Mais pourquoi labourent-ils encore ? Semis directs, TSC et agriculture de conservation.
Pourtant, depuis déjà plus de trente ans, des techniques mises au point en Angleterre et validées par de nombreuses chambres d’agriculture françaises permettent d’espacer les opérations lourdes de travail de sol, coûteuses, polluantes aussi bien pour le sol et les eaux que pour l’atmosphère.
Ces techniques, appelées semis direct ou techniques culturales simplifiées (TCS) permettent de réduire considérablement les charges D’autre part, je suis toujours surpris que des produits de valeur comme les composts de déchets verts ne soient pas utilisés de façon plus fréquentes pour compenser les déficits de matière organique que la plupart des surfaces agricoles utiles de France subissent actuellement. Les compostières ayant en effet souvent le plus grand mal à vendre leurs produits à leur juste valeur. En ce lendemain de Grenelle de l’environnement, il serait peut-être bon de réfléchir à appliquer des pratiques agricoles qui permettent de favoriser la rétention des eaux par les sols, de réduire les pollutions d’origine mécanique et d’augmenter la fixation du carbone atmosphérique par les terrains agricoles. http://www.agriculture-de-conservation.com/archives.php Mais, me direz vous, tout le monde s’en fout des techniques de travail de même pas 1% de la population active d’Ile de France et même de France. Grave erreur à mon avis car ces 1 % de travailleurs ont des capacités de nuisances ou de productivité qui impactent directement le portefeuille, le cadre de vie ou la santé de chacun d’entre nous. Des directives environnementales fortes devraient inciter l’agriculture moderne à se réorienter. D’autre part, ce qui est valable pour les grandes cultures l’est aussi pour le carré de potager ou le jardin d’agrément de chacun d’entre nous. Des techniques simples peuvent faire évoluer favorablement les bilans environnementaux de nos mini royaumes individuels. Un ingénieur agricole de référence, Dominique Soltner, a travaillé sur ces techniques et a réalisé des ouvrages de vulgarisation tout à fait remarquables sur ces sujets. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas qu’il existait de meilleures techniques agricoles à moindre coût environnemental. http://www.soltner.fr/nouveau.php |
(article vu 37 fois)
bien l’article ,ce matin encore on parle des ogm il est grand temps de produire plus propre et d’oublier un peu les gros rapports pour les lobbies chimiques :-e)
Les OGM de Monsanto permettaient de réduire sérieusement la pollution due aux insecticides. C’est dommage que l’on accepte sans broncher toutes les mutations dites « naturelles » et que l’on refuse celles qui sont réalisées pour le bien de tous. Aucun des produits alimentaires que nous consommons n’a plus rien à voir avec ce qu’il s étaient il y a deux ou trois siécles. Ce n’est pas par hasard si notre taille et notre longévité ne cessent d’augmenter, et tant mieux si les entreprises agro alimentaires font des profits au lieu de fabriquer des chômeurs.
pour répondre à rc la vache folle un beau progrès et tous les produits médicaments ,hormones et autres que tu retrouve dans la chaîne alimentaire,
beau progrès pour le cancer et autres maladies ,obésité et j’en passe.
avec la le mot chômage on pourrais tout faire passer , pour moi le chômage ,pour le résoudre il faudrait que les gens acceptent de travailler en France à un coût moins chère que dans les pays ou l’on de- localises pour que cela rapporte toujours plus aux mêmes :-e) :-d) :-c) :#
il faudrait que les gens acceptent de travailler en France à un coût moins chère que dans les pays ou l’on de- localises pour que cela rapporte toujours plus aux mêmes
….
moi j’ai une autre idée, il faut délocaliser les travailleurs français avec leur entreprise dans les pays à main d’oeuvre corvéable à merci. Je n’ai pas encore entendu parler qu’en Chine ou en Inde les travailleurs chinois ou indiens s’étaient enrichis grace aux entreprises françaises délocalisés. on dit qu’en Chine l’on fait travailler pour un bol de riz et bien avec l’idée pour résoudre le chomage de AS77 l’on fera travailler les travailleurs français pour une baguette de pain. Il critique parfois la politique sarkoziste ce cher AS77 mais la sienne même l’ultra libéralisme n’avait jamais osé la proposer.
