Les mystères de la personnalité

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23 réponses

  1. Ottopil dit :

    Un intérieur, un exterieur.
    Les couleurs que je vois sont les miennes, ce ne sont pas les vôtres.
    Il y a des couleurs que je ne vois pas.
    Je ne les vois pas mais elles existent et je ne peux pas ne pas les connaître.

    Je peux vous le dire aujourd’hui : j’ai une forme de daltonisme dans ma vision des couleurs.
    La logique des couleurs, c’est d’appartenir chacune à un monde extérieur réel.

  2. jms dit :

    Intéressant mais cela ne nous dit pas à quoi sert cette chaine et pourquoi ce trou ?
    Est-ce la chaine qui relie l’iirationnel de nos rêves prémonitoires avec ce corps qui nou sert d’enveloppe ?

    • jna dit :

      je croyais que c’était un ver de terre et son trou.
      En effet, qu’est-ce qu’un ver de terre extrait de son trou.
      Le ver de terre et son trou ne sont-ils pas indissociables, contrairement au moi (le sien) d’ottopil et son enveloppe charnelle ?
      Le ver a-t-il une réalité en dehors de son trou ?
      Pourtant quand on coupe un ver en deux, on obtient deux vers. Mais qu’en est-il alors du trou de l’original ?
      Coupez le moi d’Ottopil en deux, vous obtenez un pil, sans face et un Otto. Ou est le moi ?
      Nous savons que Otto vient du grec autos qui signifie « soi-même », et le voila retrouvé !
      Trou est en ver et vers est en tout selon la dialectique lomiguiene.

      • Ottopil dit :

        Il s’agit en effet du trou d’un ver de terre.
        C’est le trou dans lequel on tombe souvent et duquel on ne peut en sortir que sous la trame d’un ver de terre bien vivant et acceptant le monde extérieur, car le ver de terre ne peut pas rester au fond de son trou.
        Alors il se tord de douleur ou de plaisir au contact de l’autre et du monde extérieur. Il s’enchaîne aux bords de son trou et ne peut pas le quitter.
        Seule une main tendue, ferme et délicate pourrait rendre moins noueuse cette approche du monde extérieur.

        Il y a 25 ans, Otto Pil était deux. Aujourd’hui ottopil est un , sans clones.
        Quelle n’est pas la délicate attention de JMS que d’avoir fairtparaître cet article la veille de la saint Narcisse…?
        Un père Turbable ce JMS :-a)

        • Ottopil dit :

          Et je rajouterai que je rêvais souvent que je tombais dans un trou très très profond, la tête en avant. Aujourd’hui, une main s’est tendue ; je m’extrais doucement de cet abîme en souriant et à l’air libre, je retrouve un sourire ambré et chaud qui m’enchaîne. Voilà mes explications sur ce trou et sur cette chapîne.
          Finalement, je vais me mettre en quête d’idées sur le thème suivant : les mystères des rêves.
          Je vais prendre quelques jours de vacances la semaine prochaine et je vais cogiter sur ce thème troublant. :-b)

          • Ottopil dit :

            Je voulais juste rajouter que dans ce trou dans lequel je tombe la tête en avant, la magie de l’irrationalité me permet de voir la main tendue au dessus du trou, c’est à dire que je ne bascule plus.
            le sourire, c’est un regard vers le ciel

  3. lomig dit :

    Tout est en un , un est en tout, nous sommes tous les maillons d’une chaîne universelle ….
    Analyse de la vacuité qui surpasse la matière ….

  4. lomig dit :

    ce qui est secret doit rester tu , ce n’est pas un « je » », alors chambre des secrets pour des lits d’initiés ?
    C’est l’ère metic, pas meetic

    • Ottopil dit :

      Bonjour Lomig,

      Merci pour ton commentaire.
      Ce qui est secret dans le plus profond de nous doit rester « nous » ; ce n’est pas une chambre des secrets pour des lits d’initiés. Ni hermétique non plus et encore moins meetic.
      C’est simplement une ouverture sur la vie, un partage à 2 avec des sentiments sincères.
      Je te souhaite une bonne journée.
      Ottopil

      • AS77 dit :

        apprendre a se connaitre soit même ,ce découvrir mille et une facette qui fait de l’être humain ce qu’il est ,c’est un peu comme un arc en ciel de plusieurs couleurs toutes si belle et différente ,mais forme cette ensemble qui nous interpellent et nous ravis

  5. Ottopil dit :

    Le point de séparation consciente entre le corps humain et la personnalité, c’est le plaisir de vivre et de vivre dans le monde extérieur, avec le respect de notre « moi ».

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