11e Printemps des Poètes
Du 2 au 15 mars 2009
EN RIRE(S) Les gens qui ne rient jamais ne sont pas sérieux » Alphonse Allais Rire de tout, rire de rien … le propre de l’homme Le 11° Printemps de poètes, c’est libre court à l’art oratoire, pas ostentatoire … Le rire timide : le sou rire Le rire extraverti : le fou rire Rire de la crise, rire du froid, rire de … tout et de rien Le clownage est fortement conseillé, pitre de tout genre lâchez vous, faîtes le cirque ! Alors tous chez le marchand du bonheur pour s’en payer une bonne tranche ! Concours de rire, de la meilleure histoire, soirée comique …. Tout est ouvert …. cet hiver , hiver et contre tous ! http://www.printempsdespoetes.com/ |
(article vu 5 fois)
Amis de la poésie, bonsoir ! 🙂
Ce printemps des poëtes, édition 2009, aurait aussi pu s’intituler « la crise, mieux vaut en rire qu’en pleurer »
Et tant qu’à en rire, autant en rire en vers.
Je ne sais pas si vous avez essayé de rire en vers, mais ça change tout par rapport à rire en prose !
C’est moins sonore comme rire, plus subtil, mieux maitrisé, plus elitiste peut-être aussi.
J’ai jeté un oeil sur le site indiqué en lien, car je ne voyais pas trop de quoi il retourne.
Après consultation du site, ce n’est toujours pas clair. Des spectacles, un banquets aux Cordeliers, …
peux-tu proposer un projet aux Brionautes qui sont tout aussi rigolos que poëts !
Cela me fair repenser au film « URANUS » dans lequel le patron d’un café pendant la guerre (Depardieu) se découvre une vocation de poète … des vers irrésistibles, il faudrait en retrouver quelques uns !
http://www.dailymotion.com/search/uranus/video/x84enx_uranus-claude-berry-extrait_shortfilms
Un patron de café qui sert des vers, c’est plutôt normal !
On vous demande pas de chercher des vers tous fais mais de faire travailler vos cerveaux, votre imagination, votre sensabilté, votre énergie créatrice.
t’es à l’ouest aujourd’hui ! on n’est pas des demeurés.
1) l’article ne demande rien
2) même si on a des vers, on en fait quoi ?
3) à qui s’adresse ce printemps des poëts ?
4) faut-il attendre la fin de l’hiver pour s’y mettre ?
5) zut, on n’a rien compris.
Explique nous MOOssieur. 😎
Il faut demander à l’auteur de l’article, lomig.
Alors servez vous de vos cerveaux ………… nom d’un neurone !!!
chef, un ptit vers , on a soif ….. de poésie
Uranus est repassé, il n’y a pas longtemps pour rendre hommage à Claude Berry.
Voici de mémoire un alexandrin : inimitable création de Léopold le cafetier, poète à ses heures, la Grande Gueule du village qui finit victime de son imprudente franchise à dénoncer toutes les saloperies de son époque.
Je bois du blanc depuis que je suis un enfant.
C’est le seul dont je me souvienne en entier, il y en avait aussi, du style : Passe moi Astianax et on va filer en douce.
Je revois toujours ce film avec plaisir , quelle palette d’acteurs, quels dialogues du grand art , un moment rare et précieux.
Il existe ici un espace de communication …. même si les vers c’est perso 😎 , ne dit on pas le vers à soi :b
Printemps 1945, une petite ville de province après la Libération. Tandis que Léopold, le bistrotier, se pique de vouloir pratiquer l’art poétique, des militants communistes recherchent un ancien collaborateur. Ce dernier trouve refuge chez Archambault, qui héberge déjà le professeur Watrin et les Gaigneux, un couple de communistes.
Les goûts et les couleurs …. moi je vois la vie en prose !
prose per houp la boum :-b)
la poésie en prose … c’est un ersatz
la difficulté pour le poète qui manie le vers et la rime, c’est de faire du beau sans faire niais … c’est là, toute la difficulté, et c’est là que l’on reconnait l’artiste.
