Horaires de la navette, pendant les fêtes

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16 réponses

  1. dam dit :

    Il serait intéressant de comptabiliser les jours de grêve localement et au niveau national. :=!
    A moins de compter les jours sans, ça irait peut-être plus vite. :#

    • jna dit :

      Il est vrai que ce n’est pas marrant, les jours de grève.
      Il y a quelques catégories de métiers qui ont tendance à abuser au sein de cette entreprise qu’est la SNCF. :paf
      Mais je ne tomberai pas dans la facilité qui consiste à se défouler sur le dos de la fonction publique.
      Dans cinq minutes, on nous parlera des 98% d’enfants illétrés à la sortie de l’école primaire, du bac qui est donné à qui veut bien s’y présenter, …

      • dam dit :

        Et pourtant…………… :#

        • pg dit :

          D’un côté, des citoyens qui se plaignent des grèves dans le service public et de l’autre côté, ces mêmes citoyens qui se plaignent du mauvais fonctionnement du service public voire de sa disparition.
          Les médias nous parlent des grèves, des perturbations et conséquences sur la vie de l’usager.
          Mais rarement pour ne pas dire jamais, ils nous expliquent les raisons de la grève. Car tout de même, ces grévistes qui perdent au passage leur salaire et dont le salaire mensuel est pour le moins modeste, ne font pas grève que pour perdre de l’argent.
          Souvent, cela concerne leurs conditions de travail, dont les modifications affectent la qualité de service dont les victimes sont les usagers.
          Ici on parle transports, mais on peut transférer cette discussion pour la Poste, pour l’Education, pour les Services Fiscaux, pour les services Préfectoraux et pour tous les services publics en général.

          • dam dit :

            Oui enfin pour tout ce qui est »public » quoi.
            Les salariés du privé eux sont tous contents de leur sort 😛 et font rarement grève.
            Quel sont les plus à plaindre? :#

            • Florence dit :

              Je n’osais pas le dire, mais oui effectivement : »Quels sont les plus à plaindre ? :# « .

              • pg dit :

                Il n’y a pas à plaindre plus les uns que les autres mais autant les uns que les autres.
                On voudrait laisser croire qu’il n’y a pas de grève, de mouvements sociaux et de contestation dans le privé.
                Or, il y en a et même beaucoup plus que dans le public. Seulement, les médias n’en parlent pas puisque ça ne gène pas le grand public.
                Pourtant, c’est tous les jours et surtout ces derniers temps, que des salariés occupent leur usine, protestent contre leurs conditions de travail et leur pouvoir d’achat.
                Mais on en parle pas car ça n’intéresse pas les braves gens comme disais Georges.

                • dam dit :

                  On en parle pas surtout par le fait qu’on les laisse se démerder tous seuls et que les oreilles des grands patrons du privé sont moins attentives que celles de nos gouvernants.
                  Et puis (attention, je vais faire de la « droititude »)dans les médias et surtout à la télé on interwiew plus souvent ceux qui n’osent pas dire qu’ils en ont marre de toutes ces grèves;on interwiew plus volontiers ceux qui « comprennent ou qui font semblant » pourquoi ils font grève alors que les intéressés eux mêmes parfois(ceux de la base) ne le savent pas.

                • Florence dit :

                  Quand même Patrick dans le privé on est comme l’oiseau sur la branche. Il faut reconnaître que la sécurité de l’emploi est un incommensurable avantage.

                  • jna dit :

                    Il y a privé et privé. La précarité dans les petites structures,dans l’industrie, oui.
                    Mais pensez aux sièges des garndes entreprises, banques, assurances, et bien d’autres ou il y a parfois plus de prestataires de service que d’employés, employés un peu désoeuvrés et surpayés (je parle salaires annuels souvent > 75 000€ ) dans bien des cas. Si vous voulez des noms et des exemples, j’en ai plein. Je ne crois pas qu’ils craignent pour leur emploi, pour autant. Mais je ne dis pas, il peuvent se faire virer pour raison économique si la’entreprise fait faillite.

                    Pour revenir à la fonction publique. Prenons le cas d’une institutrice, au demeurant directrice de son école que je connais bien. salaire net, sur 12 mois, au bout de 25 ans d’expérience : 2000 €. Une prime de Direction d’une centaine d’euros par mois pour de très nombreuses heures passées en réunion à droite, à gauche, avec le sparents, avec les élus, à l’inspection, à la piscine, en commission de ceci ou de cela, avec souvent des trajets de 20 à 25 km Aller pour s’y rendre (on est en campagne) et sans aucune indemnité kilométrique, … Je passe, les cartouches d’encre perso utilisées pour l’école (on sait que sa coute trsè cher), on passe l’obligation de disposer d’un ordinateur perso pour travailler chez soi et de disposer d’un abonnement internet car toutes les communications administratives se font pas ce moyen maintenant. Je rappelle que l’état ne prend pas en charge l’équipement des écoles au demeurant.

