire de la Seine-et-Marne un territoire d’expérimentation pour l’information en temps réel, tester les abonnements associant plusieurs modes de transport, développer de nouveaux moyens de circuler. En projet, par exemple, créer un couloir de bus sur la bande d’arrêt d’urgence de la Francilienne et de l’A 4 ou encore défendre la création d’une gare TGV à Sénart ou Villaroche.

    Miser sur le tourisme. Pour développer le tourisme et l’économie qui va avec, plusieurs pistes : augmenter l’offre de sports nature, mettre en valeur les massifs forestiers, miser sur des équipements forts comme les futurs Villages Nature de Disney et Pierre & Vacances, tout en renouvelant l’image du département avec des actions de marketing.

    Etre leader de l’écoconstruction. En s’appuyant sur le pôle d’excellence de la ville durable de la cité Descartes du Grand Paris, le pôle Bâtir Eco ou encore l’Ecovallée de la Marne, il s’agit de miser sur la construction, de devenir expert dans la création de matériaux recyclables et d’orienter les marchés publics vers des chantiers d’écoconstruction.

    Sauvegarder l’agriculture. Pour son développement urbain, la Seine-et-Marne veut inventer un modèle misant sur la biodiversité, y compris par l’agriculture périurbaine, et mettre en avant trois pôles urbains (Marne-la-Vallée, Sénart-Melun et Roissy) ou encore penser à l’aménagement durable des zones d’activités.

    Prochaine échéance pour Projet de territoire : la création d’un conseil participatif, composé d’élus, de citoyens et de forces vives, qui assurera la veille et l’actualisation du texte, sans doute à partir de l’automne. » :#
    Le lien vers l’article complet : L’article du Parisien.fr

    • retraitactif dit :

      Encore un projet d’une autre entité…on s’y perd dans les projets tous azimuts 🙁

    • jms dit :

      Je me suis permis de déplacer ce commentaire, que retraitactif avait initialement déposer sur un article ancien à propos de la rurbanisation à voulangis. En fait ce texte paru dans le parisien d’aujourd’hui est complètement en ligne avec le diagnostic de territoire évoqué au cours du conseil municipal de Voulangis. Ce diagnostic réalisé par le pays créçois est effectué dans le cadre proposé par le conseil général tel que décrit dans l’article du Parisien. Par contre à ma connaissance au niveau du pays créçois il n’y a pas eu de réunions publiques et de rencontres citoyennes, mais des travaux entre élus. C’est un peu dommage …

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