Etape suivante, le portique. Une file d’attente pour 2 portiques. Arrivé au premier, une partie de la file était invitée (en fait on n’avait pas le choix) à aller rejoindre le 2ème portique situé plus loin.
Juste au moment de passer au premier portique on nous envoya donc (evidemment ça tombe sur nous) vers le 2ème portique où une nouvelle file s’était constituée.
Quand vint notre tour, nous dûmes à nouveau attendre. L’équipage de l’avion arrivait et tous ces gens-là nous passèrent devant, priorité oblige ! Finalement, il restait peu de temps à attendre avant d’embarquer. Il faut dire qu’il nous en font tellement perdre du temps. On ne peut pas dire que l’efficacité au service du client soit l’objectif de tous ces personnels.
Dans l’avion, chez Iberia, entre Paris et Madrid il faut savoir que la restauration est payante et assez limitée.
Si vous ne le savez pas et qu’il n’y a pas de menu au niveau de votre siège, les hotesses passent en vitesse avec leur chariot et vous sautez un repas ! A Madrid, 4 heures d’attente. En fait, à peine 2 seulement. Eh oui, cet aéroport est immense. Aux anciens terminaux 1, 2 et 3 qui sont en fait 3 batiments mis bout à bout d’une longueur de plusieurs kilomètres, est venu s’ajouter le terminal 4 à l’autre bout de l’aéroport.
Face au terminal 4 où nous avons atteri, de l’autre côté de la piste le terminal 4F. Entre les 2 un métro automatique. Au total des kilomètres de couloirs, trottoirs roulants, escaliers. Bref on n’est pas près d’arriver.
Boutique dans l’aéroport international de Madrid, plus international que madrilène
Les 8 heures de vol se passèrent sans encombre. L’arrivée fut plus cahotique. Dans l’avion, pour avancer les choses, il fallut commencer par remplir des fiches, une par famille et une par personne. A peine descendu, on rendit les fiches avec 10$ dollars (US) par personne et l’on nous donna un papier appelé "carte touristique". 20m plus loin, on redonnait le papier à un préposé qui la jetait au panier et nous laissait passer. Beaucoup de contrôles à l’arrivée, et ce que je n’ai vu nulle part, et qui n’est pas idiot finalement, à l’issue de la livraison des bagages, la vérification que les bagages que l’on prenait étaient bien les nôtres.
Nous étions à l’heure, il n’y avait plus qu’à aller récupérer la voiture de location et nous rendre à la résidence, à 30mn selon notre documentation. Les choses allaient se passer tout autrement.
Chez AVIS, une queue assez longue alors que d’habitude on passe tout de suite. Et cela avait l’air d’être très long comme formalités pour chaque client. Arrivé à notre tour, ce fut la même chose. Et il fallut entendre encore au dépot des véhicules. En fait ce que l’on compris, c’est qu’ils n’avaient pas assez de voitures rentrées et qu’ils jouaient la montre. 2 heures plus tard nous prîmes possession de notre voiture, après que le préposé ait gribouillé l’état des lieux pour indiquer tous les petits coups qui avaient martelés la carosserie. Etonnant pour une voirure qui n’avait que quelques petits milliers de kilomètres. D’ordinaire quand je vais à l’étranger, je prévois toujours une carte du pays acheté en France; là j’avais oublié de le faire. J’en demandais une au loueur, qui pour une fois non plus n’en avais pas. Nous partîmes donc en suivant les indications fournis avec l’adresse de notre résidence.
Cela avait l’air simple.
Ce ne le fut pas.
Les indications de notre papier n’étaient pas assez précises et faisaient référence à un hotel comme point de repère, et dont le nom, se retrouve en plusieurs lieux, d’où des méprises. En fait, hormis quelques 4 voies à peu près potables, le réseau est dans un état lamentable. Point de panneau indicateur, des trous sur la chaussée et de superbes ralentisseurs. En fait une monticule de béton d’une dizaine de centimètres que l’on ne peut passer qu’à l’arrêt absolu. Une circulation parfois dense où motocyclistes et piétons traversent dans tous les sens, sans prévenir. Après nous être trompés plusieurs fois, pour éviter de repartir dans des mauvaises directions nous dûmes accomplir des opérations que l’on n’imaginerait pas en France, du style reculer sur 500 m sur une voie d’accès à la 4 voies, ou encore prendre une voie à contre-sens !
Familles Rurales a déjà suffisament à faire avec nos chemis de fers nationaux et autre moyens de transport locaux !
Cela se passe dans nos aéroports nationaux et concerne des consommateurs et en particulier des familles en très grand nombre. Un vrai sujet.
Certes, c’est pire dans d’autres pays comme les états-unis. Des français rencontrés dans la même résidence avaient fait escale par Miami. Sans pour autant rentrer sur le territoire américains ils eurent droit à 1h30 de contrôles en règle. C’est clair que c’est de l’abus de pouvoir. En fait ce type de comportement est plutôt du ressort des droits de l’homme. Mais on voudrait dissuader les gens de prendre l’avion ou de transiter par certains pays on ne s’y prendrait pas autrement.
Tout ça c’est bien fait tu n’avais qu’à prendre AIR FRANCE na. :b
je suppose que tu as atterri à Punta cana car tu ne précises pas? :#
j’y suis allé il ya 5 ans à part les hotels c’est assez misérable et parfois peu sûr. 🙁
On a atteri à la capitale San Domingo et on était logé à Juan Dolio.
C’est encore les lieux les plus développés, ce qui n’est pas le cas partout. Mais nous en reparlerons.
Quand je suis allée aux Etats-Unis on nous a fait remplir dans l’avion un questionnaire interminable qui témoignait d’une obsession tellement outrée que c’en était caricatural. Ils étaient absolument hantés par le fait qu’on pouvait leur apporter des microbes, substances toxiques, etc. Et c’était d’un tatillon … Il aurait pratiquement fallu, pour ne pas se trouver en défaut, être resté enfermé chez soi, sans ouvrir une fenêtre, sans contact avec des plantes et fleurs, et sans manger, pendant x temps. Inénarrable. Ce n’est dans mes habitudes de manquer de sincérité. Mais là j’avoue que je n’ai pas recherché les ennuis.
Pour les USA ça n’a pas changé; au contraire ça c’est encore compliqué puisque une réplique du papier vert est à remplir avant le départ par internet (procédure ESPA) qui autorise la Cie aérienne à vous transporter(on l’obtient immédiatement) qu’il faut donc présenter à l’embarquement;de plus le fameux papier vert est toujours à remplir dans l’avion et à présenter à l’arrivée. 😐 :paf
je vais en Floride fin Avril.
lire : « ce n’est PAS dans mes habitudes ».
Dis, Quand est-ce que tu nous concocte la suite?
Malgré ton emploi du temps surchargé (plus si vrai maintenant…), tu ne pourrais pas trouver un créneau??
Car, selon moi, sa va de soi, le meileur reste à venir!!
Ps: Quoique le précédent texte aurait pu être encore plus hilarant si tu nous avait préciser qu’il faut également reculer pendant 1.5km, à cause d’une route à deux voies (certes, jonchée de trous et de ralentisseurs, qui ne servent donc pas à grand chose), qui s’arrête brusquement dans la broussaille, laissant les conducteurs inexpérimentés consternés! :#
Je suis intrigué pas ce commentaire. J’ai d’abord pensé à jna mais ce n’est pas lui. Vu l’anecdote citée, c’est quelqu’un qui était dans la voiture quand nous cherchions notre route. Une petit souris peut-être :#