Au jeu du poète, il y a beaucoup de candidats, mais peu d’élus.
« la difficulté … c’est de faire beau sans faire niais ». Exact José. J’ajouterai aussi que c’est d’écrire des choses embellies, imagées, etc, mais néanmoins intelligentes. Je prends l’exemple suivant venant d’un poète, inconnu en dehors de sa région, (le Pays de Caux), et même dans sa région très peu connu, poète qui au demeurant, à mon avis, aurait mérité de l’être beaucoup plus. Ce poète donc a écrit ce vers qui est pourtant beau :
« Et j’ai depuis longtemps désappris l’oraison,
Que nous disions le soir au seuil de la maison ».
Et bien non on ne dit pas la prière : « au seuil de la maison », c’est inexact. Maison rime avec oraison, mais ce n’est pas une raison pour écrire une chose inexacte. Et c’est vrai qu’il est tentant avec la contrainte des rimes d’écrire des choses fausses, incohérentes, etc. Mais il ne faut pas. Je me demande si ce problème n’est pas encore plus difficile que celui que vous évoquez.
Puisque vous avez évoqué les vers ridicules, je ne résiste pas à la tentation de vous faire part de quelques vers célèbres nés sous le signe du vers sot :
Plus le désir s’accroît, plus l’effet se recule.
Corneille , Polyeucte ( 1638 )
J’en sortirai du camp, mais quel que soit mon sort .
J’aurai montré du moins, comme un vieillard en sort.
Ces deux vers riches en Oméga 3 sont extraits du camp des croisé ( drame en 5 actes ) d’Adolphe Dumas.
J’habite à la montagne et j’aime à la vallée
Sur le sein de l’épouse il écrasa l’époux.
Vicomte d’Arlincourt dans le siège de Paris ( 1827 ).
J’ai quelques autres stances
du même sot acabit, ,
si avec insistance,
si vous restez poli,
que je puis vous narrer,
si vous me le mander.
Faire du beau ? du beau marché ?
Bravo, lomig je vois que tu as des lettres, mes ces vers de mirliton sont de moi. C’est vrai qu’ils sentent un peu la perruque poudrée fin XVIIIeme.
A propos de marché , celui de Dimanche dernier était plutôt restreint question commerçant.
A propos fin XVIII eme , il y avait ce soir sur France2 un beau téléfilm sur la fuite de Varenne, un de ces téléfilm qui ne vous font pas regretter de payer votre redevance. Louis XVI à l’échafaud clamant son innocence et priant pour que son sang ne retombe pas sur son peuple me remplit toujours d’émotion. ça nous change des rollex et des détournements de fonds.
Enfin c’est plus calme de nos jours et moins sanguinaire.
Je constate que vous êtes tous très forts pour disserter autour du sujet mais pour l’instant pas de vers,rien, nada ! à part ceux de Florence issus d’un copier-coller.
Vous me faites penser à beaucoup de collègues et relations de travail que je cotoie tous les jours et avec lesquels je dois me battre. Ces gens-là déploient une énergie incroyable pour trouver un prétexte pour ne rien faire, c’est ainsi de nos jours, on disserte, on critique, on met un préalable à tout, mais on n’agit pas.
La poésie, mon cher Jms, ce n’est pas sur commande , mais sur inspiration.
J’ai pourtant lu de chouettes textes dans la rubrique fiction.
C’est vrai qu’il y a de beaux verts signés Blackshadow.
Dommage qu’il ait fallut l’interner …
Mais qui est donc Blackshadow ?
Que savons nous de lui ?
Son parcours, sa vie, son oeuvre, sa famille ?
Si, il a fallu l’interner, la France n’est-t-elle pas devenue comme naguère l’Union Soviétique une terre d’asile……….psychiatrique.
