Les pesticides et la santé

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40 réponses

  1. AS77 dit :

    Pesticides

    On recense de plus en plus d’études dénonçant l’impact néfaste des pesticides sur la santé. Ces polluants sont déjà mis en cause dans l’apparition de certains cancers et cas de diabète. Leur toxicité serait également responsable de maladies neurologiques et psychiatriques. Des travaux menés dans cinq pays européens ont ainsi établi un lien entre les pesticides et la maladie de Parkinson. Les personnes exposées aux doses les plus élevées de pesticides présenteraient un risque accru de 40 % de développer cette maladie. Plus récemment, une étude publiée sur le site de la revue Environmental Health Perspectives a démontré que les enfants des femmes vivant, à l’époque de leur grossesse, à moins de 500 mètres de terrains agricoles traités par pesticides avaient six fois plus de risques que les autres de présenter un trouble autistique. Le Point relate cette information en précisant par ailleurs que les citadins ne sont pas à l’abri des méfaits de ces substances toxiques : une étude dévoilée fin juin par Airparif révèle que l’atmosphère et les eaux de pluie de la capitale sont contaminées par les pesticides, tout particulièrement au printemps. (Le Point, A votre Santé, vendredi 17 août, http://www.lepoint.fr)

    • jna dit :

      Les résultats des tests qualitatifs réalisés sur l’eau que nous buvons sont transmis avec les factures d’eau Veolia.
      A Crécy nous avons deux résultats : un pour les hameaux, un pour le bourg.
      Il était indiqué dans mon dernier relevé de septembre 2007 que le taux de pesticides était légèrement supérieur aux normes dans l’eau des hameaux 😕 , mais pas de quoi s’alarmer pour autant selon le distributeur. :b Reste à savoir ce, contre quoi la norme nous protège réellement.

      • jms dit :

        Il va falloir que je regarde ma facture. Depuis que Voulangis a adhéré au syndicat des eaux de Crécy, on doit donc se méfier de cette eau qui serait douteuse. On veut pas payer pour de l’eau polluée par les créçois.

        • AS77 dit :

          Eau potable

          L’eau potable est soumise à une règlementation quant à la présence de chlore, de calcaire et de plomb. De même, l’apport d’engrais aux cultures, ainsi que des pesticides, doit se limiter au minimum indispensable, et ne peut être utilisé à proximité des ressources à protéger.

          La qualité de l’eau distribuée au robinet du consommateur dépend de la qualité de l’eau de la rivière ou de la nappe souterraine dans laquelle l’eau est prélevée et des traitements effectués après le prélèvement.

          De nombreux contrôles sont effectués tout au long de la chaîne de production d’eau potable : au point de captage, à la station de traitement, au niveau des réseaux de distribution…

          • FrAn6 dit :

            ce qui n’empêche que le taux de pesticides est surpérieur à la soit disant normal, même ici à Coulommiers ou quand les pluies sont importantes l’eau distribuée sur le réseau est dans la limite imbuvable. Donc à quoi serve ces contrôles, sinon qu’à noter sur la facture « pas de danger pour la consommation »

        • jna dit :

          Non, l’eau n’est pas douteuse, un peu limite en concentration de pesticides, mais délicieuse quand même et sans aucun danger pour la santé. Pas la peine d’essayer de faire dans l’alarmisme pour faire monter l’audience !

          Pour Voulangis, c’est detoute façon bien mieux que ce que vous aviez avant. On arrive même à traverser le village sans se boucher le nez depuis qu’il n’y a plus de gastro chez vous !!! :paf

        • jms dit :

          Damned ! pour les pesticides la fiche qualité qui accompagne la dernière indique pour 2006 : eau non conforme 0,11 µg/l (seuil à 0,10). C’est toujours intéressant de l’apprendre l’année d’après ! Il est précisé que cela n’empêche pas de la consommer. En 2000 on était à 0,23 , en 2004 à 0,08 et en 2005 à 0,10.
          Nota : en 2004 avant de basculer sur le réseau de Crécy, Voulangis était à 0,12. L’eau de crécy, en fait puisée à Sammeron semble de meilleure qualité que celle précédemment puisée à Voulangis.