AS77 à ce prix là, je t’embauche de suite mais dans le contrat je proposerai que le prix de la baguette sera pendant 1 an au prix d’aujourd’hui. Autrement tu me coûterais plus chère que le bol de riz.
AS77 s’il te plait reprend ta canne à pêche plutôt que de t’occuper d’économie politique, car là c’est de la décroissance de la réflexion.
Votre idée n’est malheureusement pas originale dans le sens où la délocalisation des travailleurs français dans des pays aux conditions de travail et surtout de salaires moins favorables se pratiquent déjà lors de fermetures d’usines en France.
Exemple : emplois proposés dans les pays de l’est avec contrats locaux, cad aux mêmes conditions que les locaux (Pologne, slovaquie, croatie, …)
je ne répond pas aux anonymes !! alors svp évitez moi !!
tu ne ma pas bien compris il me semble .
1)je suis de gauche et défend les ouvriers.
2)la plupart des personnes qui n’ont pas compris que le souhait du medef et du patronat ainsi que du gouvernement actuel, qui aimerais bien que l’on applique ce que j’ai cité dans mon article plus haut .
3) 40 ans de travail dans le sentier les magouilles j’en ai vus de toutes sortes.
4).et ce que je critique le plus c’est la plupart des personnes qui baisse leurs pantalons au lieu de défendre ce que les anciens ont acquis ..5) et depuis le moyen âge je pense que seule le modernisme à évolué pas les mentalités de ce qui ont tout et en veulent encore ,à bon entendeur salut et jespere bien m’être expliqué
😐 😉
relie bien mon commentaire tu à du en oublier ,mon cher FRAn6 AS77 :-c)
Moi ma taille vu que je suis né avant les OGM elle n’a pas augmenté je sui resté raze bitume..SNIFF. 🙁
Le semis direct progresse.
Mon beau-frère, agriculteur en Brie le pratique pour ses semis d’automne et je pense qu’il n’est pas le seul.
C’est un peu un retour aux sources. Les anciens, qui travaillaient la terre avec des animaux, étaient avares de leurs gestes et savaient se limiter au strict nécessaire.
Je me souviens de mon grand-père qui trouvait absurde et inefficace ces labours répétés d’automne puis de printemps. Il disait, je ne sais si cela est vrai, qu’il ne fallait pas planter sur une terre retournée au sortir de l’hiver car c’est une terre froide et donc mauvaise pour la pousse de la plante.
Nous n’avons plus la culture de la ville, et plus la connaissance de la nature. Les gens se fouent de la ville et de son territoire, les agriculteurs aussi…
Les champs ont l’apparence de la nature mais ce ne sont que des objets industriels et économiques. Il est certain qu’il faudrait s’intéresser vraiment à la question de l’agriculture, surtout dans notre région, en Brie, mais les habitants des villes n’y sont pas sensibles. Les seuls a pouvoir agir sont les politiques mais le peuvent-ils vraiment ? quelle politique agricole est possible aujourd’hui ? quel est le role des communes là dedans ? peut-on faire se cotoyer a nouveau habitants et agriculteurs locaux ?
C’est une machine lourde comme un tracteur qu’il faudrait remmettre en marche !
Moi qui vient d’une autre région et d’un milieu agricole assez différent (le sud-ouest), j’ai toujours été frappé de constater un certain immobilisme dans les cultures agricoles briardes : on cultive des céréales comme faisait le père et comme faisait le grand-père sans se poser de questions.
Dans mon enfance j’entendais tous les ans un autre discours : mais que va-t-on planter cette année ? qu’est-ce qui va marcher ? Si on n’innovait pas constamment on était condamné à crever de faim. C’était jamais gagné, toujours difficile, mais indispensable.
Ainsi, on a été les premiers à se lancer dans la fraise dans la vallée de la garonne. Il y a quelques années, un ingénieur agronome, constatant que la France importait massivement des noisettes s’est lancé dans cette culture pour remplacer les pruniers d’ente devenus trop nombreux. Dans les 2 cas le département est devenu le premier producteur de France pour ces productions.
Pourquoi en Brie n’innove-t-on pas ? l’habitude que les cultures que l’on pratique soient suffisantes en termes de revenus probablement. L’ampleur des investissements pour se reconvertir, la taille des exploitations qui est plus industrielle qu’artisanale aussi.
