AMAP, vous avez dit AMAP
AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) : encore un phénomène bobo parisien, mais pas que çà !
La Brie peut procurer à ses habitants de quoi se nourrir toute l’année. Alors avec Familles Rurales mangeons local. Des fruits, des légumes et même de la viande briarde (voire gâtinaise !), agneau, volailles et boeuf, vive les circuits courts ! www.balade-du-gout.fr. Refuser des denrées qui font plus de 160 kilomètres sauf jours de fêtes, voilà comment grandement améliorer le bilan carbone. La pomme d’ile de FRance consommée sur place est 125 fois plus économe que celle importée du chili ( source nouvel Obs). Les cueillettes et ventes à la ferme se multiplient, les maraîchers envahissent nos marchés avec leurs produits pas calibrés mais autrement goûtus ! En médecine chinoise, l’on recommande de manger des légumes de saison. |
Je me rappelle du père Libèron de Faremoutiers qui déjà vendait ses légumes à Rungis, le paradis de maraîchers, là où les meilleures
tables de Paris se fournissent. L’AMAP en pays créçois c’est possible. Il faut juste, des clients, un point relais, un panel de fournisseurs pour régaler vos palais,. Et si donc nous rejoignions la communauté des locavores ? Les locavores, ceux qui mangent du local, sont constitués de citoyens qui ont décidé de mieux manger, pour vivre mieux. Serez-vous étonnés si je vous dis que le mouvement vient des Etats Unis, le pays du fast-food : www.locavores.com
Familles rurales, pour développer le concept AMAP en pays créçois ? j’y crois.
Bientôt un slow food dans le bourg ou un jardin familial, crise oblige … défendons notre terroir ! lomig
(AFR) |
(article vu 8 fois)
bientôt un slow food, en ville : c’est du sérieux ou une idée lancée comme ça par lomig ?
le jardin familial … très bien, mais je te rappelle que jardiner ça prend du temps, ce n’est donc pas pour toi, sauf à déguster les légumes que d’autres auront fait pousser :b
Avec la crise , il y a une place pour les jardins familiaux !
Pour les slow food, ce n’est pas les surfaces commerciales qui manquent, cet art de vivre à la créçoise peut se défendre …. à suivre !
parles en à Intermarché ça aura peu-etre plus de succes que Netto… :#
Nous sommes complémentaires Mossieur Dam 🙂
oui mais la crise compromet le succès slow food, les gens grignoteront leurs carottes chez eux, pas au restau.
Une idée pour les carottes :
Ingrédients :
Un joli potage de saison qui doit ce nom au fait qu’a l’époque de sa création les meilleures carottes venaient de Crécy sur Morin village situé prés de Meaux.
Un potage crecy pour 4 à 6 personnes :
550 g de carottes bien rouges épluchées et émincées
1 oignon ciselé (haché finement)
1 petit bouquet garni (queues de persil, 1 feuille de laurier et 1 branche de thym)
2 litres de bouillon froid de volaille ou d’eau froide avec un bouillon Kub
90 g de riz rond (caroline)*
80 g de beurre
Sel fin et poivre du moulin
1 cuiller à café de sucre en poudre
Recette :
1) Dans une grande casserole faites fondre le beurre, mettez à suer les oignons ciselés pendant 5mns. Ajoutez les carottes émincées et laissez encore suer 5mns. Complétez par le riz et le bouquet garni laissez encore a couvert 5mns en remuant sans cesse.
2) Mouillez votre potage à l’eau ou au bouillon, puis a l’ébullition a l’aide d’une cuiller goûtez votre potage et assaisonnez le à votre goût.
3) Laissez cuire à couvert doucement 50mns puis retirez le bouquet garni.
4)Mixez bien, puis passez le au chinois fin (passoire) et au dernier moment ajoutez quelques petits morceaux de beurre.
Servez votre potage bien chaud en soupière avec au centre de la table un pot de crème double(épaisse) et un petit ravier de gruyère râpé…
Source : AF Touch
Encore un projet des FR créçoises … ils ne me feront pas manger des blettes et du panais tout l’hiver !
« les maraîchers envahissent nos marchés avec leurs produits pas calibrés mais autrement goûtus » je réfléchis, le fait qu’un légume soit produit par un maraîcher est-il garant d’un produit de qualité, car tous les légumes sont produits par des maraîchers, ce sont les méyhodes de culture qu’il faudrait connaître.
s’ils sont panais , nous ne sommes pas prêts de les manger !!!
J’ai déja gouté au panai…bof….. 🙁
Je trouve très marrante l’expression : « agriculture paysanne » 😀 Franchement on ne se voit pas parler d’agriculture urbaine.
