Le commerce virtuel
Plus connu sous le nom de e-commerce, celui-ci se porte à merveille.
Mais, quel est l’envers du décor ? Il y a quelques années, les hypermarchés dont il n’est point utile de citer les noms, se sont mis dans la tête de vendre de tout. Facile : ils avaient la surface pour exposer, la clientèle venait déjà pour l’alimentaire, il n’y avait plus qu’à proposer. A leurs yeux, inutile de savoir faire, il suffisait de vendre, tout et n’importe quoi certes mais surtout vendre. C’est ainsi qu’ils se sont mis à vendre des télévisions, des magnétoscopes, puis des lecteurs dvd. Ils se sont attaqués à l’informatique. Grande révolution pour le consommateur ! Mais, comme dans toutes les révolutions, il y a des victimes … |
Ces victimes furent bien-sûr les professionnels (car il s’agit bien d’une profession) qui un à un fermèrent et par conséquent licencièrent mais aussi… Tiens tiens, les consommateurs ! Il ne suffit pas de vendre un produit, encore faut-il connaître ce que l’on vend et savoir assurer une après-vente. Tout le monde le sait, un ordinateur n’est pas une machine à laver, ça tombe plus souvent en panne. Alors pourquoi acheter un ordinateur comme on achète une machine à laver ?
Comment font ces prédateurs pour vous faire acheter chez eux ? Ils achètent par exemples 4 ordinateurs vendus à des prix extravagants (tellement extravagants que vous ne vous posez pas la question de ce qu’il y a dedans, dommage…) puis, évidemment, le stock étant limité (c’était indiqué sur la pub par un *dans la limite des stocks disponibles) les consommateurs qui n’auront pas eu la chance d’être les premiers servis, se rabattront sur une autre série (c’était prévu). Seulement voilà, dans l’euphorie, on n’a pas soulevé ou du moins approfondi le problème du service après-vente. Le mot est bien choisi, car c’est vraiment un problème dont il s’agit pour le consommateur. Réparer des ordinateurs, c’est un métier, faisant appel à des professionnels. Quand ce ne sont pas des gens de métiers qui vendent, difficile d’obtenir satisfaction lorsque l’objet acheté tombe en panne. Alors, il faut attendre 3 mois pour le récupérer cette superbe affaire qu’on a cru faire car ces distributeurs vont attendre d’en avoir un certain nombre comme le vôtre afin d’envoyer le tout à leur sous-traitant qui se trouve à Lyon ou ‘‘Tataouinlesbains’’. Ces prédateurs se sont attaqués également aux métiers de l’automobile, de la parapharmacie, de la presse (journaux et revues) et j’en passe. En embauchant des jeunes en contrat d’apprentissage ou de qualification (appelés maintenant professionnalisation mais beaucoup plus onéreux) en section »force de vente », l’après-vente ne peut être assurée, le personnel n’étant pas qualifié et payé peu, sans charges, avec une prime à la clefs pour l’employeur, c’est plus facile de proposer de la marchandise pas chère, d’autant qu’elle est achetée en grosse quantité, donc remisée par les fournisseurs (je ne parle pas de la qualité…). Sur Internet, on y trouve de tout, des vêtements, des pièces automobiles, des produits de beauté, de l’alimentation, des vacances, du piratage et du volé également… Il reste au consommateur à se poser les bonnes questions lors d’achat sur Internet ou en grande surface : Ceci est valable pour tout style d’achat, sans conseil, on a plus de risques de se tromper, surtout que les grandes distributions type hypermarchés, chaînes de parfumerie (pour parler de ce que je connais le mieux) ont des instructions de vente type ‘‘il faut vendre tel produit’’ délaissant à coup sûr l’intérêt du client qui va être ainsi ‘‘aiguillé’’ vers un autre produit que celui pour lequel il était venu. |
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Je trouve ce constat un peu négatif.
Tout d’abord il ne faut pas parler de commerce virtuel; c’est un commerce bien réel : il y a transaction, la somme payée par carte est bien débitée (toujours) et le bien commandé est reçu (souvent).
Ce n’est pas une révolution mais un progrès par rapport à un mode de commercialisation celui de la correspondance.
