Frayère des Marais

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86 réponses

  1. AS77 dit :

    respect du droit de passage pour les pêcheurs,école de pêche ,frayère , la société de pêche se bouge :-e)

    • retraitactif dit :

      Bravo AS77 tu t’es donné à fond dans ce projet. :-d) :-e) :=!
      quand on pense qu’il a fallu 14 ans pour qu’il aboutisse 🙁 alors qu’en fait les interlocuteurs étaient somme toute assez peu nombreux on peut se demander combien de temps il faudra pour aboutir au PNR :# .
      JNA mathématicien hors pair(et mer) 😮 devrait pouvoir nous concocter une rêgle de 3 en fonction du nombre de communes intéressées par exemple…ou du nombre de personnes physiques qui auront leur mot à dire. :#
      Au pif rendez vous en …2108? :paf
      Je plaisante bien sûr. 😉

  2. jna dit :

    C’est un beau projet et au final un gros plus pour l’environnement dans la vallée qui est plutôt malmené de ce côté là, en aval de Villiers (installations + ou – sauvages, campings, zone artisano-commerciale …)
    Bon pour la flore et la faune, bon contre les innondations. J’ai cru comprendre (en lisant le bulletin municipal de Crécy) que le site sera accessible aux promeneurs, AS77 peut-il le confirmer ?
    Bravo à Serge pour sa contribution essentielle à ce projet que beaucoup vont nous envier et que beaucoup vont sans doute aussi tenter de « récupérer » …

  3. hkir dit :

    Je me demandais ce qu’était ce déboisement le long de la voir ferrée. J’ai cru qu’il y aurait un lotissement de caravanes ou de mobilhomes.

    Bonne nouvelle donc!

    • AS77 dit :

      amis pêcheurs l’assemblée générale de l’aappma de Crécy-la-Chapelle 3èm dimanche de janvier salle de la justice à crécy la Chapelle ,je rappelle aux pêcheurs qu’il est important de prendre sa carte de pêche ou l’on pêche le plus souvent le peu qu’il revient à la société de pêche sert à développer entretenir et aleviner sur ses lots de pêche :-d)

    • retraitactif dit :

      pas encore mais si ça reste comme ça longtemps????????
      mais il faudra des caravanes sur pilotis car c’est mouillé.

      • AS77 dit :

        la réussite même de la frayère qu’elle reste le plus longtemp en eau une fois que les brochets aurons frayés les oeufs pourront éclore s’en s’assécher et une fois que les petits brochets auront grandit ils rejoindront la rivière ,une histoire naturel que la main de l homme en faisant n’importe quoi avait détruit et que la main d’autres hommes réparent

        • AS77 dit :

          vu le nombre de commentaires ,sur un si belle article ‘je me demande ,si le grenelle de l’environnement intéresse vraiment les gens :-e) :#

        • jna dit :

          il y a un risque d’assèchement du bassin ?
          peux-tu nous expliquer comment on le remplit et comment on maintient le niveau d’eau.

        • retraitactif dit :

          la frayère, un endroit ou la main de l’homme n’a jamais mis les pieds. 😛

          • AS77 dit :

            pour la frayère 3 sources coulent le niveau du terrain et au niveau d’étiage du Morin ,d’où lintérêt de ne pas ouvrir et refermer les vannages sans arrêt selon la loi l’eau doit passée sur le glacis des ouvrages une vanne va être installé sur le site pour en cas de pépin maintenir le niveau d’eau .le Morin quand il manque un certain niveau d’eau les conséquences,
            effondrement des berges,
            assèchements des petits ruisseaux et chevelus qui servent de frayère naturelles ,risque de noyade pour une personne qui tombe à l’eau et ne peut atteindre le de la berge,
            assèchement de l’étang des enfants de l’école de pêche ,etc etc :#

            • AS77 dit :

              Description :

