Quelle est donc l’étrange relation entre la réalité du monde tangible et l’idée que nous nous en faisons?
La plupart du temps, nous décidons d’agir comme si le monde était régi par des lois parfaitement logiques. Et nous qui l’habitons, nous sommes des êtres au comportement équilibré, rationnel et donc prévisible.Et pourtant la démonstration est permanente des aspects totalement irrationnels de notre vie. Notre enveloppe physique n’est-elle donc qu’un abri temporaire pour notre « moi intérieur » ?
[La logique, la rationnalité ci-dessus évoquées, pourraient être la vision intérieure de l’idée, tout comme les mathématiques qui ne sont qu’une vue de l’esprit, une transcription « logique » du domaine des idées.]
Les confidences de bien des gens tout à fait normaux qui ont un jour pris soudain conscience de leur corps comme celui d’un étranger, inclinent à penser que le « moi » et son corps pourraient ne pas être indissociables. L’expérience des gens qui guérissent après avoir frôlé la mort suggère qu’il pourrait exister un point de séparation consciente entre le corps humain et la personnalité, la seule à poursuivre son destin…
C’est aussi le monde des rêves, fascinant et ambigu, dans lequel chacun de nous pénètre chaque nuit.
Qu’y a-t-il de commun entre l’irrationnel de nos rêves et la logique du monde à notre réveil, et quel compte tenir de la fréquence « inquiétante, diront certains », des rêves prémonitoires ?
Existerait-il un lien mystérieux entre notre être profond et la réalité extérieure ? Cet être caché, celui de nos phantasmes, est énigmatique, insaisissable et déroutant.
Mais la quête de ses secrets est fascinante.
:=! :=! :=!
Un intérieur, un exterieur.
Les couleurs que je vois sont les miennes, ce ne sont pas les vôtres.
Il y a des couleurs que je ne vois pas.
Je ne les vois pas mais elles existent et je ne peux pas ne pas les connaître.
Je peux vous le dire aujourd’hui : j’ai une forme de daltonisme dans ma vision des couleurs.
La logique des couleurs, c’est d’appartenir chacune à un monde extérieur réel.
C’est lomiguien !!! :-e)
tous les jours tu parcoure le chemin de ta vie sans savoir que sera demain mais tu en connaît la fin :-c)
Intéressant mais cela ne nous dit pas à quoi sert cette chaine et pourquoi ce trou ?
Est-ce la chaine qui relie l’iirationnel de nos rêves prémonitoires avec ce corps qui nou sert d’enveloppe ?
je croyais que c’était un ver de terre et son trou.
En effet, qu’est-ce qu’un ver de terre extrait de son trou.
Le ver de terre et son trou ne sont-ils pas indissociables, contrairement au moi (le sien) d’ottopil et son enveloppe charnelle ?
Le ver a-t-il une réalité en dehors de son trou ?
Pourtant quand on coupe un ver en deux, on obtient deux vers. Mais qu’en est-il alors du trou de l’original ?
Coupez le moi d’Ottopil en deux, vous obtenez un pil, sans face et un Otto. Ou est le moi ?
Nous savons que Otto vient du grec autos qui signifie « soi-même », et le voila retrouvé !
Trou est en ver et vers est en tout selon la dialectique lomiguiene.
Il s’agit en effet du trou d’un ver de terre.
C’est le trou dans lequel on tombe souvent et duquel on ne peut en sortir que sous la trame d’un ver de terre bien vivant et acceptant le monde extérieur, car le ver de terre ne peut pas rester au fond de son trou.
Alors il se tord de douleur ou de plaisir au contact de l’autre et du monde extérieur. Il s’enchaîne aux bords de son trou et ne peut pas le quitter.
Seule une main tendue, ferme et délicate pourrait rendre moins noueuse cette approche du monde extérieur.
Il y a 25 ans, Otto Pil était deux. Aujourd’hui ottopil est un , sans clones.
Quelle n’est pas la délicate attention de JMS que d’avoir fairtparaître cet article la veille de la saint Narcisse…?
Un père Turbable ce JMS :-a)
Et je rajouterai que je rêvais souvent que je tombais dans un trou très très profond, la tête en avant. Aujourd’hui, une main s’est tendue ; je m’extrais doucement de cet abîme en souriant et à l’air libre, je retrouve un sourire ambré et chaud qui m’enchaîne. Voilà mes explications sur ce trou et sur cette chapîne.
Finalement, je vais me mettre en quête d’idées sur le thème suivant : les mystères des rêves.
Je vais prendre quelques jours de vacances la semaine prochaine et je vais cogiter sur ce thème troublant. :-b)
Je voulais juste rajouter que dans ce trou dans lequel je tombe la tête en avant, la magie de l’irrationalité me permet de voir la main tendue au dessus du trou, c’est à dire que je ne bascule plus.
le sourire, c’est un regard vers le ciel
Tout est en un , un est en tout, nous sommes tous les maillons d’une chaîne universelle ….
Analyse de la vacuité qui surpasse la matière ….
ce qui est secret doit rester tu , ce n’est pas un « je » », alors chambre des secrets pour des lits d’initiés ?
C’est l’ère metic, pas meetic
Bonjour Lomig,
Merci pour ton commentaire.
Ce qui est secret dans le plus profond de nous doit rester « nous » ; ce n’est pas une chambre des secrets pour des lits d’initiés. Ni hermétique non plus et encore moins meetic.
C’est simplement une ouverture sur la vie, un partage à 2 avec des sentiments sincères.
Je te souhaite une bonne journée.
Ottopil
apprendre a se connaitre soit même ,ce découvrir mille et une facette qui fait de l’être humain ce qu’il est ,c’est un peu comme un arc en ciel de plusieurs couleurs toutes si belle et différente ,mais forme cette ensemble qui nous interpellent et nous ravis
« L’avantage » si l’on peut dire d’un trou avec des chaînes, c’est que l’on peut avoir un point d’accroche pour regarder les couleurs de l’arc en ciel
une chaine qui t’emprisonne au fond du trou ,ne dit on pas vivre dans un trou perdue et quand le vent se déchaine la tempête règne ou bien parler des chaines des montagnes les chaines peuvent de sortir du trou ou la neige ta emprisonné 😉
Bonjour ASS,
Non ASS : pas de prison quand l’amour te tient même dans un trou perdu. Si le vent se déchaîne, je reste dans mon trou ; la tempête peut tout anéantir ; je reste dans mon trou avec ces chaînes de l’amour.
Bon après midi.
Ottopil
Le point de séparation consciente entre le corps humain et la personnalité, c’est le plaisir de vivre et de vivre dans le monde extérieur, avec le respect de notre « moi ».
Le moi et le surmoi, qui sommes nous ?
L’un et l’autre ,l’un ou ou l’autre, dulaité de l’être en recherche d’équilibre ….
Il n’y a pas à surpasser ; pas de surmoi. Je suis moi ; elle est elle et nous ne faisons qu’un.
Bonne soirée Lomig
Un être, une réalité.
Nous ne devons pas regarder sans voir.
ni écouter sans entendre !
vivre sans comprendre
un article à remettre à l’ordre du jour suite à la disparition mystérieuse de nos brionautes :# 😮