Hou la la autoritaire et culpabilisant le Président. Il a bouffé du lion 😛 😀
Allez il ne pourra pas dire que les Brionautes ne savent que disserter sans agir. Je me jette à l’eau :
« Oh Brie des épis moissonnés,
Que nous aimons tes champs de blé,
Tes paysages sont sereins,
Tes sillons nous donnent le pain ».
Oh je ne prétends pas que ce soit excellent. Mais bon j’aurai toujours participé.
Bravo pour vos efforts.
C’est vrai, je suis dur avec ceux que j’aime, mais c’est pour les faire progresser.
Et ceci, vous connaissez, tout à fait dédié au printemps :
« Le doux printemps va bientôt reparaître.
L’astre du jour déjà plus matinal,
Déjà plus chaud, sous peu fera renaître,
Fera fleurir le règne végétal. »
:paf
Evidemment ce n’est pas de moi.
Je ne ferais pas aussi bien.
Mais de qui est-ce donc ? (tiens cela pourrait être un nouveau jeu : le maisdekicédon)
vie chaque jours je te gravit.
demain trouverai,je le barreau qui suit ,
et si encore il se trouve sur mon chemin ,et bien demain sera encore un jour sans fin
Je trouve ça bon, mais il m’a fallu plusieurs lectures pour en comprendre le sens véritable. Tout d’abord j’ai pensé à une infrastructure routière indésirable mais ça n’avait pas de sens, ensuite à un phénomène physiologique c’était plutôt osé et incongru, enfin à une échelle et là le texte prenait tout son sens et en plus ça sonne bien.
« De la musique avant toute chose……….. »
c’est une vie difficile qu’il nous cahnte là,
J’en conclue que pour les petites gens … à chaque jour suffit son barreau,
Pour les exploiteurs des petites gens, un barreau (de chaise) quotidien leur suffit également, au-delà c’est mauvais pour leur santé …
Certains souhaitent peut-être que le cigare change de bec.
Personne ne trouve l’auteur ?
Je connais quelqu’un qui sera impardonnable de ne pas trouver.
l’ancêtre de Florence ?
Gagné !
Louis-Alexandre Pigoreau dans « chansons et poésies créçoises ».
C’est gentil de citer les vers de mon ancêtre Jean-Michel. Je me permets cependant, par respect pour sa mémoire, de préciser qu’il s’appelait en fait NICOLAS ALEXANDRE, et non Louis Alexandre. Il est plus connu sous le nom d’Alexandre Nicolas par suite d’une regrettable inversion.
Merci de rectifier, c’est un regrettable lapsus.
Ce n’est pas grave 😉
t’es maudit, pas d’po avec les Nicolas ! 🙂
c’est pas hugot?
Moins célèbre que Victor Hugo !
on a échappé à Victor Nigaud, les deux nigauds c’était la comtesse ….
L’astre du jour déjà plus matinal,
Demain à l’aube , à l’heure ou blanchit la champagne , le Comte Thibaud retrouvera sa compagne
0 rivière enchantée
sillonnant la Brie
Faut il déchanter
de tomber dans l’oubli
Le pêcheur est gai
car la nasse est pleine
Le sportif pagaie
sans perdre haleine
Le poisson est pris
La ligne a fait mouche
le pêcheur est surpris
Par cette touche
Chandeleur
Blanche farine, ufs dorés.
Huile, lait, sel, vanille,
Une fois, le tout mélangée
De jolies crêpes régalaient nos papilles
Poésie en rires et en PIRE
0 rivière polluée
sillonnant la Brie
Faut il déchanter
De tomber dans ton lit
Le pêcheur s’y défait
Car sa vessie est pleine
Le sportif qui pagaie
Y vide aussi la sienne
Le poisson est pourri
Son odeur est louche
Le pêcheur est surpris
Par son goût en bouche
super extra :-e)
c’est lomig qui m’inspire
o ma douce brie
dans tes chemins le matin
le JNA sortit de son abris
gambadant suivant son destin
dans son footing matinal
le long de ma rivière
chaussé de ses sandales
au risque de terminer sur un civière
cour beau brionaute articulé
gambade sur les chemins de France etde Navarre
remonte le temps dans ce ciel étoilé
et continue jusqu’à ce que tu en à marre
je suis ému, c’est la première fois qu’un poète s’intéresse à moi.