              Le brochet est présent dans presque toutes les eaux douces françaises et parfois dans les eaux légèrement saumâtres. Son aire de dispersion naturelle s’étend à toute l’Europe.
              Le corps du brochet est allongé en forme de fuseau. Sa perfection hydrodynamique et la position rejetée en arrière de la dorsale et de l’anale, à la façon d’un empennage de flèche, révèlent l’aptitude du poisson aux attaques fulgurantes. La tête se termine par un museau aplati évoquant un bec de canard. La mâchoire inférieure est prognathe, la bouche largement fendue, armée de 700 dents implantées sur les mâchoires, la voûte et le plancher de la gueule. La tête est semée de 37 pores sensitifs de même nature et ayant la même fonction que la ligne latérale. Les yeux, situés vers le sommet du crâne, permettent l’observation vers le haut. On trouve des brochets de forme courte (petite tête, corps massif et court), qui caractérise en général les poissons des eaux calmes et riches en nourriture, et les brochets de forme longue (tête grosse, corps allongé et nerveux), typique des poissons de pleine eau courante.

              Reproduction :

              La reproduction des brochets s’effectue lorsque la température de l’eau se situe entre 9 et 11°C. Mâles et femelles convergent vers les lieux de frai. Les géniteurs remontent jusque dans les fossés remplis d’eau, ou recherchent les parties les moins profondes d’une pièce d’eau. Les femelles, selon leur poids, peuvent pondre jusqu’à plusieurs centaines de millier d’œufs jaunes orangés, de 1 mm de diamètre qu’elles déposent à faible profondeur, parmi les joncs et autres plantes aquatiques. Ces œufs sont fécondés par plusieurs mâles, en général plus petits que la femelle. L’éclosion a lieu dans les 15 à 20 jours qui suivent. La larve demeure attachée à la végétation en position verticale, vésicule résorbée ; dès qu’il prend une position horizontale, le brocheton se met en quête de proies : zooplancton au début, ensuite petites larves, puis alevins de toutes espèces, y compris les congénères. Le cannibalisme est un problème en ésociculture. La croissance du brochet est rapide en milieu favorable, surtout pendant les premières années. Le jeune brochet se nomme brocheton, carreau, lanceron, sifflet, manche de couteau…

              Nourriture :

              Le brochet est un poisson carnassier. Il se trouve placé à l’extrémité d’une chaîne alimentaire biologique, où il joue un double rôle : assurer la continuité de l’espèce et participer à l’équilibre de son biotope.
              Un brocheton, dans sa première année, prélève une moyenne de 15 à 17% de son poids sur le zooplancton, et seulement 10 à 12% si sa nourriture se compose exclusivement de petits poissons. Dans sa deuxième année, il se nourrit de 10% de son poids de larves aquatiques et de 3 à 5% de poissons. Par la suite, ses périodes d’appétence, pendant lesquelles il peut absorber des proies atteignant le tiers de son propre poids, sont séparées par plusieurs jours d’inappétence. Dans des conditions moyennes, il faut au brochet 4 à 6 kg de poisson fourrage pour un gain de 1 kg..
              Pour bien saisir le mécanisme de la chaîne alimentaire biologique, et voir que le brochet en constitue un maillon indispensable, prenons l’exemple du gardon et de la perche, qui dans les plans d’eau où les trois espèces cohabitent, constituent de 60 à 80% de la nourriture du brochet. Les données moyennes sont les suivantes :
              – brochet : frai en février-mars ; pouvoir de reproduction relativement faible ; cannibalisme ; grand carnassier.
              – perche : frai en mars-avril ; fort pouvoir de reproduction ; cannibalisme ; petit carnassier.
              – gardon : frai en mai-juin ; très fort pouvoir de reproduction ; non carnassier.
              Il apparaît clairement que l’échelonnement des périodes de frai permet aux jeunes brochets de limiter la densité des alevins de perches, dont la sur densité constituerait un danger pour la population en gardons naissant après eux. Par contre, ces derniers sont eux-mêmes efficacement limités par les perches, sinon, leur excès entraînerait une inéluctable dégradation du biotope dans sa capacité biogénique. Par ailleurs, on note l’accroissement du pouvoir de reproduction des espèces placées en situation de proie et le cannibalisme qui intervient comme un ultime moyen d’autolimitation, bien qu’il ne soit pas suffisant pour empêcher radicalement un peuplement pléthorique conduisant à un nanisme de l’espèce.
              A propos de ce poisson, il convient de s’en tenir à une observation objective et se garder des idées reçues et des interprétations anthropomorphiques et moralistes.
              Tout cela étant entendu et admis, comment est-il possible de continuer à voir dans le brochet un ravageur qu’il faut détruire avec acharnement pour qu’il ne fasse pas disparaître les autres espèces, alors qu’il joue un rôle déterminant dans leur survie ? Et encore convient-il bien de garder à l’esprit le fait que le brochet est le principal agent de la sélection naturelle, qui permet aux souches spécifiques de demeurer saines et vigoureuses, puisqu’il ne parvient à attraper, la plupart du temps, que les sujets les moins aptes, les poissons malades ou blessés, les parasités, les mal-venus, etc.

