Les brionautes de Crécy la Chapelle et du Pays Créçois

Les brionautes de Crécy la Chapelle et du Pays Créçois

Quel développement économique pour le Pays Créçois ?

par · 9 juillet 2005

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32 réponses

  1. lomig dit :
    9 juillet 2005 à 14 h 55 min

    super document !
    Sera rajouté à la réflexion sur le PNR

  2. hkir dit :
    9 juillet 2005 à 23 h 08 min

    J’ai lu le document.Très intéressant.Dans l’introduction ,j’ai eu peur car il y avait des erreurs et des omissions.
    Dans le développement, certains commentaires de certains maires demanderaient à être éclaircis (le surcoût pour une commune d’un citoyen travaillant chez Disney par rapport à un citoyen lambda par exemple), le choix d’une certaine commune de racheter 2 commerces locaux me laisse perplexe, le commentaire prêté au maire de Crécy sur la zone agroalimentaire de Coutevroult m’a carrément ébahi (Coutevroult souhaitant connaitre le type d’industrie voulant s’installer pour libérer ses terrains me parait au contraire parfaitement justifié; si un équarrissage ou une usine de transformation de farines animales souhaite s’installer par exemple).
    Il semblerait également qu’il y ait un amalgame entre le projet sud A4 (qui se ferait sur Villeneuve le comte) et le pays créçois.
    D’autre part, j’ai vraiment l’impression que le tourisme est devenu la panacée des secteurs ruraux en mal d’évolution. Cela ne devrait pas se faire sans des agriculteurs, des forestiers ,des maraichers,des apiculteurs (même s’ils ne travaillerons plus que pour entretenir le paysage comme dans certains cantons suisses) Beaucoup d’entre eux semblent pessimistes.
    Les communes Sud du pays créçois et de la vallée semblent bel et bien en cours de mutation.
    Quand au commentaire sur le malaise entre l’équipe dirigeante du Pays Créçois et les élus et acteurs locaux,qu’en penser?

  3. brionautes dit :
    10 juillet 2005 à 13 h 43 min

    on peut dire ATTENTION !!!

    Tout d’abord, ce travail n’est pas issu « d’universitaires » à proprement parlé, mais d’étudiants en sociologie de la ville. Il convient , donc, de désigner correctement les auteurs de ce cette analyse. C’est d’ailleurs pour cela que l’on peut parler d’analyse, mais encoree de rapport. Si les auteurs étaient des universitaires, cela voudarit dire que c’est la Communauté de Communes du Pays Créçois qui en serait le commanditaire, et vous saurez yous, bel et bien, qu’il n’en est rien à cela. D’ailleurs cela est facilement vérifiable.
    Pour continuer, il conviendrait, dans vos propos, de contacter le directeur de recherches de ces étudiants. Il a émis des critiques lors de la remise de ce travail d’analyse, et précisant bien que sur le fond le travail est intéressant, mais parfois incomplet et imprécis en raison du niveau d’études de ces étudiants. Remettre un tel document à disposition du public sans en informer celui ci des critiques émanant du direcetru de recherches me paraît là aussi critiquable.
    Toutefois, ce travail a le mérite d’exister, met réelement en avant certaines situations et contradictiosn sur notre territoire. Enfin, remmetons ce travail dans son contexte, et n’oublions pas qu’il a été effectué il y a un certain temps.
    Merci

    • hkir dit :
      10 juillet 2005 à 18 h 56 min

      On peut tout de même supposer que les propos rapportés lors des entrevues ont été réellement exprimés. L’analyse qui découle de tout cela reste effectivement discutable.

    • jms dit :
      10 juillet 2005 à 20 h 16 min

      Je ne sais pas qui vous êtes ce qui est bien dommage. Ce rapport est accessible sur internet par tout un chacun; je l’ai trouvé par hasard. Le contexte ne nous est pas connu du tout ni d’ailleurs l’usage qui en a ou en sera fait.