  2. AS77 dit :

    L’Académie de pharmacie doit rendre un avis sur l’impact sur la faune, la flore et l’homme, du rejet de médicaments dans les eaux usées. Yves Lévi, professeur de santé publique à l’université Paris-Sud-II, nous explique les enjeux de ce problème mondial.

    LE FIGARO. – Le problème des médicaments dans l’eau est-il récent?

    Yves LEVI. – Les premières grandes séries d’analyses ont été réalisées à Berlin au début des années 2000, dans les rivières et les nappes d’eau souterraines qui alimentent la ville en eau potable. Les chercheurs ont mis en évidence des traces de pollutions humaines dans ces eaux et notamment des anti-inflammatoires, des antiépileptiques, des hypolipémiants. À la suite de ces travaux menés en Allemagne, l’USGS (United States Geological Survey) a réalisé en 2002 des analyses dans 139 rivières américaines dont 80% contenaient des résidus de médicaments en vente libre pour le public et 50% des traces d’antibiotiques et d’hormones œstrogènes. Depuis, cette question des traces de médicaments dans l’eau est venue rejoindre la préoccupation mondiale sur les risques environnementaux et sanitaires liés aux mélanges de polluants émergents dans notre environnement (plastifiants, retardateurs de flammes, polluants organiques persistants, pesticides…).

    Dispose-t-on de données en France?

    Par rapport à l’Allemagne, les États-Unis et la Grande-Bretagne, la France a accumulé un retard très net dans ce domaine. Notre équipe a mesuré, il y a trois ans, le potentiel œstrogène et notamment l’éthyniloestradiol dans les eaux de la région parisienne. Les stations d’épuration libèrent des traces d’hormones qui se traduisent par des concentrations très faibles de quelques nanogrammes (millionième de milligramme) par litre dans la Seine. Mais même à ces concentrations, les hormones perturbent le développement sexuel des poissons. Il existe des études ponctuelles en France mais le niveau de connaissance sur l’état général de contamination de nos ressources reste très faible. Certes, des laboratoires Français de recherche publics ou privés collaborent à des programmes européens d’étude notamment sur les rejets de stations d’épuration et leurs boues utilisées comme engrais agricole. Nous menons actuellement un programme d’étude pour modéliser les rejets de médicaments dans les égouts des hôpitaux. Mais cela reste insuffisant, vu l’importance des enjeux.

    Quel est l’impact des médicaments vétérinaires?

    La réglementation européenne impose depuis plusieurs années, pour les médicaments à usage vétérinaire, que dans les dossiers d’autorisation, soient calculées leurs concentrations prévisibles dans l’environnement et les risques écotoxicologiques. Pour les médicaments humains, une réglementation similaire est encore en cours d’élaboration. Il est trop tôt pour pouvoir évaluer la part de contamination liée aux médicaments vétérinaires par rapport aux médicaments humains. Les proportions sont variables selon les régions en fonction des zones d’élevage intensif et de pisciculture où s’utilisent des antibiotiques et des produits antiparasitaires ou dans les zones urbaines où les animaux domestiques sont dominants étant même parfois traités par des produits anticancéreux. Les résidus de médicaments vétérinaires se retrouvent dans les lisiers épandus sur les champs ou évacués dans les pâturages. Par ailleurs, les contaminations proviennent également des rejets liquides des usines de production pharmaceutiques qui sont parfois envoyés vers la station d’épuration. Pour les humains, les médicaments éliminés par l’urine ou les selles se retrouvent soit dans les fosses septiques, soit acheminées par les égouts vers les stations d’épuration qui n’ont pas été conçues pour éliminer toutes les traces de molécules que la chimie et la pharmacie ont pu inventer depuis des quarante dernières années. Des médicaments seront dégradés par la station d’épuration, d’autres se fixent dans les boues, mais certains passent en partie à travers le traitement et se retrouvent déversés et dilués dans les cours d’eau. Des antibiotiques, des anticancéreux, des produits de contraste iodés vont ainsi rejoindre la grande masse des autres nano et micropolluants tels que des solvants, des pesticides, des hydrocarbures ou des détergents.

