La tempête de 1999, 5 ans déjà.

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5 réponses

  1. lomig dit :

    Vu les commentaires, c’est une tempête dans un verre de cidre (briard, bien sûr !)

    • jms dit :

      Il faut dire que nos malheurs d’il y a 5 ans sont dérisoires par rapport aux malheurs survenus ces jours-ci dans une autre partie du monde.

      Les spécialistes vont encore se quereller pour savoir si tous ces événements sont exceptionnels à l’échelle des millénaires ou causés indirectement par les activités humaines.

    • jna dit :

      Non et c’est intéressant de savoir qu’à des distances si proches nous n’avons pas nécessairement connu les mêmes difficultés.
      C’est bien, les lignes enterrées !
      De notre côté nous avons surtout observé la tempête à travers les tuiles qui descendaient, mais nous n’avons pas vu un seul arbre tomber (ils étaient encore petits, m^me s’il y avait bien un abri de jardin en bois qui se promenait de jardins en jardins dans le quartier) : de ce fait nous n’avions moins conscience de la force réelle du vent

      • jms dit :

        La nature nous a fait revenir les pieds sur terre à cette occasion. Si l’on se rappelle, on avait alors peur du bug de l’an 2000, événement virtuel qui par la généralisation des systèmes informatiques développés par des informaticiens qui n’avaient même pas prévu que leur logiciel ne durerait pas plus que quelques années, à l’instar des boites de conserves périssables. La chose a couté cher en consultants bien payés pour analyser les risques et les conséquences du passage à l’an 2000 et établir des plans d’action et des scénarii de secours. Je ne crache pas dans la soupe, j’ai été de ces gens-là.
        Le bug du 1 er janvier n’a pas eu lieu mais on a eu celui du 26 décembre, imprévisible et imparable celui-là.
        La nature sera toujours plus forte que les consultants.

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