Chanson du barde …
Tu n’es pas celte que je croise Quand je t’ai rencontrée Tu m’es apparue dans les volutes Druidesse tu m’as charmé Tout de suite vous me plûtes Votre bague en triskell Votre chevelure blonde Oui je ne voyais qu’elle Dans tout ce monde |
Refrain Tu te disais gauloise Cà oui tu m’as enfumé Tu n’es pas celte que je croise Pourquoi l’avoir caché ? 2 Moi le barde solitaire Refrain 3 Refrain ndlr : Le torque est un collier porté par les Celtes puis, à titre honorifique, par les soldats romains, formé d’une épaisse tige métallique ronde, généralement terminée en boule à ses deux extrémités et plus ou moins travaillée ou ornée (srce : Wikipedia) |
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Sait-elle cette jolie druidesse qu’elle a laissé filé la chance de sa vie ? 🙁
Amitié sincère à notre druide. 😉
Connaissez-vous les paroles d’une chanson écrite par un barde nommé Michel Legrand à une druidesse comme celle dont vous nous parlez ?
»Les moulins de mon coeur »
Comme une pierre que l’on jette
Dans l’eau vive d’un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l’eau
Comme un manège de lune
Avec ses chevaux d’étoiles
Comme un anneau de Saturne
Un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D’un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cur
Comme un écheveau de laine
Entre les mains d’un enfant
Ou les mots d’une rengaine
Pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige
Comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège
Sur des moutons d’océan
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D’un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cur
Ce jour-là près de la source
Dieu sait ce que tu m’as dit
Mais l’été finit sa course
L’oiseau tomba de son nid
Et voila que sur le sable
Nos pas s’effacent déjà
Et je suis seul à la table
Qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure
Sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent
Aussitôt qu’on les oublie
Et les feuilles de l’automne
Rencontre des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne
La couleur de tes cheveux
Une pierre que l’on jette
Dans l’eau vive d’un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l’eau
Au vent des quatre saisons
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cur
superbe texte ….
je n’y comprends rien.
il parle pas français, je croyais qu’il ne faisais que des musiques de films.
c’est de la poésie peut-être?
je préfère la philo, c’est plus clair et plus bo.
Un romantique qui s’ignore jna 😉
je le mettrais mon torque à la prochaine Brionauterie :b