    Mais quel est le risque pour l’eau du robinet?

    Environ 40% des eaux potables sont produites en France à partir des eaux de surface (rivières, lacs) qui sont polluées par les rejets issus de nos activités. Les usines de production d’eau potable ont déjà été globalement améliorées en France pour produire une eau de très bonne qualité malgré les contaminations des rivières et des nappes souterraines. Mais l’inquiétude mondiale est grande notamment vis-à-vis des molécules qui sont mal éliminées ou transformées par les traitements de chloration. Des financements considérables vont être nécessaires pour rénover les filières d’assainissement si nous ne savons pas réduire ou faire cesser la pollution en amont. Pour l’instant, le principal risque est certainement environnemental. Par exemple, de nombreuses molécules déjà citées que l’on retrouve dans l’eau des rivières ont montré un effet de perturbateurs endocriniens pour les poissons induisant des transformations des organes sexuels et des troubles de la reproduction, que ce soit dans, l’estuaire de la Seine, la Tamise ou le Potomac aux États-Unis. Il y a donc urgence à mener des recherches afin d’évaluer très précisément les effets biologiques de tous ces mélanges de polluants dont les résidus de médicaments sur l’environnement et les organismes supérieurs.

    forums Réagir dans le forum

    • AS77 dit :

      l’eau potable futur d’enrée rare abondance sont des nécessités quotidiennes.

      La législation sur les denrées alimentaires
      Autocontrôle et inspections

      L’eau (potable, bien sûr) est la denrée la plus importante de notre alimentation. Rappelons que le corps humain se compose tout de même de 60% d’eau. L’eau n’est pas mise en réserve par notre organisme, qui perd environ 2,5 litres d’eau par jour. En situation extrême, l’être humain peut survivre quelques semaines sans nourriture; mais sans eau, il ne survit pas plus de trois jours. Boire de l’eau en quantité suffisante est bon pour la santé et renforce la vitalité. Chacun devrait boire environ deux à trois litres d’eau par jour, voire même jusqu’à six litres dans les régions chaudes!

      La législation sur les denrées alimentaires
      La législation fédérale sur les denrées alimentaires définit de manière très précise les exigences élevées auxquelles la qualité de l’eau potable doit satisfaire (cf. notamment le Manuel suisse des denrées alimentaires, le chapitre 28 de l’ordonnance sur les denrées alimentaires, etc.). Ces dispositions sont contraignantes pour le distributeur d’eau. Pour pouvoir distribuer l’eau captée sous le label « eau potable », il doit être en mesure de démontrer que cette eau est exempte de tout agent pathogène et que les éventuelles teneurs résiduelles de substances chimiques qu’elle peut contenir ne présentent aucun danger pour la santé. Une eau potable de qualité est inodore, incolore et sans faux goût. Elle se boit de préférence fraîche du robinet.
      Autocontrôle et inspections
      Les distributeurs d’eau sont légalement tenus de contrôler régulièrement la qualité de l’eau potable qu’ils produisent. En Suisse, l’eau potable est l’une des denrées alimentaires les plus sévèrement surveillées. En outre, le distributeur d’eau est tenu d’informer les consommateurs de la qualité de l’eau potable.
      Les laboratoires cantonaux effectuent en outre des inspections indépendantes afin de garantir la sécurité sanitaire de l’alimentation. Ce système de contrôle s’applique par analogie à tous les établissements produisant des denrées alimentaires, tels que restaurants, boulangeries, boucheries, etc. En comparaison, les distributeurs d’eau se distinguent par leurs très bons résultats.

