Le printemps des poètes

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13 réponses

  1. lomig dit :

    Amour ……………

    Ah l’amour qui transporte , qui donne des ailes, avec 2 c à la place du m, il devient accours, oui accours, jette toi dans mes bras mon aimée, que je sentes ton parfum et la chaleur de ton corps contre le mien !
    A l’heure du T, amour devient atour, tes atours ma mie, ceux qui me font te faire la cour ……..

    • lomig dit :

      Que j’aime à la presser, quand sa taille légère – Emprunte du sérail les magiques atours; – Ou qu’à mes sens ravis sa tunique étrangère – D’un sein voluptueux dessine les contours!
      Le chevalier de Bertin

  2. lomig dit :

    La raison. L’imagination est sa dame d’atours
    Joseph Joubert

  3. lomig dit :

    Plus l’obstacle est puissant, plus on reçoit de gloire; – Et les difficultés dont on est combattu – Sont les dames d’atour qui parent la vertu.
    Molière

  4. lomig dit :

    Si tu étais la mer – Moi je serais rivière – Et mes jours couleraient vers toi – Si tu étais pays – Mes bras seraient frontières – … – Si tu étais… – Mais tu es plus encore… – Tu es, tu es – Et tu remplis mes jours – Tu es de vie – Tu es d’amour – Tu es.
    Adamo

  5. lomig dit :

    Y sont où les poètes !!!

    • retraitactif dit :

      d’après Gilbert Bécaud y sont morts. 🙁

      • Florence dit :

        Celui-ci vit encore :

        Chanson : Nous le voulons ce monde bleu –

        Refrain :

        Nous le voulons ce monde bleu plein de soleil.
        Avec des milliers de colombes dans le ciel
        Avec des fleurs, des champs de blé
        Et là bas un bel arc en ciel
        Nous le voulons ce monde bleu.

        1.-Et nos maisons accueilleront cette lumière
        Chacun sera le citoyen de cette terre.
        Tu m’offriras l’eau de ton puits, et moi celle de ma
        rivière
        C’est tellement beau – d’être ton frère.

        2.-Et tes chansons diront le vent qui nous soulève
        Et mes chansons partageront nos plus beaux rêves
        Car nous croyons en l’Espérance, aux chants de
        paix et à la trêve.

        3.-Et nos saisons prendront le temps de moissonner.
        Et puisqu’aimer c’est d’abord se mettre en danger.
        Puisqu’on ne peut arrêter un coeur qui chante de
        chanter
        Viens avec nous – on va danser !

        Jean-Claude GIANADDA

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