😀
L’idée est simple, un concours de poèsie sur le thème du rire et un vote par les visiteurs … … chaque participant avec son pseudo produit un texte ….. les visiteurs s’exprime lors d’une votation de type sondage !
Voilou
de ta cervelle ou règne
cruauté ,aigreur rancur
perfide comme une teigne
au plus profond de mon cur
enfin cet orage de méchanceté
continuai son chemin sans trouver sa fin
quand soudain au plus profond de mon dédain.
j’avais réussis avec un oubli à l’évincer
Son titre ? Aigritude
:b
C’est pas le pied.
Vive la vie disait le mourant
Divin jogging lançait le cul de jatte
Le muet s’exclaffait en chantant.
Sans que l’aveugle la mattate
La sirène tournait les talons
Et le poisson jouait du clairon.
Brionaute perdu en arverne
Faisait des vers aussi nuls
Qu’auraient fait une mulle.
bien JMS :-d)
Bravo jms.
J’ai appris grâce à toi ce qu’arverne voulait dire : peuple gaulois d’Auvergne.
Le Brionaute perdu c’est toi ? 🙁
Je n’ai pas trouvé ça aussi nul que tu le prétends 😉
Le canasson soudain s’envole grâce à ses 2 ailes ? 😉
elle a quelque chose à se faire pardonner ? 😛
Mais qu’elle musle l’inspire ?
Pourquoi une MULLE (avec deux zaimes), ferait des vers nuls ?
J’en appelle une fois encore à la SPA, non seulement c’est de lantaupômorfisme ridimule mais c’est insultant pour le baudet. Je vais en parler à mon avocat.
florence de ton endroit merveilleux
douce et belle ville d’Italie chère toscane
comme une âme qui se retrouve aux cieux
je me trouve face à toi comme un profane
On en appelle à son avocat pour bien plus que ça n’est-ce pas jna ?
Quant au canasson, je le préfère avec une aile, au risque de l’amputer 😛 et même si je le chausse aux pieds. Ne me dites-pas qu’il existe la SPC (Société Protection des Chaussons) !
Chacun son style se poésie… 😀
regard tourné vers le désespoir
brouillard intense
que d’inertie ce soir
vie ton dans un monde de silence
fais pas ci, fais pas ça
viens ici, mets toi là
attention prends pas froid
ou sinon gare à toi
mange ta soupe, allez,brosse toi les dents
touche pas ça, fais dodo
dis papa, dis maman
fais pas ci fais pas ça
à dada prout prout cadet
à cheval sur mon bidet
mets pas tes doigts dans le nez
tu suces encore ton pouce
Qu’est-ce que t’as renversé
ferme les yeux ouvre la bouche
mange pas tes ongles vilain
va te laver les mains
ne traverse pas la rue
sinon panpan cucul
fais pas ci fais pas ça
à dada prout prout cadet
à cheval sur mon bidet
laisse ton père travailler
viens donc faire la vaisselle
arrête de t’chamailler
réponds quand on t’appelle
sois poli dis merci
à la dame laisse ta place
c’est l’heure d’aller au lit
faut pas rater la classe
fais pas ci fais pas ça
à dada prout prout cadet
à cheval sur mon bidet
le début de la chanson de Jacques dutronc
il y a à méditer
Promenade matinale
A l’aube hivernale sur la route de St Martin,
Je tourne à gauche vers le pré de Manche.
Je longe le déversoir du moulin.
Le brouillard a tout rempli de sa nuée blanche.
Je m’avance le long du Grand Morin.
Je suis au beau milieu d’un nuage.
Mes pas craquent sous la glace des flaques.
Il règne un étrange silence de ouate.