      Merci pour vos remarques mais si vous avez plus d’informations à propos de ce rapport merci de nous les donner.

  4. Myotis dit :
    11 juillet 2005 à 10 h 58 min

    Je n’ai pas eu le temps de finir le document qui semble intéressant et qui amène de bonnes réflexions. J’ai cependant quelques remarques à faire sur le rapport :
    – page 28 : les acteurs économiques disent que le cadre de vie n’est pas leur préoccupation principale. Il est clair qu’une entreprise cherche avant tout un lieu où la taxe professionnelle est faible. Quand un maire sort lors de reflexions sur le projet de PNR, que le projet risque de bloquer l’implantation des entreprises, le présent rapport apporte un argument.
    – page 33 : selon les acteurs institutionnels, il n’y a pas d’identité au sein du Pays créçois. Quelles ont été les actions menées par la communauté de communes jusqu’à présent, sinon enrichir ses responsables (on ne rentre pas dans le cumul des mandats et en plus ils touchent une bonne indémnité : presque le montant des dégâts subits par la piscine de Crécy!) ?
    – page 36 : les agriculteurs ont peu confiance en la pluriacivité de leurs exploitations. Leur reflexion est un peu logique, ils ont déjà du mal à garder leur première activité (agriculteurs) dû aux grandx Pac-Mans que sontt Disney et l’agglomération Parisienne. Comment pourraient-ils croirent qu’ils vont réussir une deuxième activité sur le même territoire. Il leur faut peut-être une garantie de la préservation de leurs terres et de leur activité principale avant de leur demander de se diversifier.
    – page 38 : je ne savais pas que Michel HOUEL avait été vice-président du Conseil Régional !
    – page 39 : la communauté de commune a enfin l’intention de faire quelque chose ? Je ne suis pas le seul à me poser la question, regardez la remarque même page des acteurs économiques !
    – page 41 : concernant les gîtes. Il y a un problème pour les gîtes dans le secteurs. La demande dans le nord de la Seine et Marne est très particulière : le samedi soir entre mars et octobre. Une personne ne peut pas vivre de cette unique activité avec une telle demande. Ceci est principalement lié au fait que Disney offre des packages avec entrée au Parcs et les hôtels.
    Peut-être qu’il serait intéressant de développer en parallèle des ativités autres que Disney, ce qui permettrait au gens de rester plus longtemps. Ceci se verifie partout en France, il y a très peu de gîtes qui ne vivent que de ça.

    Je n’ai pas encore lu la fin du rapport, peut-être que des reflexions y sont proposées.

    • lomig dit :
      11 juillet 2005 à 11 h 53 min

      Salut Myotis,

      Je le lis … et j’argumentes.
      Merci pour ton éclairage.

      • Cindy dit :
        11 juillet 2005 à 12 h 04 min

        Votre commentaire sur la page 33 est très intéressant… Je ne suis pas surprise.
        Cindy

        • Cindy dit :
          11 juillet 2005 à 12 h 48 min

          Il est intéressant de lire que les taxes professionnelles sont un apport important d’argent pour une commune (c’est bien de le rappeler…).
          Les Entreprises ne s’installent pas comme il serait nécessaire à Crécy ? Normal : entre la taxe pro (impôt normal) et la taxe fonçière que les propriétaires leur imposent (impôt par conséquent anormal) et les loyers exhorbitants demandés par ces mêmes propriétaires pourquoi voulez-vous qu’elles s’installent à Crécy ? Attendez, une nouveauté voit le jour à Crécy : les pas de portes ! C’est tout simplement une honte !!
          Qu’on ne vienne pas nous dire qu’on veut favoriser le commerce et l’installation des entreprises ! Tout est mis en oeuvre pour les couler d’avance ! Vous allez voir en 2005 et 2006 tous les commerces qui vont couler à Crécy, on en reparlera dans quelques mois…
          D’autre part, il est tout à fait normal que la galerie de Crécy prenne en charge sa promotion. En quel honneur serait-elle financée ? Les autres se débrouillent seuls.
          Rien n’est mis en oeuvre par la commune pour aider le commerce à Crécy. Souhaitons que Crécy ait les moyens de racheter ses commerces comme l’a fait St Germain mais il ne s’agira sans doute pas de 2 commerces, prévoyez grand !
          Mon pessimisme est justifié croyez-moi.
          Cessons d’enrichir les propriétaires malhonnêtes en limitant les loyers, leur interdisant d’imposer aux locataires leurs impôts fonciers et en contrôlant les augmentations annuelles abusives. De plus, leurs locaux sont bien souvents en mauvais état. Je crois que la première mesure à prendre est celle ci. Malheureusement, les gens qui auraient le pouvoir de faire appliquer ces mesures sont trés souvent des propriétaires ou sont amis avec ces propriétaires. Alors… C’est le serpent qui se mord la queue !
          A bientôt !
          Cindy

