H1N1 : VACC1 ou RI1 ?

Vous aimerez aussi...

31 réponses

  1. jms dit :

    Article équilibré et qui pose bien le problème, me semble-t-il.
    Un sujet délicat, une situation un peu nouvelle, pas facile à gérer autant au niveau collectif qu’individuel.

  2. jna dit :

    Pour ma part, je n’envisage pas de me faire vacciner.

    • Florence dit :

      Je me demande si je vais me faire vacciner. Je n’en ai pas trop envie d’après ce que je lis et entends. Je suis très perplexe. Votre article est fort intéressant José, mais j’aurais aimé avoir davantage d’avis médicaux. Les infirmiers et infirmières sont souvent plus habiles que les médecins pour les actes qui relèvent de leur spécialité, mais moins qualifiés qu’eux pour traiter d’un tel sujet.

      • jna dit :

        Vous avez raison Florence. L’article n’est pas exhaustif, il est plutôt là pour lancer le débat, qui ne se lance pas d’ailleurs.
        Les médecins sont, on l’imagine plus qualifiés, mais en revanche très divisés sur la question. Certains praticiens (qui ne sont pas des experts) déconseillent le vaccin à certains patients.

  3. jna dit :

    Ce matin encore, j’entendais à la gare de l’est un long message d’avertissement concernant les symptômes (toux, fièvre au dessus de 38°, ..) de la grippe H1N1 et la démarche à adopter par ceux qui présenteraient les dits symptômes : consulter un médecin et n’appeler le 15 qu’en cas d’urgence.
    Bref on nous aurait expliqué qu’en cas de rage de dents il était conseillé de consulter un dentiste sans se rendre nécessairement à l’hopital que l’intérêt pédagogique du message eut été le même. Sans compter qu’il est repris en anglais puis en allemand.
    Curieuse atmosphère de crise sans crise. Je pense qu’en l’état actuel des choses, les autorités feraient mieux de lever le pied et stopper ce genre de campagne d’information au parfum alarmiste et de la réserver à une éventuelle période de reprise de la grippe au cours de l’hiver.
    Dans le contexte actuel, cela décrédibilise le dispositif de prévention, on s’habitue, on n’y fait plus attention, on n’y croit plus et on a plutôt l’impression que l’on cherche à nous « vendre » la pandémie, même si on en a pas particulièrement l’utilité !!!

    • retraitactif dit :

      Il est vrai que ce n’est plus de l’information mais de l’intoxication mais ne vaut-il pas mieux une intoxication verbale quitte à ce qu’elle ne serve à rien plutot qu’un silence qui en cas d’agravation de l’épidémie serait bien entendu reproché à ceux là même qui aujourd’hui en font peut-être un peu trop.
      Souvenez vous du drame du sang contaminé ou il a été découvert quelques années après les faits qu’aucune mesure préventive ni information ni précaution avait été prise alors que les responsables étaient bien informés des risques encourus.
      Et puis si par malheur ça arrivait et que le gouvernement n’ait rien dit ou fait comment réagirions nous;hein Serge?
      De toute façon les messages de précaution diffusés un peu partout sont applicables à tout symptome que ce soit pour cette grippe ou « l’ordinaire » et toute maladie en général.

      • jna dit :

        Ne confondons pas tout.
        Il est clair, comme je l’ai souligné, dans l’article que si « rien n’avait été fait » et que la grippe se révélait très dangeureuse, tout le monde mettrait en avant l’incompétence de ceux qui n’auraient pas su anticiper.
        Alors, mieux vaut être trop prudent que pas assez, même si aujourd’hui, il est tentant de dire qu’on en a trop fait. C’est le principe de précaution. Facile de critiquer après coup, c’est évident.