      • AS77 dit :

        Discours de M. le Ministre au congrès annuel des fédérations départementales des associations agréées de pêche et de protection des milieux aquatiques
        22 novembre 2004 [

        Monsieur le président de l’Union nationale pour la Pêche en France,

        Messieurs les présidents,

        Mesdames, Messieurs,
        Permettez-moi d’abord, Monsieur le Président ROUSTAN, de vous remercier de m’avoir convier à votre congrès.

        C’est avec un grand plaisir que je viens saluer pour la première fois l’ensemble des représentants de la pêche de loisir en France.

        Votre invitation montre la qualité des relations que nous avons et que je souhaite entretenir avec vous. Vous avez une place importante dans la politique de l’eau. Vous êtes des acteurs de proximité qui oeuvrent concrètement sur le terrain.

        Les poissons sont le reflet de la qualité de l’eau. Et comme vous je suis attaché à ce que nos rivières leur offrent une qualité qui permette un peuplement naturel et riche, bref un bon état écologique.

        Pratiquement 40 ans après le vote de la loi sur l’eau du 16 décembre 1964, le moment est opportun pour faire un bilan des lois fondatrices et de vous présenter mon projet pour la politique de l’eau.

        Rappelons-nous qu’avant 1964, à Paris par exemple, les ponts de la Seine disparaissaient parfois sous la mousse des détergents.

        Il était urgent d’agir contre la pollution. Ainsi, parmi les grandes innovations de la loi de 1964, figure la mise en place pour la première fois d’une structure, l’agence de l’eau, à une échelle écologique pertinente : le bassin hydrographique. Elles ont permis de financer de très nombreux travaux de dépollution.

        Mais n’était-ce pas une approche essentiellement physico-chimique ? Qu’en était-il de la vie de nos rivières et de nos étangs ?

        C’est à vous les pêcheurs que nous devons la première loi sur les milieux aquatiques. Il s’agit naturellement de la loi « pêche ». Cette loi posait clairement le principe de l’intérêt général de la protection des milieux aquatiques et du patrimoine piscicole. Pour cela elle affirmait quelques principes forts comme la nécessité de maintenir un débit biologique en aval des barrages.

        A travers l’obligation de gestion, liée à l’exercice de la pêche, elle vous a confié une responsabilité importante. L’ensemble de ces mesures était d’avant garde et d’inspiration réellement écologique.

        Cette politique trouve aujourd’hui des résultats positifs, si l’on juge par exemple les données sur la migration des aloses, des lamproies ou même du saumon. Sur la Loire, à Vichy, nous sommes ainsi passés de quelques dizaines de saumons à la fin des années 80 à plus de 1 200, en 2003.

        Enfin, la loi sur l’eau, du 3 janvier 1992, a unifié et renforcé la police de l’eau. Elle a mis en place les SDAGE, les Schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux, et les SAGE, les Schémas d’aménagement et de gestion des eaux.

        Mais force est de constater que la dégradation actuelle qui affecte certains de nos cours d’eau que ce soit par les nitrates, les pesticides ou simplement les matières en suspension montre que beaucoup reste à faire.

        Il faut aujourd’hui redonner un souffle à notre politique de l’eau. La directive cadre du 23 octobre 2000 en est l’occasion. Elle nous fixe un objectif ambitieux : atteindre en 2015 le bon état écologique des eaux.

        C’est une reconnaissance de l’importance de la qualité de la faune et la flore des cours d’eau.

        La mise en œuvre de la directive-cadre se fera à travers la révision des SDAGE. La réalisation de l’état des lieux qui servira de base à cette révision a commencé. Il sera un point important de l’ordre du jour des prochains comités de bassin dont vous êtes membres.

        En 2005, une importante consultation du public sur cet état des lieux et les grands enjeux de chaque bassin sera lancée.