          • jna dit :
            11 juillet 2005 à 13 h 42 min

            Cindy c’est la Gérard Nicoud du 21 ème siècle, dommage qu’elle ne soit pas commerçante à Crécy, on aurait pu en faire une Présidente des commerçants ou au moins une sacrée adjointe à Korie.

            Si j’ai bien compris, les commerçants ont deux gros pbs avec leurs proprios ::
            – 1 le fait que les propriétaires des commerces ne paient pas eux mêmes leur taxe foncière comme tout propriétaire (à mon avis, ils la feraient de toute façon passer dans une augmentation du loyer)

            – 2. le fait que certains propriétaires de magasins font payer un « pas de porte » comme droit d’entrée : cela ne s’applique-t-il que lorsque le local est libéré de toute activité ou aussi quand il y a reprise d’un fond existant ?

    • lomig dit :
      11 juillet 2005 à 22 h 28 min

      Ca y est je l’ai lu !
      Je renouvelle ma déception que les acteurs associatifs n’aient pas été reconus comme acteurs du territoire.

      Par ailleurs je note une absence de taille : le golf.
      La Seine-et-Marne est le deuxième département golfique de France.
      Il y a deux golfs en Pays créçois : le domaine de la Brie et Meaux-Boutigny qui font chacun des efforts au niveau touristique …. quelle ingratitude !

      • Myotis dit :
        12 juillet 2005 à 9 h 13 min

        Je l’ai fini également et je reste sur ma position. Ca tombe bien, ils me rejoignent également pour certains sujets.
        En ce qui concerne la non représentativité des associations, je te rejoins tout à fait lomig.
        Il faut cependant prendre en considération qu’ils ont fait l’étude lors d’un stage d’1 semaine. C’est très court pour faire une étude vraiment complète. En Seine et Marne, il y a je trouve une sureprésentativité des associations. On ne sait plus où donner de la tête. Dans certains village, on retrouve parfois jusqu’à 3 associations pour sa préservation. Le pays créçois n’échappe pas à cette règle.
        Je suis d’accord avec ce que lomig va répondre : Familles rurales rassemble de nombreuses associations et ils n’ont pas été contactés. Je ne crois pas que familles rurales rassemble pour autant tous les types d’associations. Lomig n’hésites pas à me reprendre si je me trompe.
        Dans la Marne, on trouve peu d’associations, il y a des grosses associations départementales (Conservatoire du Patrimoine Naturel de Champagne-Ardenne, LPO, …), c’est plus facile pour s’y retrouver.

        • jna dit :
          12 juillet 2005 à 10 h 11 min

          Je n’ai rien contre les associations, au contraire, mais le fait de créer une association ne confère pas pour autant une représentativité évidente et incontournable quand il s’agit de la chose publique. Beaucoup d’associations qui font du bruit (asso de sauvegarde, de défense, de lutte, …) ne représentent que les quelques membres qui la composent et encore !