Et que fais-tu du climat ? Même s’il se réchauffe, il y a des périodes printanières où le gel frappe au moment où il ne faudrait pas. Il pleut souvent. Innover signifierait d’importer des nouveaux plants. Le sorgo par exemple, plante venue d’Amérique du Sud, est cultivée dans le Sud Ouest mais tu n’en vois pas en Brie. Que peut-on cultiver de nouveau ici ? :#
une partie des agriculteurs de brie ont trouvez ils cultivent, les habitations, une terre agricole à 10 E le m2vendue plus tard en terrain à bâtir ,ha les pauvres pourtant ils en ont touchez des bonnes subventions et le carburant pas du fioul et non pas du gasoil comme toutes les autres professions 🙁 les pauvres 😉
Il n’y a pas que les céréales qu’on peut cultiver. Elles ne sont qu’une infimr partie de la diversité végétale qui se consomme.
La brie n’est pas prète à innover afin de varier les cultures(ou du moins ce qu’il en reste) puisque on n’arrète pas de vous dire que les céréales augmentent..Y s’raient ben béta les péquenots de cultiver des autres trucs pour vous faire plaisir et qui rapportent ke dchi.
de toute façon ce qui rapporte maintenant c’est:
la culture du golf
le semis de villages natures
les sillons d’autoroute et voies diverses
le stokage d’entrepot de???stockage.
QUE DU BONHEUR…. :-d) :-e) :=! 😐
Des trucs pas beaux et polluants en somme.
Un verger, une prairie, des fleurs, c’est quand même plus accueillant …
aki l’dis tu..
et oui les gens laisse faire :paf 🙁
Il me semble que nos paysans ne cultivent plus des plantes mais des subventions.
Ils en ont peut-être assez de gagner le smic ! :#
Nous attendons avec intérêt l’avis de notre nouvel ami Busch, agriculteur de son état …
korie tu ne fréquente pas les mêmes agriculteurs que moi ,en 1976 les gens qui ont payer l’impôt sècheresse ils y en avaient qui gagnaient moins que le smic :# 🙁
Vous qui avez le savoir, enfin pensez eut être l’avoir, savez vous combien touchent de subvention en moyenne un agriculteur qui cultive 100 hectares de terres en Brie ???
je vous donnerai la réponse ultérieurement si vous ne l’avez pas trouvé.
en donnant la réponse y ajouter combien coute en apports d’engrais les produits de traitements t le nombre de traitements avant récolte en précisant bien l’apport d’engrais liquide qui sont épandue avant la pluie pour ne pas bruler les cultures etc le rapport doit pas être trop important pour 100 hectares mais je pourrais donner à peu près le montant qui je pense doit avoisiner les 300 l ‘hectare r
Ce qui compte c’est le bénéfice qui reste en final : prix de vente + subvention – frais. Et ce ne doit pas être bien brillant.
Pour ce qui est de la subvention proprement dite, pour les 100 hectares, je dirais environ 20 000 euros.
Non c’est vrai qu’à part les céréales… y a le colza ? Pour les bios carburants…
Mes ancètres étaient paysans briards. Ils faisaient du vin du côté de gerrar. Une affreuse piquette a ce qu’il parait ! Enfin cétait le début du 20eme siècle.
Certains agriculteurs se lancent quand même dans le bio. Et développent des partenariats. Lancent l’idée des consommacteurs. Ca rend plutôt optimiste. J’imagine que l’une des voix intéressante pour l’agriculture c’est se réintéresser au local. Ou que les agriculteurs rouvrent les fermes a une production (maraichère) uniquement dédiée aux habitants… un moyen de réconcilier la ville et la campagne. ça me semble important surtout par chez nous…
Sur la question des subventions… je n’ai aucun avis, serait curieux d’avoir la réponse ! Mais enfin ça fait parti du même probleme : on ne connais mal notre agriculture et les gens qui sont derrière. pour un pays et une région (la notre) ou l’agriculture occupe une part importante du territoire je trouve ça inquiétant !
Pour répondre à FB, je crois qu’effectivement , nous connaissons mal nos voisins agriculteurs car nous ne partageons avec eux que peu de choses en fait mis à à part d’habiter la même commune.
Il semblerait que nos intérêts soient divergeants, eux tout à leur productivité et nous (les rurbains ou même parfois ruraux) plus intéressés par le côté bucolique de l’espace rural.