Quand j’ai lu : « panais » j’ai ouvert des yeux grands comme des soucoupes ??? Je suis allée sur Google et j’ai vu que c’était du rutabaga. J’avais toujours entendu dire qu’on mangeait du rutabaga pendant la guerre. Ce n’était pas fameux parait-il, mais on n’avait pas grand chose d’autre. Ainsi on en cultive toujours à ce qu’il parait. Mais je n’en ai jamais vu vendre nulle part. Tout cela m’intrigue qui, où, comment, pourquoi en cultive, et éventuellement qui en vend. Eclairez ma lanterne. Merci.
j’en ai acheté( et mangé)à un petit « marché de noel » aux pépinières de bouleurs juste avant Noel.
C’était plus par curiosité que par gout car ça a très peu de gout ça se présente comme une grosse carotte,c’est plutot blanc.
comme tous les légumes en cours de « réhabilitation » que force émissions à la télé veulent nous séduire;il faut y ajouter d’autres légumes ou assaisonnement plus gouteux.
le rutabaga a une forme différente plus « fouillis »..et pourquoi pendant la dernière guerre il n’y avait presque que ça à manger? justement parce que lui non plus n' »a pas de gout ou très peu et que ce sont les teutons qui rafflaient tout ce qui était bon. 🙁
Oui, mais ce n’est pas vraiment fait pour être mangé quand on n’est pas en guerre.
Ca se fume, dans toutes les communautés bio et ex hippies, c’est comme ça qu’ils le consomment.
lomig en prend toujours une tite taff avant de jouer de la bombarde. Vieille recette celtique, les druides l’appréciaient déjà sous cette forme.
Le panais …pas net !!!! par Toutatis !
A quand un panier de panais pour les pas niais ….
Certes mais ijustement il faut peut-être se préparer à en manger et donc en amont le cultiver? 🙁
je confirme..je suis allé voir le panais et le rutabaga nont rien à voir ensemble(surtout sous terre) 😛 ce sont 2 légumes différents . :=!
Les AFR pas étonnant, qu’ils aient la grosse tête avec tous les projets qu’ils ont dedans.
Manger BIO c’est la grande mode du moment, et comme toute mode les prix sont aussi à la mode ou plutot à l’inverse car la mode actuelle vu le pouvoir d’achat en berne devrait etre « à la baisse »;je ne crois pas que ce soit le cas pour les produits BIO. 😐
récemment un maraicher à qui je demandais si son légume était » bio » m’a repondu:non monsieur il est « naturel »;il a été bien incapable de m’expliquer la différence;y en a t-il une au fait? 😮
Sigmund le légumierr de AFR doit savoir ça… 😉
le contraire de BIO,c’est quoi? :#
OIB
L’agriculture biologique est un système de production agricole spécifique qui exclut l’usage d’engrais et de pesticides de synthèse, et d’organismes génétiquement modifiés.
Il s’agit d’un système qui gère de façon globale la production en favorisant l’agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques[1].
Wikipedia
Oui Guillaume mais avec les eaux de ruissellement, élément dont il est impossible d’avoir la maîtrise parfaite, le champ prétendument bio reçoit les engrais et pesticides des champs qui ne le sont pas.
Goûte les tomates de Hollande qui poussent sur un substrat …. et si ton palais ne fait pas la différente, fouchtra t’es mal !
je sais ce que c’est le BIO..je demandais quel était le contraire;JNA a répondu.. lui. :-e)
O-BI brother 😎
Le label agriculture biologique
Le mot « bio » est un label défini par le ministère de l’agriculture français puis par la communauté européenne. Il signifie que les produits que nous mangeons ou utilisons ne contiennent aucun élément chimique de synthèse fabriqué par l’homme. Les produits bio sont cultivés, fabriqués de manière naturelle ; l’intervention de l’homme est une collaboration avec la nature dans la combinaison des éléments de celle-ci ( engrais vert – rotations – plantes compagnes – ennemis naturels des parasites – … ).
On entend souvent parler de l’agriculture biologique. Mais connaissez-vous l’agriculture raisonnée ? Ce mode de production prend en compte de manière équilibrée les objectifs économiques des producteurs, les attentes des consommateurs et le respect de l’environnement. Moins contraignante que l’agriculture biologique, moins controversée que l’agriculture intensive, l’agriculture raisonnée est peut être l’alternative que vous attendiez.
