Fatalement dégoûté de devoir, sans désinfecter,
Partager son siège et les accoudoirs de son wagon,
Avec des quarterons
d’inconnus mal lavés,
Il décida de faire ce que tout le monde lui avait déconseillé,
Devenir usager de la route pour aller travailler.
Fatale erreur.
Il faillit en crever.
Première contrariété,
L’octroi de Coutevroult,
Lui pompa ses premiers sous.
Puis à peine remis de ce premier souci,
Il tomba dans l’excès de circulation,
Deux heures alors il lui fallu pour arriver à Nation.
Mais comme les ennuis, toujours sans raison,
S’accumulent à foison,
Le stationnement de son véhicule lui coûta bientôt
Le solde de son écot.
La maréchaussée verte avait encore frappé,
Par les consignes roses endoctrinées.
Fulminant de rage contre les femmes aux papiers,
Il lui prie l’envie d’aller déjeuner,
Avec son véhicule,
Son extension de déplacement,
Sans se prier de façon badine,
Il passa son temps de repas,
A se morfondre sans faire un pas.
L’heure du chien et du loup étant enfin apparue,
Il envisagea finalement de rentrer d’où il était venu.
La condensation des nuées parisiennes,
Se précipitant dans les rues,
Acheva de congestionner ce qui aurait du
Etre son chemin de joie,
Mais finit sa journée par un chemin de croix.
L’apoplexie routière avait finit par gagner.
Ce qui dans son esprit
Se devait d’être un gain,
Se termina finalement dans un accident de frein.
Vraiment quelle vie de chien
Moralité :
« Restons un cochon d’usager ferré,
Plutôt que l’apoplexie risquer dans le guêpier francilien autoroutier.
Car quitte à être emmerdé,
Autant ne pas faire dans la médiocrité
Et s’adresser à des professionnels reste le meilleur choix ;
Même si à la SNCF et à la RATP leur reconnaître je le dois,
Cette capacité de nuisance et de grève, c’est leur droit.
Mais nuire à la collectivité
Sans subir les affres de la sanction
Est bel et bien un abus de position »
N’hésitons pas à exiger la suppression,
De leur excessive nuisance de position,
A ces stupides ennemis de la raison.
La maréchaussée verte avait encore frappé,
Par les consignes roses endoctrinées.
L’auteur évoque ici la politique de la Mairie de Paris qui sous l’influence des Vrts tend petit à petit à rendre la vie difficile aux automobilistes. Cela me fait penser à la mise en service du nouveau tramway des Boulevards des Maréchaux. J’ai lu ce matin que l’on attend une réduction du trafic automobile sur la portion de boulevard occupée par le tram : mais ce n’est pas parce que le sgens prendont le tram, non c’est juste parcequ’il y a moins de place pour les voiture (situation d’ailleurs qui s’est installée depuis le début des travaux). Autrement dit le trfaic qui a disparu s’est réparti petit à petit sur le périph tout proche et d’autres artères plus intérieures
Est-ce que tout ceux qui vont à Paris en voiture ont besoin d’y aller en voiture ?
Si oui, n’est-il pas possible qu’ils essayent de développer le co-voiturage un peu plus ?
Si on prend l’exemple de Strasbourg, vous stationnez sur les parkings prévus pour le stationnement pour 290 la journée en échange d’un ticket de tram par peronne présente dans la voiture.
Afin d’appuyer un peu plus cette démarche, les stationnement en centre ville sont de 290 de l’heure.
Je suis d’accord pour dire que l’on ne peut pas calquer ce qui se fait à Strasbourg sur Paris, mais je pense que l’on peut largement s’en inspirer.
Je rappelle que notre site offre un service de mise en contact pour le covoiturage : cliquez sur « covoiturage » dans le menu à gauche ou dans le bandeau en haut. En pratique malgré le cout d’usage des véhicules le covoiturage ne décolle pas vraiment. Difficile de concilier point de départ et point d’arrivée et horaires de départ et d’arrivée même entre 2 personnes. Mais si on présente son offre, c’est un début.
Plus que la politique des Verts, je souhaitais surtout mettre en exergue la détestable habitude des roulants de la SNCF, RATP et autres de faire grêve à tout propos. Le droit de grève devrait être restreint pour tous ces gens qui occupent des situations sans risque économique.
D’autre part, lorsque, malgré des élections professionnelles, des conflits deviennent aussi durs, c’est que les syndicats n’ont pas fait leur travail de négociations; ils devraient alors remettre leurs mandats en jeu pour être remplacés.
Eh bien je vois que dès que l’on parle de supprimer des avantages acquis nuisibles pour le bon fonctionnement d’une société structurée, il n’y a plus personne pour aller dans mon sens.
Ca ne m’étonne pas plus que ça après tout.
Ce pays n’est pas réformable.
Ya plus qu’à s’expatrier!
Cochon dingue, hi hi trop drôle !!!! :-a)