Il semblerait qu’il y ait bien de larges non dits qui posent déja de gros problèmes. Comment peut on se satisfaire , de devoir importer de l’eau potable dans certaines communes de la région car les puits de captage locaux sont pollués ou trop bas?
Si l’on analyse les causes, il est plus que probable que l’agriculture en soit responsable.
Et l’agriculture,dans de nombreuses communes, c’est trois ou quatre agriculteurs.
Qui touchent des subventions pour produire en fonction de la surface mais pourtant sans consignes obligeant de faire une agriculture déraisonnable.
Cela fait longtemps que beaucoup de spécialistes ont vu les limites du système et qu’ils alertent en rencontrant peu d’échos.
Je pense que la situation de l’eau potable en Brie aurait déja du faire réagir les responsables politiques locaux vers de nouvelles directives culturales.
La fuite en avant finit par trouver ses limites.
oui mais accuser les agriculteurs qui sont l’objet de tous les soins de nos élus(quelque soit le niveau) ce n’est pas politiquement correct.
le lobby(groupe de pression en français) est très « puissant » quoique ne réprésentant qu’une très faible partie de la population.
Va comprendre Charles?? :#
Et puis un régime de subvention qui fait que les produits agricoles ne sont pas vendus à leur vrai prix???
De toute façon en France on est tellement habitué à marcher sur la tête …. :paf
Pendant ce temps là , nos voisins et partenaires européens prospèrent et nous on pédale..(dans je ne sais trop quoi.) :=!
Mais je m’écarte du sujet alors j’arrête là.
Bon dimanche.
l’agriculture et le maraichage , ce n’est plus le même métier. Le maraichage demande des ressources en main d’oeuvre plus importantes. Et ça peut-être encore plus polluant pour les sols.
Ce qui fait que le bio a encore d’autres exigences, entre autre une période de jachère ou du moins d’abstinence en produits chimiques de plusieurs années pour avoir le label AB.
La motorisation ( les tracteurs ) a entrainé des exces comme le tassement des sol et l’approfondissement inutile des labour. Il a fallu un certain temps pour constater les dégas, puis en comprendre les causes.
Le labour à révolutionné le désherbage en enfouissant les herbes pérennes et les mauvaises graines.
Grace au Roundup et autres produits de synthèse, il est possible d’espacer les labour. Voir de s’en passer quelques années. Mais cela ne passe pas dans tous les sols. En amérique du sud, avec du soja OGM résistant au Roundup, cela marche bien. Et vous en mangez tous les jours.
A deux ou trois km de Crécy, vous avez des fermes « sans labour ». Cherchez un peu et discutez avec les agriculteurs. Le contact ne me semble pas bien établi.
Si on a labouré trop profondement on a aussi trop abusé des desherbants et autres produits chimiques de synthèse dont la pollution rémanente ne rend pas populaire l’agriculture.
En fait, si je comprend bien, pour éliminer les mauvaises herbes et arriver à cultiver convenablement on a le choix entre :
– un labour profond et fréquent d’où une grande consommation d’énergie
– les désherbants occasionant une pollution
– les OGM avec le débat que l’on connait.
Quel est le moins pire ?
ll journal la Marne en 1980 ,28 années déja.
dans une question écrite au ministre de l’environnement et du cadre de vie ,M Alain VIVIEN, député de Seine et Marne attire^l’attention sur les pollutions particulièrement grave causées en milieu rural,dans les nappes d’eau potable profondes par l’usage abusif des nitrates.
dans la région d’Epernay, intéressant la marne, il a été mis (pour une superficie de 2100 ha ),3150 tonnes d’engrais 42.000 litres de des-herbants ,16.800 litres de produits anti-pourriture,27,3 tonnes de soufre,6,3 tonnes d’anti mildiou, et 11500 tonnes d’insecticides.
en Seine et Marne , le taux de nitrate dans l’eau augmente très rapidement .
Alors que la tolérance est de 44mg/l , au puits solers et soignolles -en-brie il a été constaté 51mg.l le 29 janvier 1980, l’agence de bassin Seine-Normandie s’est d’ ailleurs inquiétée à plusieurs reprises de la détérioration des eaux profondes .
il lui demande quelles mesures pourraient êtres prises d’urgence en liaison avec le ministère de l’agriculture pour réduire sensiblement les épandages de nitrate ainsi que d’autres produits toxiques susceptibles de pénétrer dans le champ captant.aujourd’hui en 2008 croyez vous que les choses ont changez ???visiteur nous donnera peut être des détails
On fait de la culture raisonnée…
Labour que si nécessaire, à 20 cm et une année sur deux.