        J’invite tous les pêcheurs à y participer.

        Vous serez, bien sûr, associés à la modification des SDAGE prévue d’ici 2007. C’est sans aucun doute à cette occasion qu’il faudra faire « valider » les exigences écologiques vitales pour la préservation du poisson. Les plans départementaux de gestion piscicole que vous avez élaborés devront ainsi être une contribution importante et originale à la révision du SDAGE.

        Mais pour atteindre ce bon état écologique des eaux en 2015, il faut que nous nous donnions tous les outils nécessaires. C’est l’objet principal du projet de loi sur l’eau. Je le présenterai en Conseil des Ministres, en janvier prochain, en vue de son examen au Parlement.

        Vous avez été largement associé à l’élaboration de ce projet. Je tiens à vous remercier de votre implication qui a permis de notablement l’améliorer.

        J’ai bien noté la satisfaction du président ROUSTAN sur l’architecture générale de ce projet et notamment deux points essentiels qu’il comporte.

        -Tout d’abord l’ONEMA. Il est vrai que pour les pêcheurs et pour le personnel du CSP, le Conseil supérieur de la pêche, sa transformation en ONEMA bouleverse le « paysage piscicole ». Mais je crois que chacun en a compris, aujourd’hui, l’intérêt. Je souhaite véritablement conserver au sein de l’ONEMA la richesse humaine et les compétences que représentent les agents du CSP.

        Je souhaite également conserver le lien indispensable entre la connaissance des milieux et la police qui doit en assurer la préservation. Ce sera une compétence forte de l’ONEMA.

        -Deuxième point de satisfaction : la création de la fédération nationale de la pêche et de la protection du milieu aquatique. C’est effectivement l’occasion de confirmer et de renforcer l’organisation de la pêche de loisir. Par ailleurs, celle-ci doit être nettement séparée de la pêche professionnelle. Cette dernière doit trouver sa juste place dans la gestion partagée et durable des ressources piscicoles

        Certes, il y a ces points positifs, mais j’ai aussi noté que vous avez exprimé quelques souhaits voire inquiétudes.

        En ce qui concerne la police de l’eau, je partage totalement votre souci d’efficacité. J’ai engagé un important chantier de rationalisation. La police de l’eau sera regroupée en un service unique dans chaque département avec des agents affectés progressivement à plein temps. Une circulaire impliquant tous les ministères concernés sera très prochainement envoyée aux Préfets.

        En ce qui concerne la protection des milieux aquatiques, je puis vous assurer qu’il n’est pas du tout dans mon intention de fléchir.

        Dans ce domaine, le projet de loi vise à rendre plus lisible, plus simple et donc plus efficace les textes relatifs à la protection des milieux aquatiques. Je souhaite donc regrouper dans un seul texte l’ensemble des textes aujourd’hui éparpillés. Il y aura ainsi un renforcement de l’efficacité de la police de l’eau.

        A titre d’exemple, la défense des milieux aquatiques les plus sensibles vis-à-vis de projets d’aménagements ou de travaux en rivière, pourra aussi être mieux assuré avec la possibilité nouvelle pour le préfet de s’opposer à des déclarations.

        Le dialogue entre nous doit continuer. Lors du débat parlementaire, je resterai à votre écoute et serai prêt naturellement à faire évoluer le texte.

        Sur le terrain, par votre réseau, un million huit cent mille pêcheurs, par votre travail de proximité sur les cours d’eau, vous pouvez sensibiliser nos parlementaires aux enjeux de nos cours d’eau.

        Nous avons un défi important à relever pour la qualité de nos cours d’eau d’ici 2015.

        L’écologie a besoin de vous pour y arriver.

        Je compte sur vous.