                    Ajoutons aussi que les enseignats (au moins des écoles) ne disposent pas de Comité d’entreprise (contrairement aux employés du Ministère de l’EN qui abritent d’ailleurs des floppées de permanents), pas de participation de l’employeur à une quelconque mutuelle, aucun avantage en nature connu, aucune médecine du travail (il faut le savoir, les enseignants ne passent qu’une visite médicale à l’embauche (après on est tranquille pour 40 ans), …

                    Moi, j’ai de la chance, j’ai un ordi portable, un téléphone portable, payés par mon employeur, une très bonne mutuelle qui prend en charge l’absence de mutuelle de la personne en question, ….
                    Ouf, à tous, joyex Noël !!!!!!!!!!
                    I love you !!!!!! 😛 😀 :=!

                    • dam dit :

                      Ou as tu vu que l’éducation nationale n’a pas de mutuelle?et la MNEN c’est quoi?
                      Ramène le salaire de la personne que tu cite à l’heure travaillée pour voir.
                      je suppose que tu travaille dans le privé,c’est vrai que tu as les chances que tu décris;tu as aussi celle de te faire virer du jour au lendemain;est -ce la cas pour l’institutrice?
                      Noyeux Joel. :-a)
                      Ich liebe dich :=! 😀 😛 😉 (on va encore se faire enguirlandé..normal à Noel)

                    • pg dit :

                      Cher Dam,
                      Je vous ferai connaître prochainement cette engeance composée d’instits et directrices dans le cadre d’un travail en relation avec votre engagement de prévention routière. Et vous pourrez juger sur pièces.
                      Mais il est vrai, comme à chaque fois, qu’on ne peut généraliser d’uin secteur à un autre, de personnes à d’autres.

                    • jna dit :

                      « Ou as tu vu que l’éducation nationale n’a pas de mutuelle?et la MNEN c’est quoi? »
                      Voila donc quequ’un qui ne lit qu’à moitié les textes : il est écrit dan smon commentaire : « pas de participation de l’employeur à une quelconque mutuelle ».
                      Effectivement, les enseignants peuvent cotiser à la MGEN, comme il peuvent le faire auprès de n’importe qu’elle autre mutuelle privée (il y en a de + en + qui le font). Ce que j’ai écrit, c’est que l’employeur ne participe pas au financement, contrairement en général à ce qui se passe dans le privé lorsque l’employeur adhère à un contrat groupe. Pour le coup, la personne en question qui est mon épouse cotise (pour sa seule couverture) plus que moi qui bénéficie d’une couverture familiale alors que nos salaires différents.
                      Quant aux prestations … Les rembousrements MGEN sont au « bottom » de ce qui se pratique : plafonnement sur tarif sécu (bonjour les consultations chez les médecins de Crécy), pas de notion de frais réels, remboursemnt forfaitaire de 70€ sur toute opération chez un opticien, ajoutés au 3 € de SS, ça ne va pas loin, et tout est comme ça. Bref, mieux vaut ne pas être malade si tu adhères à la MGEN. C’est du pipi de chat et super cher. Normal, ce type d’établisement est appelé parfois à la rescousse par l’état pour financer des opérations fouareuses, comme racheter le siège d’Air France à Paris, il y a une quinzaine d’années afin de participer au sauvetage de note fleuron national.

                  • pg dit :

                    Chère Florence,
                    Je n’ai pas compris l’image de l’oiseau, par contre je vous rejoins sur l’incommensurable avantage.
                    J’ai le privilège d’être « dirigeant » dans le privé et dans le public.
                    Et, bien que fervent défenseur du service « au » public (le « au » n’est pas anodin), je reconnais que le statut « fonctionnaire » entraîne chez certains un comportement qui est loin de cette vocation de rendre service car sans véritable risque de perte d’emploi. Et il est vrai que le patron public a d’énormes difficultés pour ne pas dire l’impossibilité de se défaire de la collaboration d’un traine-savate.
                    Il est vrai aussi que le niveau de rémunération est faible dans le public et qu’il n’y a quasiment pas de moyens d’améliorer le salaire règlementaire.
                    Il y a donc de ce côté une organisation à changer pour mieux payer, avec des conditions sur le service rendu et la possibilité de sanction.
                    Cela passe par le courage politique, syndical et salarial de prendre en considération les attentes des usagers d’aujourd’hui sachant que cela n’est pas compatible avec le système économique actuel et la gouvernance qui en découle.
                    Mais ça peut changer……..

        • Florence dit :

          Oui : « Et pourtant ……. :# « .

  2. pg dit :

    Les mairies ont reçu hier après-midi un mail de la Chargée des Relations institutionnelles de SNCF Paris- Est annonçant un « mouvement social » le 24 décembre avec perturbations sur le RER et la ligne Esbly-Crécy.
    Le détail nous indique :
    – En raison d’un appel à la grève lancé par le syndicat Sud Rail chez les conducteurs, les circulations entre Esbly et Crécy seront assurées en bus le mercredi 24 décembre. Suivi de la grille horaire.
    Pour les trains :
    Paris Provins : trafic normal
    Paris Coulommiers : trafic normal sauf le train Paris Coulommiers de 17h58 qui est supprimé.
    Paris Meaux La Ferté Milon : trafic normal
    Paris Château Thierry : trafic normal
    Paris Meaux : trafic normal sauf le train Paris Meaux de 19h15 qui est supprimé
    Par contre le RER A n’est pas concerné.

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