Quand soudain une poule d’eau s’enfuit.
Un héron s’étire et s’envole.
Un rongeur plonge, des canards clapotent.
Tout ce petit monde s’efface devant moi.
Je me sens au milieu de nulle part.
Mais je suis au coeur de tout.
Enfin l’astre du jour darde ses rayons,
qui cheminent à travers la brume.
Quel calme reposant, quel spectacle fascinant.
Et je me dis que le plus beau des tableaux de la vallée des peintres,
il est devant toi, il est tout autour de toi.
Et chaque matin, avec neige, pluie, brume ou soleil,
ce paysage, toujours changeant mais tellement égal à lui même,
bordé d’une rivière et d’un pré,
dominé par un donjon devenu clocher,
avec ses saules ployés sous le fardeau,
son moulin, ses stades, son marais et sa croix
m’aide chaque jour à sortir des torpeurs de la nuit
et chaque matin à renaître à la vie,
loin de la ville et de ses rumeurs.
C’est très beau et très vrai tout ça (à part peut-être le héron que j’ai pas encore vu).
On a la chance de vivre en un lieu magique où la beauté du paysage la dispute à la couleur de la lumière ambiante.
Au milieu du Pré Manche, entouré de collines, on ne se sent pas au milieu de nulle part, mais à l’épicentre d’un monde que d’autres ne savent pas ou ne peuvent pas voir. Nous sommes des privilégiés !
des hérons il y en à pas mal sur les bords du grand Morin ,JMS,une histoire d’observation et de patience ainsi que de discrétion 😉
Par contre j’en ai souvent vu au-dessus de chez moi quand le champ était une jachère.
Dans un autre genre il y avait un troupeau de chevreuils l’autre jour qui détailait du bois des morts.
Il m’est arrivé plusieurs fois de surprendre des hérons dans le pré de Manche. Concernant les hérons lorsque j’étais enfant, dans les années 60 et 70 , le héron était pour moi un oiseau des fables de La Fontaine, dont on pouvait des images dans les livres sous forme de dessin. Le premier que j’ai pu voir « en vrai » , cela date de la fin des années 90, le long de la Rn 36, au niveau de la vallée de l’Yerres. Je me demande bien ce qui a bien pu favoriser leur retour, peut être la systématisation des jachères ?
Vous pouvez aussi parfois apercevoir des cygnes ou des oies sauvages sur le Grand Morin.
Au milieu de nulle part et au milieu de tout , je vous avoue que sur le coup, ayant écrit ce texte presque d’une traite Mercredi,je me demande ce que cela veut dire aujourd’hui. A postériori, je trouve que musicalement ça sonnait pas trop mal, et ça doit signifier que sous le coup de l’émotion que procure la beauté d’un paysage, qui pour moi est un lieu de prédilection , il nous arrive parfois de perdre pied et d’oublier un instant, une fraction de seconde où nous sommes et puis rapidement de revenir….
En tout si ce texte vous a plu l’objectif est atteint. Son écriture m’a permis d’exprimer un ensemble de souvenirs, visuels, sonores, et émotionnels, il y manque trois des cinq sens.
ah oui, parceque chaque matin, tu as la chance de te balader sur le Pré-Manche (c’est écrit dans le texte) … veinard !
et je cherche le marais … 😀
le marais au bout du pré de la corne le chemin qui longe le grand morin et la voie ferrée à partir du pont de villiers sur morin :-d)
on parle du Pré Manche !!
Serge a raison, José rends toi sur les lieux, tu verras qu’une partie du pré de Manche est marécageuse.
A une période de ma vie, j’y allais tous les matins avant de partir travailler. D’abord en courant, puis en marchant et maintenant en pensée et plus rarement en action.
Notre ami jna ne connait que le chemin tracé pour les joggeurs. Il ne s’aventure pas en dehors des sentiers battus. Pourtant en hiver une partie du chemin est à peine praticable, mais à mon avis il doit prendre le raccourci.