– on retrouve les avantages de la classique vente correspondance; vous savez ces catalogues qu’on apprécie beaucoup à la campagne et chez les ménagères de tout age; les catalogue des 4 belges, hervé de roubaix ou encore l’ane bleu (les marques ont été grimées mais on les connait tous). Les avantages sont nombreux :
. pouvoir consulter tranquillement son catalogue en ayant toutes les données en main et par écrit et sans subir la pression des vendeurs
. ne pas avoir à se déplacer
. une certaine culture qui inclue des cadeaux surprise, des réductions et aussi le plaisir de toucher le produit seulement à l’arrivée
. la réduction des intermédiaires par un envoi direct de l’entrepot vers le consommateur
– à cela il faut ajouter les avantages d’internet :
. l’interactivité :on connait en temps réel la disponibilité des produits et on peut suivre l’avancement de sa commande
. l’immédiateté : la commande est lancée tout de suite; plus besoin d’attendre les délais du courrier.
Comme dans le cas de la classique vente par correspondance, il faut savoir être sélectif. Personnellement je ne fais confiance qu’aux sites des traditionnels vendeurs par correspondance reconnus et aux sites de marques ayant pignon sur rue.
Selon ses habitudes de consommation et sa prise de risque chacun doit décider ce qu’il peut ou non commander par internet.
En conclusion, c’est un mode de commercialisation moderne et complémentaire des autres. Il ne faut pas le rejeter à priori.
A choisir entre e-commerce et grande surface soit-disant spécialisée,je préfère l’achat sur internet car j’ai constaté que bien souvent les vendeurs sont nuls et que le meilleur moyen de ne pas faire d’erreur est de ne pas les écouter.
on a plus de renseignements précis et des avis de consommateurs sur des sites internet;
quant à la sécurité des paiements des livraisons et de l’apres vente je n’ai jamais eu de problème.
Une fausse carte bancaire pour les nulles !
Serge Humpich l’a montré :
Fabriquer une fausse carte bancaire à puce, c’est facile.
Fabriquer une fausse carte bancaire à puce, c’est à la portée de tout le monde, donc y compris des filles dépensières.
Fabriquer une fausse carte bancaire à puce ne te prendra qu’une heure de ton temps (si t’es pas trop nulle) pour un investissement minimal.
Il y a 3 étapes pour fabriquer une fausse carte bancaire à puce
1. Procures toi le matériel suivant :
(Soit pour les mal voyants : le livre « Applied Cryptography », 2ème édition anglaise, un ordinateur, un mulot, un tapis de rat-mulot, un lecteur de carte à puce, un jeu de cartes à puce vierges (5 au moins), une pince, un fer à souder, du fil de soudure, un triarch, du fil de câblage, des tournevis, un yoyo, le livre « Histoire des codes secrets », le livre « Engineer’s mini notebook », une pince, le livre « Pour s’initier à l’électronique », une pomme, un contrôleur universel, le livre « cartes à micro-circuits », le journal « Pirates Mag » n° 5)
Manque sur la photo, le livre « Théorie du bordel ambiant » de Roland Moréno.
2. Télécharge le logiciel
donnelode nao !
Dézippes le dans un répertoire dédié.
3. Suis les instructions
Exécute le programme cbcrack.bat se trouvant sur le répertoire où ont été décompressés les fichiers et suis les instructions affichées à l’écran.
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Attention : l’utilisation et la falsification d’une fausse carte bancaire est punie de 7 ans de prison, prend garde à ne pas te faire prendre
Voir les articles 67 et 67-1 concernant les falsifications de cartes bancaires
Assistance : kartblou@parodie.com?subject=bouloumbouloum
Je m’inscris en faux contre ce que dit Korie de la grande distribution.
Dire qu’il n’y a pas de savoir-faire est erroné.
– Gérer la complexité d’un hypermarché où tout est sur une grande échelle c’est un sacré savoir-faire
– Développer à ce point le markéting pour maximiser le chiffre de vente c’est du génie
– Imaginer des systèmes informatiques complexes capables de gérer et de piloter des centaines de magasins multi-formats, les entrepots, les commandes et tout l’administratif c’est un sacré challenge
– Piloter toute la logistique entre tous ces sites, les entrepots et les multiples fournisseurs, c’est fort.