          • Myotis dit :
            12 juillet 2005 à 13 h 53 min

            Dans ces associations soit-disant de sauvegarde, …, on retrouve surtout des associations à but politique. Leur but est de renverser les politiques actuellement en place, qu’ils soient conseillers généraux ou maires.
            Oui lomig, on pense aux mêmes.
            Je suis également pour les associations qui veulent préserver les cadres de vie dont nous avons le bonheur de jouir aujourd’hui. En revanche je suis contre celles qui refusent tout dialogue et toutes propositions.
            Il serait plus intéressant d’avoir des associations qui soient force de proposition, plutôt que d’opposition, tout le monde y gagnerait.

        • lomig dit :
          12 juillet 2005 à 10 h 55 min

          Et Familles Rurales : 150 associations locales

  5. jna dit :
    12 juillet 2005 à 11 h 20 min

    Quelle richesse en commentaires, cependant je trouve que l’on n’apprend pas grand chose qu’on ne sache déjà. Beaucoup de pistes de réflexions sont proposées mais elles semblent toujours mener dans des impasses, tant les contradictions qui nous torturent en permanence sont difficiles à dépasser.

    1. Le Pays Créçois est une terre de contrastes, il suffit de prendre la route depuis Crécy, passer à Bouleurs, Magny St Loup, Boutigny, St Fiacre et de pousser jusqu’à Villemareuil … Après quelques longs kilomètres de route sinueuse, on est très étonné de trouver encore à l’entrée des villages, le logo de la communauté de commune du Pays Créçois. C’est un peu comme trouver un autochtone parlant français dans un pays lointain. Et oui, vous êtes à la campagne, du moins vous le croyez… poursuivez jusque sur les hauteurs de Brinches, à droite, le château, à gauche une nouvelle surprise : les tours de Beauval toutes proches, à vol d’oiseau.

    2. On parle de développement économique, mais on n’est pas sûr que ce soit utile, ni même vraiment désiré par les acteurs locaux (forces vives) ou les populations. Finalement, on est pas mal comme ça d’autant que pour la plupart, on ne cherche même pas à travailler sur place.

    Pour développer des activités industrielles et artisanales significatives et pérennes, il faudrait mieux se regrouper sur un espace ad-hoc, comme à Coutevroult. Bien, mais alors à qui va profiter le bb. En termes d’emploi, on peut penser que par la simple proximité toutes les communes de la région vont bénéficier de quelques retombées, probabilité renforcée par le niveau de qualification moyen de la population.
    Mais qu’en sera-t-il des taxes ? Est-ce que Coutevroult qui supportera les nuisances, va tout empocher ? Quel intérêt alors pour les autres communes ? peut-on envisager de tout redistribuer selon une clef de répartition nécessairement complexe … et si la communauté de communes venait à disparaître ?

    C’est à mon avis la même question qui se pose dès que l’on parle de réaliser des infrastructures communautaires (On l’a vu récemment avec le projet de Maison de la petite enfance). Où les construire ? Comment s’assurer que certains n’en profiteront pas plus que les autres ? et quid en cas de disparition de la communauté ? Organiser le ramassage des ordures, OK, organiser de services d’aide à domicile, OK, organiser un peu l’activité touristique, pourquoi pas …. J’ai l’impression que les projets de la CC du PC auront du mal à ne porter sur autre chose que de l’organisation de services, on n’est pas encore sur du développement durable.

    Enfin tout cela n’est pas simple et je suis bien content de ne pas avoir à torturer l’esprit avec des questions aussi compliquées. Personnellement je préfère râler un peu, lister mes demandes de services et mes exigences citoyennes, en espérant d’ailleurs que les forces vives se remueront un peu le derrière cette année ! Je vous laisse, j’ai ma pelouse à tondre.

    • retraitactif dit :
      12 juillet 2005 à 16 h 05 min

      Heureusement que JNA dit qu’il ne se torture pas l’esprit ;avec un si long commentaire qu’est-ce que ce serait s’il se le torturait?
      En ce moment, les forces vives ne le sont pas beaucoup ou alors ce sont de grands timides.
      C’est bien de râler ( nous sommes assez nombreux dans ce cas) mais pour moi le seul »râle ou râlement? » possible et parfois efficace, c’est le buletin de vote que ce soit à grande ou petite échelle.