Bien sûr que je le sais que c’est hyper humide … une vraie éponge, mais un terrain de foot même rempli de flaques, ce n’est pas un marécage, c’est un terrain de foot détrempé, pi c’est tout.
Et puis ces terrains le long du Morin, je les connais sans doute mieux que vous mes boys, un jour peut-être je vous expliquerai. 😎
Dans mon dico , pour le mot marais, sur les 5 définitions une peut s’appliquer au terrain de football du Pré de manche situé à l’opposé de la croix et du moulin : Terrain humide ou irrigable propre à la culture maraichère. Une autre également pourra dans quelques années tout à fait convenir, si le terrain reste sans entretien : Etendue d’eau stagnante de faible profondeur, envahie par la végétation aquatique (roseaux, carex ).
Je me suis rendu ce matin sur les lieux en chaussures de sport montantes, j’ai traversé ce fameux terrain détrempé, et bien je ne suis pas avancé au milieu des nombreuses mares d’eau, parce que je n’avais pas envie de prendre un bain de pieds.
Je serais également curieux de connaître le nombre de m3 de terres qui a été apporté sur l’ensemble du site pour tenter de le tenir hors d’eau depuis que les municipalités successives ont décidé d’y établir des terrains de sport.
Certes le pré de Manche, ce n’est pas ou n’a jamais été le marais poitevin ou celui de la Brière. mais désaulé, je crains , mon cher Jna des coteaux ensoleillés que tes explications laissent de boy les enfants du marais que nous sommes ( Ce soir à 20 h 30 sur France 2).
« Je serais également curieux de connaître le nombre de m3 de terres «
bonne question mon cher antoine : mais est-ce que l’on vraiment apporté de la terre à cet endroit ?
Mon cher JNA,
Je ne pense pas d’une part que les buttes de terre qui entourent le principal terrain de football du pré de Manche soient arrivées là toute seules, je demanderai d’autre part à l’occasion l’historique des travaux d’aménagement réalisés dans ces lieux à des anciens ou actuels membres du conseil municipal, ou bien à des riverains.
Les nez ronds ausssi à la sortie du troquet du coin… 😉
arrête, tu as encore abusé du tripoux, tu vas nous faire un DT … c’est à cause de la graisse qui monte au cerveau.
A mon avis tu essaies de vendre ta maison, c’est une pub mensongère pour ce coin hyper humide et malsain, et super marévageux (c’est pas moi qui l’ai dit)… ah oui, c’est ça je crois que j’ai trouvé.
Allez plutôt sur les hauteurs, on y respire mieux, fuyez ce marais que vous décrivez si bien, là haut sur la ligne de crête, point de salpêtre, point d’allergies, point de tuberculose, … il y a toujours du soleil quand le fond de vallée est noyé dans la brume …. 😉
je vois bien Mr JNA le matin 5 heures ,matériel de pêche et casse croute en bandoulière ,sur les rives du grand morin 🙂
jean se marrait, jean Marais, gens du marais ceylan, siam suffit !
Le flux et le reflux du Grand Morin dans le Pré de Manche me fait marée, qui l’eut crue.
luce …. l’eusses tu cru ?
cher ami que ton coeur fut là peint.
Début du concours dimanche prochain ….. rameur grimé vaut mieux que raper grippé 🙂
:=! amorel
Qui vivra,rira … ou mourra
Cette triste face est pince sans-rire
Rire, faire rire, rire sans coup férir pour ne pas périr ……
Un fait-tout fait plus qu’un fainéant …..
un faitout, on voit qui fait la cuisine 😀
C’est demain…deux mains ? c’est pas le pied …. de nez !
Dis l’heure !
Dealer ? je suis pas dealer, dis leur que ne je suis pas dealer …
Beauf en daube, boeuf carottes ….. la peau lisse ?
La cité du rap, la cité dérape … six thés ? de Chine ou de Ceylan ? c’est lent , vite évite !