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              • AS77 dit :

                L’attention des dirigeants de ce monde est tournée vers la crise de l’eau et les messages qui énoncent les causes du problème sont très clairs: population en expansion rapide qui aspire à une meilleure qualité de vie, à une meilleure alimentation et à la sécurité de l’eau; surconsommation et utilisation abusive des ressources en eau, notamment dans le cadre de programmes hydrauliques mal conçus; urbanisation accélérée; expansion du commerce et de l’activité économique au niveau international. Mais ce que nous avons négligé c’est que tous ces facteurs contribuent à déséquilibrer inexorablement les processus écologiques naturels qui font que les cours d’eau – c’est-à-dire les systèmes hydrographiques naturels – sont vitaux pour l’homme. La destruction de ces processus a des conséquences faciles à prédire et inéluctables. En outre, il est un défi que nous devons relever: il faut fournir de l’eau propre à un milliard de personnes qui n’en ont pas et de bonnes conditions d’hygiène à 1,7 milliard de personnes qui en sont privées.

                La communauté mondiale doit reconnaître que les cours d’eau ne peuvent résister indéfiniment aux agressions de l’espèce humaine. Nous ne pouvons continuer de les polluer, d’en modifier le cours, de les priver d’eau et de les exploiter pour nos besoins alimentaires et le développement économique sans reconnaître en même temps et protéger avec zèle les caractéristiques qui garantissent la pérennité des systèmes hydrographiques. Les zones humides sont l’un des éléments qui entretiennent les cours d’eau, pourvoyeurs d’aliments et sources d’eau et cependant nous continuons de tolérer leur destruction, dans le monde entier. Par ignorance, nous avons répété les mêmes erreurs de gestion des systèmes hydrographiques, partout dans le monde. La destruction des zones humides est l’une de ces erreurs. Le temps est venu d’apprendre de nos erreurs et d’appliquer, de toute urgence, des mesures à court, à moyen et à long terme de protection et de restauration des processus écologiques intrinsèques qui permettent aux cours d’eau d’entretenir la vie humaine et la diversité biologique mondiale.

                • AS77 dit :

                  LES ZONES HUMIDES – une part vitale de la réponse à la crise de l’eau

                  En 1971, les représentants de 18 pays se sont rencontrés dans une petite ville des berges de la mer Caspienne, Ramsar, en Iran pour apposer leur signature au bas d’un traité international: c’est ainsi qu’a vu le jour la Convention sur les zones humides. Les architectes de la Convention ont eu le flair et la présence d’esprit de reconnaître l’importance des zones humides en tant qu’éléments vitaux des systèmes aquatiques intérieurs et côtiers. Ils ont aussi mis en évidence les nombreuses valeurs et fonctions des zones humides, ainsi que les services qu’elles fournissent et formulé le concept d’«utilisation rationnelle» dans lequel la Convention se reconnaît aujourd’hui.

                  Ce qui s’est passé ce jour-là n’a sans doute pas eu de retentissement mondial à l’époque mais 27 ans plus tard, alors que le monde entier cherche fébrilement des solutions à la crise de l’eau, la Convention de Ramsar est plus que jamais pertinente et nécessaire. Pourquoi ? Parce que les zones humides sont une part vitale de la réponse au problème en tant que facteur assurant la bonne santé et la pérennité des cours d’eau. La présente conférence devrait reconnaître le rôle important des zones humides et presser tous les gouvernements, en réponse immédiate à la crise mondiale de l’eau, d’empêcher, par tous les moyens, la destruction des dernières zones humides. Et, à long terme, pour restaurer nos systèmes hydrographiques, les gouvernements, les bailleurs de fonds et les communautés locales devraient accorder une haute priorité à la restauration et à la remise en état des zones humides qui ont disparu ou qui ont été dégradées. Les pays industrialisés peuvent prendre cette mesure très rapidement et la communauté des bailleurs de fonds doit mobiliser ses ressources pour aider les pays en développement et les pays en transition à en faire autant.