l’envie est une chose et le réalisme une autre ?il ne faut pas tomber dans les extrêmes,mais il ne faut pas non plus dans se cas faire n’importe quoi !,manger correctement n’est pas difficile pour une personne comme moi qui fait son potager sans traiter à outrance je traite le doryphore ,le mildiou est cette année exceptionnellement,devant le surnombre de limaces j(ai répandu des granulés à limaces ,à partir de la ma culture n’est plus bio ,mais résonné ,si l’agriculture intensive n’avait pas en partie détruite une partie de la chaine alimentaires donc les ennemies des nuisibles , hérissons orvets crapauds et autres batraciens grands consommateurs de limaces et escargots ,on ne saurais pas obligés de se servir de ses poisons alors agriculteurs communes jardiniers du dimanche etc ..laissés tomber tous ses poisons avant que le point de non retour soit atteint,réorganisés mare ,tas de bois ,friches,tas de pierre toutes ses sortes de refuges qui abritent les prédateurs qui eux seuls peuvent réguler et nous et nous permettes de jardiner proprement
il ne faut pas oublier que jardiner n’est pas facile et que un potager demande beaucoup de temps et passions si on ne veux pas être vite dépassés et dégoutés :-e)
un jardin familial aussi , ça ne pousse pas tout seul peut-être ?
Suffit pas de semer des graines dans un champs et de jouer de la harpe celtique en les regardant pousser. 😀
P’tet le biniou ou la bombarbe ça marcherait???? 😛
Cher Lomig,
Il est bien regrettable de commencer cet article sur les AMAP par une connotation péjorative relative à « un phénomène bobo parisien ». D’une part, cela plombe le sujet qui ne le mérite pas et d’autre part il y a erreur puisque c’est Alliance Provence située à Toulon qui a développé ce concept Associatif pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne et non industrielle (pour Florence).
Cette idée remonte au début des années 2000 avec pour but de promouvoir l’information et l’intervention dans le débat public des conséquences des politiques et pratiques agricoles sur le maintien des agriculteurs, la consommation et l’environnement, ainsi que les problèmes liés au commerce ou à l’échange des produits agricoles ou assimilés, en France, en Europe et dans le monde.
Mettre en place une AMAP dans le Pays Créçois est une bonne idée.
Trouver des consommateurs prêts à adhérer à cette association ne devrait pas être trop compliqué. Peut-être plus compliqué de trouver un ou des agriculteurs prêts à se conformer à la charte AMAP. Compliqué ne veut pas dire impossible.
Plus d’informations sur le site Ile de France des AMAP : http://amap-idf.org/
Cher Pg, …. j’ai ajouté pads que çà …. et une AMAP en pays créçois est à la hauteur des ambitions de Familles Rurales.
Je ne connaissais pas l’existence de la charte AMAP, je vais tâcher de la trouver !
Je n’ai pas résisté à ajouter la définition AMAP présentée en ouverture du site d’Ile de France :
« Une AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) est un partenariat de solidarité et de proximité, entre un paysan et un groupe de consom’acteurs, pour une agriculture pérenne,
économiquement, socialement et écologiquement. »
Chaque mot a son importance.
l’utilisation de termes tels que « Agriculture Paysanne », « consom’acteurs » … montre que le concept a été rudement réfléchi, et je me demande si le panier ne cahce pas un gadget.
Je connais des consom’acteurs qui en sont venus à se demander ce qu’ils allaient pouvoir faire de leur panier paysan … en l’occurence, écolos du 3ème arrondissement et dégoutés de ne pas avoir pu présenter des candidats au second tour des municipales !
Au bout du compte, des légumes frais ça prend du temps à cuisiner : pas toujours le temps de s’en occuper avec les réunions associatives, caritatives, électives … préfèrent aller au resto, les bobos.
J’ai la chance d’avoir croisé des producteurs authentiques lors de mes pérégrinations journalistiques, nous allons constituer un réseau de proximité … dans un rayon de 50 KM… à cause du bilan carbone.
le bilan carbone ..y manquait plus que ça.. :paf
tes producteurs autenthiques tu les as croisé avec qui ???
Ces croisements, est-ce l’origine des OGM ou peut-être le début des PGM (Producteurs du Grand-Morin) ???
Je me suis longtemps demandé pourquoi il n’y a pas de maraichage (ou si peu, c’est anecdotique) en Ile-de-France. Je me souviens des trains entiers de fruits et légumes que l’on expédiait du sud-ouest à destination du marché de Rungis alimentant Paris et sa région. Enfant que j’étais alors, je me demandais « mais ces gens-là n’ont-ils ni jardins ni paysans ? ». J’ai découvert plus tard que des paysans ils en ont mais qu’apparement depuis des siècles ils ne savent faire que de la céréale, ils en font en grand mais ne font que ça (ou presque). N’ont-ils pas des terres adéquates ? ben si pourtant !
La réponse m’a été donnée sur ce site par hkir, toujours très pertinent : c’est le cout de la main d’oeuvre !