        • brionautes dit :

          C’est fatigant ! Y’en a trop !
          Je n’ai pas tout lu mais ça fait partie du baratin que nous servent les écolos à longueur d’années.
          C’est toujours de la faute aux autres !
          Quand allons-nous nous intéresser, enfin, aux scientifiques sérieux (pas les intellectuels du PAF) ?
          Beaucoup ne sont sont pas aussi alarmistes !
          Même Al Gore, « Prix Nobel de la Paix » quand même, n’est pas aussi défaitiste !
          Alors STOP aux inepties (c’est dans le dictionnaire…) Monsieur AS77 et retombez un peu sur terre !
          Signé : un ami qui vous veut du bien malgré tout !
          😐 :paf 😛 😛 😛 😛

          • AS77 dit :

            la connerie aussi. l’écologie c’est du pipeau seule chose de réel pour moi ,demain ce sont les enfants qui vont hériter des gros dégâts dus aux profits d’un certain nombre de personnes intéressées et en supporter les conséquences. La terre nous ne l’héritons pas de nos parents nous l’empruntons à nos enfants ,malgré ton arrogance je pense que tu n’oublies pas tes héritiers.
            le dicton est de st exupéry je suppose qu’il n’était pas écologiste mais visionnaire amicalement AS77

  3. pg dit :

    Sans doute un effet positif de saines lectures briardes : le rapport mensuel d’octobre 2007 de la qualité de l’eau émis par le Laboratoire Départemental d’Analyses est ligne sur le site de la commune de Saint-Germain-sur-Morin.
    http://www.saint-germain-sur-morin.org rubrique « Commune » sous-rubrique « Qualité de l’Eau ».

  4. brionautes dit :

    223 communes situées entre la Seine et la Marne (départements 77, 91 et 94), sur une surface de 2600 km2, sont au-dessus de la nappe des calcaires de Champigny, ressource en eau souterraine qui alimente en eau potable environ un million de franciliens dont 500 000 seine-et-marnais.
    La baisse du niveau de la nappe et la présence de nitrates et de produits phytosanitaires ont conduit les différents acteurs de l’eau à se constituer en association en 2001.

    Pourquoi et comment préserver la quantité et la qualité de la nappe de Champigny ?

    Telle est la problématique à laquelle tentera de répondre l’association AQUI’Brie

    le mardi 27 novembre de 14 à 17 heures
    à l’amphithéâtre du lycée Bougainville.

    oPremière partie :
    oContenu :
    Historique de l’association, raisons de sa création, les partenaires de l’association
    Hydrogéologie, résultats d’analyse de l’eau, les usages de l’eau
    oIntervenants : A.Saizonou directrice de l’association, A. Reynaud hydrogéologue
    oDurée approximative de l’intervention : 30 mn
    oQuestions et réponses relatives à cette partie : 15 mn ?

    oDeuxième partie :
    oContenu : les acteurs de l’eau et la réglementation : Agence de l’eau, DIREN, DCE, SDAGE, plan départemental de l’eau
    oIntervenant : C. Mathieu Agence de l’eau
    oDurée approximative de l’intervention : 30 mn
    oQuestions et réponses relatives à cette partie : 15 mn ?

    oPause : 15 mn

    oTroisième partie :
    oContenu : les actions préventives
    Exemple 1 : modifications des pratiques d’une commune. Possibilité de projection d’un court métrage réalisé par le Conseil général recueillant des témoignages de modifications des pratiques dans différentes communes (sous réserve de sa disponibilité)
    Exemple 2 : modification des pratiques d’entretien des bords de route sur la subdivision de Nangis
    Exemple 3 : ce qui est en train de se mettre en place en zone agricole (secteurs de Nangis ou de Provins)
    Exemple 4 : présentation du projet d’un aménagement auto-épurateur (secteur de Rampillon)
    oIntervenants : F. Birmant animateur agricole du bassin de l’Ancoeur, I. Losinger responsable des actions préventives.
    oDurée approximative de l’intervention : 1 h
    oQuestions et réponses relatives à cette partie : 30 mn ?

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