L’évite ? lévite va prendre l’air , l’airelle fruit de la nation, nation dans la nasse, passion dans l’impasse, père et repaire, famille je vous ai !
Slam l’homme, qu’est ski t’arrive ?
J’arrive et je dérive, bateau rive, o séant la mère m’appelle, le pair me hèle …Estelle , eh stèle j’attendrai encore pour te dresser, attendre d’être redressé … l’adresse n’est pas la gaucherie , alors la gauche rit !
Mal à droite, mais pas gauche, l’ambivalence n’a pas d »équivalence…. une évidence, danse avec les maux, mots de tête , tête en l’air, le mâle a mal, ce mèl s’emmele, semelle de plomb et plongés sans masque, masque qui tombe avant que la nouvelle retombe, fais le mort et retourne toi dans ta tombe.
C’est de la bombe, hache, viande hachée , chez qui ?
Arrête ton char … cutier …
charabia, char à qui ? la guerre de naguère ne plait plus guère … au feu soldat, venge le feu soldat …
mort au chant d’honneur …. allons enfants de la fratrie, je t’aime brother si tu n’es pas BIG !
Pas science ?
Patience des chercheurs qui cherchent et jamais ne trouvent …. eureka
Eh tu me cherches mec ? Mic Mac, mec retourne sur ton mac !
Les maquereaux au micro, c »est propre, c’est net
Allo, à l’huile ? tu me prends pour une sardine, les tsars dinent à l’huile, le beurre ils ne
peuvent plus voir celà en peinture, pain dur ? picoti, picota lève la natte et chauve toi !
Batman, il faut te batt’ man, sans te prendre pour une chauve souris, la vie c’est ce que tu en feras mec !
Du super man, 95 ou 98 à chacun son indice mais n’en laisse pas car dans l’ombre le « grand frère » te surveille , la caméra camarade …. pire que la la cam’ , j’ai pas dit la came, dis leur …. mais jamais dealer , car si tu es musicien tu finiras au violon !
Change de thon,suis le flot man, et tu auras la pêche, la cerise sur la gâteau …
T’as la banane, gaffe mec, surtout si tu n’aimes pas les avocats ….
Jeunesse au père dur, il faut que ta jeunesse perdure, la mère veilleuse n’est pas forcément de Lille !
Et ch’ti gars, le nord sympa …à condition de ne pas le perdre , déboussolé, propulsé en haut de la carte pour toi le menu ordinaire tandis que les autres roulent au super !
Habitant de Roubaix n’est pas un roublard, il paye cash et pas en roubles !
T’habites à Tourcoing, viens faire un tour dans le coin, ils sont bonne pâte !
Le nord ment, non en vérité Lille mystérieuse pépinière de rose, rose comme l’Avenir du nord ?
je te calcule même pas ….pourtant t’as des lettres
T’as des lettres sans être facteur, timbré peut être , penseur ? panseur des plaies de la vie
La vie te plait, mais sans ses plaies, tu peux m’épeler la vie ? un tondu, deux pelés … d’Hennebont , bon cens, paye ta cotis’ …. ou tu paieras l’addition !
Les inégalités se multiplient, divisent le monde, n’essaye pas de te soustraire ou tu paieras l’addition !
Lena, joli nom, l’ENA …
Au pied de la lettre, se chiffre les dividendes … la bourse ou la vie ? la course ou la vie ?
Courir pour ne pas périr, aprés qui , aprés quoi ? plus envie de rire mais toujours en vie.
l’Etre pris de calculs paie l’addition, bête de somme , je te somme d’oublier les divisions et de travailler à l’unité pendant des décennies dans ce siècle de la connaissance.
Naitre pour connaitre, être connu pour être reconnu, l’ère du strass et du stress, paraître n’est pas être …
Querelles de voisinage : aux armes mitoyens
bon mon coeur arrette d’ecrire des poemes que toi seul donc comprend la subtilite et dedicas moi un joli poeme si non plus de bons petits plats ok 😕