  6. jms dit :
    13 juillet 2005 à 14 h 05 min

    On pourra dire que ce rapport aura fait réagir tous les brionautes.
    Chacun, à sa manière, avec sa sensibilité, ses centres d’intérêt, a apporté sa contribution.

    Pour ma part j’ai retenu deux aspects :
    1. l’étude de la population.
    L’analyse va un peu trop dans les détails; on s’attache surement trop à d’epiphénomènes locaux; en statistiques on doit toujours « éliminer » les valeurs extrêmes avant de faire une moyenne.
    Ce qui manque aussi, me semble-t-il c’est la vue de l’intérieur; je ne sais pas si un des 3 étudiants habite le Pays Créçois mais on ne voit surement pas les choses de la même manière quand on y habite.
    L’analyse des densités de population ne peut pas être vraiment juste quand on ne connait pas le terrain. Pour avoir étudié l’an dernier les mêmes données démographiques qu’eux j’ai noté qu’il ne faut pas s’arrêter aux simples calculs.
    Par exemple, la densite de population de Crécy semble faible mais cache des disparités très fortes entre le centre ville historique, les villages et la campagne pratiquement pas habitée. A l’inverse Villiers à une densité plus forte parce qu’il n’y a pratiquement pas de terres agricoles et est finalement moins urbain que Crécy.
    Pour modéliser ces phénomènes il faudrait plutot parler de densité de population ressentie.
    Un fait marquant est la crainte des populations locales de voir leur monde se dénaturer par la venue de population extérieure.
    Cette crainte me parait fondée et est surement la principale menace à attendre. Une population venue des banlieues a tendance, et on ne saurait le lui repprocher, à reproduire le mode de vie dans lequel elle a été éduquée au lieu de s’adapter à un mode de vie rural.
    La proximité physique de la banlieue peut nous faire passer nos champs du statut de campagne préservée à celui de terrain vague, exutoire des délinquants, pour un peu que nos champs ne soient plus cultivés. La constation de véhicules brulés au milieu des champs n’augure rien de bon.
    Le risque est alors de transformer la campagne en banlieue, soit pour beaucoup passer du meilleur au pire.

    2. le développement économique
    L’objet du rapport semble un peu décallé par rapport à la réalité.
    Les entreprises, tout au moins les plus grandes, en terme de granularité de région, ne voit pas plus détaillé que l’Ile-de-France.
    Certes elles ont tort, car elles oublient les aspects sociaux et les problèmes de déplacement domicile-travail. Néanmoins, s’intéresser comme dans l’étude au Pays Créçois comme un bassin d’emploi est un erreur.
    C’était le sujet du rapport et heureusement les étudiants ont su voir un peu plus loin. Le bassin d’emploi à considérer est au moins le nord seine-et-marne et marne-la-vallée. Dans ce contexte, avoir ou non des entreprises en Pays Créçois est un détail, en-deçà de l’autoroute à Coutrevoult ou au-delà à Val d’Europe c’est un détail … sauf peut-être pour les rentrées fiscales.
    Dans ce contexte s’en tenir au niveau du Pays Créçois aux atouts touristiques (et agricoles tant que la PAC survivra) semble la voie à privilégier.

    On ne sait pas comment est né ce rapport (notre illustre invité en a dit trop ou pas assez), qui sont ces étudiants, quel est leur niveau d’étude, quelle note ont-ils eu (au fait quelle note donneriez-vous ?) et qu’est-ce que ce rapport aura comme conséquence au niveau des prises de décisions ?

    Vu le nombre importants de commentaires de cet article, pour rendre le site plus lisible, je vous suggère, si vous le désirez, de poursuivre cette discussion sur le forum.

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