– et surtout le coeur du métier, celui qui demande persuasion, négociation, imagination et disons-le génie c’est celui d’acheteur. Car c’est là que se gagne l’argent dans la capacité à obtenir les prix les plus bas assortis de remises sur les volumes, de remises sur les commandes, de remises sur le chiffre d’affaire, de remises sur les remises, … et des promotions auto-financées par les fournisseurs eux-mêmes.
Si tout cela c’est pas du savoir-faire !
Quel était le sujet jms ? La gestion d’un hypermarché ? Je ne crois pas… Vous êtes donc hors sujet :#
Maintenant, personne ne parle de l’après-vente dans ses commentaires. Qu’en est-il puisque vous avez l’expérience de l’achat sur Internet ? Si vous relisez mon article, il n’est pas pessimiste. Je reste persuadée pour ma part qu’il vaut mieux acheter face à un interlocuteur doublé d’un professionnel (c’est valable pour tous les produits). Combien de fois entends-je des dames qui me disent : »j’ai pourtant acheté une crème de bonne marque chez »x » (une chaîne distributrice de produits beauté ou un hypermarché) et pourtant ma peau est toute sèche, ou bien elle brille, ou alors j’ai des boutons ». Que s’est-il passé d’après-vous ? Sans conseil d’une technicienne (une esthéticienne par exemple…), il est légitime de se tromper et d’acheter tout le contraire de ce qu’a besoin la peau. Une peau déshydratée qui reçoit une crème pour peau sèche aïe aïe aïe ! Une peau sèche qui reçoit une crème pour les boutons ouille ouille ouille ! Je shématise, mais il y a de cela.
Et pour le terme »virtuel », ce qu’on ne peut pas toucher j’appelle ça du virtuel.
Allez, je vais être hyprocritement gentille, je vais vous faire plaisir et dire : »vive le e-commerce ! vive les supermarchés ».
Au fait, chez les commerçants aussi vous pouvez payer par CB, obtenir un délai de livraison avec un sourire en prime. Le seul inconvénient : il faut sortir de chez soi et prendre l’air. C’est si grave ?
Je suis parfaitement dans le sujet. :b
Je répond au début de l’article où il est bien question d’hypermarchés, que je sache !
Oui mais vous parlez de gestion, ce n’était pas le sujet.
Votre exemple est probant. Bien sur on ne peut pas acheter tout n’importe où; tous les modes de commercialisation doivent cohabiter et se compléter.
on ne peut pas dire que Korie manque de PEAUX……..
Les petits commerces ferment et c’est bien domage, mais malheureusement, un petit commerce qui ferme, c’est en moyenne 2 voire 3 personnes qui se retrouvent sans emploi. Un grand magasin, ce sont plus d’emplois qui sont créés.
Il faut savoir ce que l’on veut.
Une autre petite remarque, je reste persuadé que chaque commerce (qu’il soit grand, petit, discount, …) a sa clientèle propre. Il y a de la place pour tout le monde, après il ne reste plus qu’à voir les proportions.
En ce qui concerne le e-commerce, je le voit de plus en plus lors des brocantes. On voit de moins en moins de monde lors de salons de collectionneurs ou lors des brocantes, que ce soit en tant qu’exposants ou de visiteurs. Les acheteurs et les vendeurs vont de plus en plus sur les sites Internet tel e-bay.
Les consommateurs sont également sensibles à des clefs de l’achat qui sont pour moi le choix, la disponibilité et le moment opportun.
D’autre part, le coût du travail est devenu tellement coûteux qu’il devient parfois préférable de changer son imprimante, son téléviseur ou son ordinateur plutôt que de le faire réparer et en plus ça permet d’avoir le produit up to date; c’est parfois pour cela que les consommateurs préfèrent acheter au moins cher. C’est dommage mais c’est comme ça.
D’autre part, le niveau technique de certains consommateurs s’étant élevé, les autodidactes se font un loisir de trouver le truc qui va bien ou d’installer pour un copain, un parent. Pour l’informatique, ce qui était il y a dix ans pour certains un objet intouchable et complexe est devenu un objet incontournable que l’on bricole comme à une époque on bricolait sa moto ou sa 2 cv.