        Maintenant, au point où l’on en est, le risque c’est aussi que l’on veuille nous faire croire -à tout prix – que les précautions prises étaient bien justifiées et qu’en on essaie de faire appliquer toutes les mesures sanitaires prévues, même si ça ne parait pas ou plus utile, et ce juste pour éviter de se voir justement reprocher que le dispositif anti-grippe ne sert pas à grand chose. Du coup, cela reviendrait à ignorer les avis de certains experts médicaux qui émettent des doutes quant au bienfait de la vaccination. Si le risque sanitaire était là au bout du compte ?

        Nos gouvernants sauraient-ils le reconnaître maintenant, pour accepter de faire marche arrière, quitte à constater un gâchis financier lié à la perte de millions de vaccins. Ca ne serait d’ailleurs qu’un tout petit gâchis financier (comparé à d’autres) etr compte tenu des enjeux de santé publique.

        Ma conclusion est que la bonne attitude serait : d’un côté ne pas reprocher au gouvernement d’avoir investi dans des vaccins (on aurait pu, ne pas le regretter et s’en féliciter en cas de pandémie méchante), a contrario attendre des autorités qu’elles sachent (acceptent) de nous informer objectivement sur les + et – des vaccins que l’on veut nous inoculer.
        Le plus de transparence éthique, et le moins de critiques pûrement « politiciennes » ou de principe.

        • retraitactif dit :

          Certes chacun y va de son avis et probablement parmi eux ceux qui n’y connaissent rien..
          C’est comme pour tout chez nous en France il faut qu’on doute qu’on critique
          même qu’on démolisse parfois sinon on ne serait pas Français
          Un exemple parmi tant d’autres souvenez vous il y a une dizaine d’années,des experts « vraiment experts »(c ‘est fou le nombre d’experts qu’il y a depuis quelques anneés) déclaraient haut et fort que les phares blancs allaient nous rendre aveugles….

          • amorel dit :

            A crécy la salle Atlmann va être réquisitionnée pendant 4 mois pour les vaccinations.
            En ce qui concerne les bienfaits ou les méfaits de la vaccination, on entend tout et son contraire, il est probable aussi que la vaccination ne fasse pas les mêmes effets sur chacun d’entre nous.
            En ce qui me concerne, je n’irai pas me faire vacciner, je ne me sens pas menacé par ce virus.
            Je vais prendre tout de même une mesure préventive : Un verre de bon vin rouge tous les soirs avant de se coucher, l’alccol et les tanins , renforceraient les défenses immunitaires. C’est en tout cas ce que déclare le docteur Boivin de la faculté de médecine de Bordeaux, célèbre oenopathe, qui a édité aux éditions du CEP un opuscule intitulé :  » Se soigner par les vins « .
            Cette thérapie révolutionnaire à l’étude au ministère de la santé présente plusieurs avantages indéniable outre son caractère sympathique, elle permettrait d’une part de diminuer la consommation de médicaments remboursés par la sécurité sociale ( antimorosité, bactéricides ) et de relancer un secteur économique en difficulté au détriment je vous le concède des laboratoires pharmaceutiques.
            En revanche je déconseille le vin générique des différents pays de la CEE, je conseille plutôt le vin de marque appellation d’origine controlée.

  4. jms dit :

    A lire, cet article très intéressant qui explique l’historique et pose bien le poblème. De plus il est très récent : http://www.atoute.org/n/article134.html

  5. jms dit :

    Au passage merci à jna d’avoir rajouté dans le bandeau d’annonce de la vaccination la photo de Roselyne Bachelot. Cette photo, de la minstre toute enjouée, apporte une certaine humanité, à ce sujet empreint d’une certaine gravité.

    • retraitactif dit :

      Sur ce blog on sent comme un regret…164 morts seulement….N’est-ce pas déja trop?
      Ce petit nombre est peut-être en partie dû à la vaccination.
      On assiste à une véritable démolition de l’action entreprise.
      Si le gouvernement n’avait pas entrepris cette campagne et qu’il y ait eu des milliers de mort??????????? :#

Laisser un commentaire