Désherbages trés soignés: les 1/4 de doses marchent à certaines conditions.
Azote fractionné en 3 ou4 passages, juste la semaine ou la culture à faim. Les photos satellite nous le permettent maintenant.
Et au cas ou ça ne marche pas comme prévu, une moutarde aprés récolte évitera les lessivages.
En fait, on paye tout les intrants et à bon prix. Les consommateurs ont bien fait de menacer les pollueurs, ça a accéléré notre démarche. Mais on y gagne aussi.
J’ai tenté la provoque, mais je trouve qu’elle n’a pas beaucoup marché…
Mais le pire serait simplement de manquer de nouriture. Et il me semble qu’on y arrive?
c’est un peu plus de 30 000 euro qu’une exploitation céréalière touche de subvention pour 100 hectares. la subvention étant proportionnelle aux nombres d’hectares cultivés cela fait effectivement 300 euro de l’hectare.
Mais comme les agriculteurs n’ont peur de rien, l autre jour en conseil municipal une proposition d’un conseiller municipal agriculteur de son métier a été faite pour racheter à Férolles le morceau de terrain ou se situait le chateau d’eau.
La proposition a été faite a 1 euro ?????????????????????
je ne dois pas avoir tout compris à moins que celui ci n’ait un porte monnaie en peau d’hérisson.
Sacré cul terreu, on les changera pas,
bien as77 les pêcheurs pas si bêtes et plutôt bien au courent comme quoi qu’ils ne font que dire des c……es :# :b 😉
je n’ai toujours pas ma réponse , combien coutes pour une année de culture sur100ha ,de produits phytosanitaires tous compris . :-d) 🙁 😉
AS77, a quoi ça sert que je me décarcasse à trouver des études économiques et à les mettre en ligne si tu ne les lis pas!!
Clique sur le deuxième lien, tu auras ta réponse à l’hectare en Bretagne:
en agriculture conventionnelle: 183 par ha et par an
en techniques culturales simplifiées: 133 par ha et par an
en agriculture de conservation: 103 par ha et par an
Mais il est vrai que je ne sais pas si cela prend également en compte tous les éléments comme la semence et les intrants.
Ces chiffres sont pour la région Bretagne; je pense que la productivité de mise en culture par ici doit être supérieure car le parcelllaire est plus adapté à la mécanisation.
chiffres 2005
excuse moi mon cher HKIR mais je n’avait pas tous lu sur les liens, ok tarifs 2005 ,pour la Bretagne, donc on va faire une moyenne, de 200 ha *par 100=20.000 à qui cela rapporte les lobbies chimiques l’état pour payer ses subventions ou il prend l’argent à nous .donc toujours les petites gens qui payent pour tout :paf lui l’ agriculteur il lui reste 10.000 il est un peu coupable ci je ne me trompe pas ,(on nourrie la France) ..souvent ce que j’entends dire , donc combien d’agriculteurs font encore leurs potager ,élève leurs cochons,poulets, canard ,etc plus beaucoup je crois 😉 🙁
2006, moyenne par Ha:
Semences 48, Engrais 160, Phytos 130
Les désherbants pour semis directs sont de contact et semblent avoir un impact sur l’environnement moins dangereux que les simazine, atrazine et gramoxone qui ont été interdits.
l’intérêt de ces techniques culturales est d’améliorer plus rapidement les taux de matière organique dans les sols, par là même la capacité de rétention en eau de ceux ci et permettent de réduire l’érosion.
Ce sont des enjeux majeurs et si les produits chimiques sont utilisés de façon rationnels, les techniques simplifiées et l’agriculture de conservation permettront d’améliorer des situations bien dégradées.
Je pense que ce sont actuellement les meilleures solutions et elles devraient être plus encouragées.
Labourages et pâturages ………….
j’ai lu dans val magazine qu’un généreux donateur donnait à qui veut venir la chercher de la terre végétale stockée en bordure de la RN 34 sur la commune de Crécy.
ne serait-ca pas celle qui se trouve à côté du marchand de meuble à l’entrée Ouest de crécy?