Les compétences se sont déplacés car les gens se sont adaptés.
C’est vrai que les gens s’adaptent mais de temps en temps, on a envie de la jouer plus cool et de trouver un pro pour vous proposer une solution adhoc sans passer 6 mois à configurer le bouzin. Ce type se service ne trouve que dans les petites structures. Après c’est une question de coûts.
Heureusement pour les pro qu’existent ces autodidactes qui disent s’y connaître. Lorsqu’ils ont mis en vrac le matériel il l’apportent au magasin en réparation ! 😉
Maintenant, le sujet traitait de tout genre de marchandise et ce qui est vrai pour l’un est vrai pour tous.
Le savoir-faire ne s’invente pas, il s’apprend.
Comme le chante – M -, moi je vis dans un monde virtuel
quelque chose qui est aussi virtuel c’est la baisse des prix dans la limomaderie. 😮
Souvenez vous des déclarations tonitruantes des responsables syndicaux de la profession.
Si on baisse la TVA à 5.5% on va céer 40.000 emplois, excusez du peu. :=!
on va baisser les prix :-d)
on va aménager les horaires du personnel 😀
Enfin tout serai merveilleux :-a) .Et il y en a surement qui y ont crû????? 🙁
Que constattons nous aujourd’hui? Certes la TVA a bien baissé..pas les prix ou si peu eti ou? :#
je ne blâme pas les commerçants de la profession, au contraire je trouve qu’ils ont très bien joué; quand un gouvernement fait un aussi beau cadeau il faudrait être…pour ne pas en profiter.
il faudrait que chaque « lobby » de chaque métier en fasse autant surtout juste avant des élections. 😉
Après moi le déluge et la retraite de ministre,
Je crois que cette mesure va peut-être créer des emplois, mais combien ? et comment les comptabiliser ?
Y-a-t-il un suivi après la promulgation d’une telle mesure ?
Concernant la baisse des prix, le gouvernement pourrait demander aux « limonadiers » de l’afficher au moins pendant 2 mois, en affichant les tarifs avant et après mesure pour informer les clients et faire bière pression sur les professionnels qui ne voudraient pas jouer le jeu, la formule donnant-donnant.
Parti, comme c’est là, en faisant confiance seulement au civisme je doute un peu et même beaucoup de l’efficacité.
Le seul effet tangible sera sans doute une baisse des recettes fiscales provenant de ce secteur, dans les mois qui vont suivre.
Cela va accroître le déficit budgétaire, et on va faire un emprunt pléblicite , pour renflouer les caisses à court terme.
Ce que je ferais, une fois l’emprunt lancé et l’argent récolté :
1) Je lance une campagne d’information-communication-propagande, sur les risques de la faillite de l’état.
2 ) Je lance un grand débat avec les forces vives de la nation
3 ) Je propose aux citoyens de transformer l’emprunt en souscription pour le sauvetage de la patrie : Sauver la France grâce à votre argent. Vous aimez la France, effacez ses dettes.
4 ) Je promets à tous ceux qui acceptent de donner, de léguer ou d’annuler leur créance une médaille du style : A SES GENEREUX DONNATEURS LA PATRIE RECONNAISSANTE.
En fonction de la somme , ou du quotient familial, son inscription en lettres d’or sur un monument dédié à cette cause nationale. A côté du monument aux morts avec des slogans du style : Ceux d’à côté ont donné leurs vies pour la France, merci aussi à ceux qui ont donné une partie de leur argent pour la sauver aujourd’hui.
5) Pour montrer l’exemple , on verrait à la télévision des personnalités politiques , artistiques, des grands patrons, faire des gros chèques…
6) Evidemment, je promettrais une rigueur budgétaire à l’avenir : De bâtir un budget équilibré, pour que ce plan ait plus de succès.
On peut toujours rêver, mais je pense que cette hypothèse n’est pas exclue. En tout cas c’est ainsi que fait une association ou une fondation, quand elle veut lever des fonds pour un objectif bien précis. Il faudrait que j’en parle à Nicolas, mais peut-être que la situation n’est pas encore aussi désespérée pour en arriver à une telle extrémité. C’est quand même mieux que la guerre.