Et c’est vrai que le maraichage demande beaucoup de bras et que les salaires aux abords de Paris sont supérieurs à ceux de nos régions lointaines. D’autant qu’à l’époque on employait beaucoup de travailleurs émigrés payés au rendement souvent, et qui étant habitués à travailler dur dans leur pays d’origine ne ménagaient pas leurs efforts.
Alors le maraichage en Ile-de-France, comment y croire ?
Encore un petit truc pioché sur le site AMAP IDF pour illustrer l’état d’esprit :
La stratégie du Colibri
Fable par Pierre Rabhi
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux, terrifiés, atterrés, observaient, impuissants, le désastre. Seul un petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit:
– « Colibri ! Tu n’est pas fou ?! Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ?! »
Et le colibri lui répondit:
– « Non, mais je fais ma part ».
Préface à l’ouvrage de Séverine Millet, La stratégie du Colibri, Minerva, 2008
PG quand je te lie ,tes initiales pour moi elles apparaissent comme P-petit G-génie :-e) 😉
Sergio, arrêtes le Châblis Briard, l’AMAP n’est pas encore créée. :-a)
quel faillot cui là… et AS c’est l’abréviation de »au secours »
Ingrédients pour la recette de Potage crécy :
500 g de carottes
500 g de pommes de terre
un os
3 oignons
2 branches de céleri
une feuille de laurier
du persil
sel
poivre
muscade
Préparation de la recette de Potage crécy :
Placez l’os dans la casserole, ajoutez l’eau froide salée et amenez à ébullition. Ecumez. Ajoutez les carottes, les pommes de terre, le céleri et les oignons découpés. Placez le laurier et laissez cuire une bonne heure. Passez le potage, faites-le recuire quelques minutes en rectifiant l’assaisonnement. Ajoutez le persil haché au dernier moment
en l’occurence, tu sais, que tu parles de Crécy-en-Ponthieu
Pas si sûr :
Un joli potage de saison qui doit ce nom au fait qu’a l’époque de sa création les meilleures carottes venaient de Crécy sur Morin village situé prés de Meaux.
Qui nous empêche de le revendiquer !!!
on peut toujours,
et à Machy est-ce qu’il y a des carottes, tes anc^ytres picards en ot-ils glissé dans ton biberon ?
occurence???peux pas rester poli non?
De cuisine AZ
Potage crecy
Pour 6 Personne(s)
Temps de préparation : 15 min
Temps de cuisson : 50 min
Temps de repos :
Ingrédients :
2 oignon
750 g de carottes de Créçy
2 l d’eau
6 c. à soupe de tapioca
2 jaunes d’oeufs
4 c. à soupe de lait
1 c. à soupe de ciboulette hachée
1 c. à soupe de persil haché
30 g de beurre
40 g de beurre
sel, poivre
Préparation :
Faites blondir l’oignon dans le beurre, ajoutez les carottes en rondelles, puis l’eau chaude sel, poivre et faites cuire 40 min.
Mixez. Ajoutez le tapioca en pluie et laissez-le cuire 8 min.
Avant de servir ajoutez les jaunes d’oeufs en fouettant et saupoudrez des herbes.
Servez chaud.
Source TAFAIM
Potage crécy
Recette de cuisine. Soupe d’origine française.
Pour 8 personnes – 45 minutes de préparation
Ingrédients
Beurre 50 g + 60 g, carottes 500 g, oignons 30 g, fonds blanc 1 l, riz 100 g, lard gras (blanc) 60 g
Préparation
Étuver 500 de carottes émincés dans le beurre, 2 cuillérées d’oignons, sel légumes bien mouillés, verser 1 l de fonds blancs et ajouter le riz. Cuire à petite ébullition. Passer au tamis fin, délayer au lard blanc, beurre, croûtons frits.
source TAFAIN ? moi aussi :=!
et la friture d’ablettes et autres poissons du Morin ,c’est bon et cela ne coute pas chère il suffit de le pêcher soit même :-e)
pêcher bien sur avec un permis 😉
Relancer le jardinage et les jardins dits ouvriers , je voudrais y croire mais je reste dubitatif.
Surtout quand je vois l’état de délabrement du terrain qui me touche.
Il y a encore 10 ans, 9 jardins étaient cultivés. Selon les anciens le bois au-dessus était également parsemé de jardin à l’après-guerre? Aujourd’hui il ne reste que deux lopins de cultivés. Tout le reste n’est que friche et bientôt forêt vierge. Les jardiniers sont soit morts, soit trop vieux pour cultiver. Aucun jeune ne veut reprendre. C’est pas tout de prêcher pour le bio, le naturel, mais la terre il faut la cultiver, se baisser, piocher, désherber sans cesse, arroser, … beaucoup de labeur, de courage, de désintéressement. Il n’y a plus que des hommes comme AS77 pour faire son jardin !