                  Serait-ce trop simplifier le problème ? Non, car il faut trouver des réponses à court, à moyen et à long terme au problème de l’eau. Certaines, par exemple l’introduction de principes de gestion intégrée des ressources aquatiques, peuvent être adoptées à moyen terme mais il faudra de nombreuses années pour qu’elles soient pleinement appliquées. Un appel mondial à la protection des zones humides est une réponse immédiate et – nul ne saurait le contester – justifiée. Ce n’est en aucun cas la seule mais c’est une réponse concrète, étayée aujourd’hui par des preuves indiscutables.

                  • AS77 dit :

                    Que nous apportent les zones humides?

                    Un bref résumé des fonctions, des valeurs et des avantages des zones humides explique pourquoi les zones humides apportent une réponse essentielle à la crise de l’eau. A la différence des autres secteurs hydrologiques dont on ne peut utiliser les ressources en eau qu’après des interventions positives et des investissements, les avantages principaux des zones humides proviennent de leurs fonctions inhérentes. Il est urgent de le reconnaître et d’agir pour maintenir les zones humides dans leur rôle d’«instruments» de la gestion durable de l’eau.

                    Pourvoyeuses d’eau. Les zones humides sont une des clés de l’approvisionnement en eau potable à long terme. On les a qualifiées de «reins de la planète» en raison des processus naturels de filtration qui s’accomplissent lorsque l’eau les traverse. On a calculé qu’un hectare de zone humide à marée peut faire un travail d’épuration des eaux usées équivalant à un investissement de 123 000 dollars américains dans une station à la pointe du progrès. L’eau qui percole à travers la zone humide permet à la nappe souterraine de se recharger et lorsqu’elle atteint cette dernière, elle est généralement plus propre qu’à son arrivée dans la zone humide. On peut extraire l’eau qui se trouve dans la nappe phréatique pour la consommation de l’homme ou la laisser s’écouler latéralement sous terre jusqu’à ce qu’elle revienne à la surface, dans une autre zone humide, restituant l’eau souterraine.

                    Régulatrices du débit. De nombreuses rivières sont des sources fiables d’eau toute l’année parce qu’une partie de leur eau quitte le lit principal pour alimenter des tourbières, des marécages et des marais, situés dans le bassin versant. Grâce aux zones humides, les précipitations de la saison humide s’écoulent plus lentement et la disponibilité de l’eau est prolongée en période sèche. Lorsque le cours de l’eau est modifié et qu’il n’y a plus, en altitude, ni forêts ni marécages, des inondations soudaines entraînent le chaos après la tempête et le ruissellement accéléré ne laisse pas grand chose derrière lui qui permette de résister aux sécheresses estivales. Le drainage et le labourage des plaines d’inondation et des zones humides riveraines ont le même effet, du point de vue hydrologique, que la disparition des forêts de montagne.

  4. AS77 dit :

    Regardez sur le site de http://aappa77.free.fr ,
    pour les personnes qui veulent réfèrent leurs berges la méthode à suivre sur les photos de la frayère n°pa310217 :-d) :-e)

  5. retraitactif dit :

    ce matin passant en voiture sur la RD 934 au niveau de la frayére,mon épouse a aperçu des oiseaux blancs; mais elle est incapable de dire si ce sont de simples mouettes ou des oiseaux « plus nobles ».. :#
    Et si c’était vrai??… :=!

  6. retraitactif dit :

    a quand l’inauguration?

  7. retraitactif dit :

    la frayere des marais est en ce moment une patinoire.
    je re-propose à AS77(disparu des écrans depuis quelques jours-serait-il parti à la pêche au gros sous les trop pics?)de faire le nécessaire pour qu’on ait une vue sur ce plan d’eau depuis la route;abattre ou nettoyer les zarbres.

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