Tournage estival, suite

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7 réponses

  1. jna dit :

    Notre ami anonyme ne doit pas avoir l’occasion de cotoyer beaucoup d’anciens combattants de la grande guerre à la pharmacie puisque si j’en crois commentaires entendus le 11/11 , il n’en resterait qu’une quinzaine

    • brionautes dit :

      Il reste, à ce jour effectivement peut etre une disaine de personnes ayant survécues à l’attrocité de cette Grande Guerre et même si ces perssonnes sont rares il faut encore plus leur tendre une oreille attentive car leur vécu seul eux peuvent le raconter mieux que quiconque et je n’ai jamais prétendu en connaitre de la pharmacie, ou d’ailleur, mais juste donné des exemples de rencontre quotidiennes pour leur porter attention, et ne pas négliger notre histoire la preuve avec l’arrière grand père de Mme dont perssonne ne savait rien si ce ne sont que des supositions qui, si elles n’avaient pas étées transmises, n’auraient pas permises à Mme de retrouver cette information claire ,précise et bien que douloureuse, réconforte tout de même de « SAVOIR » simplement.

  2. jna dit :

    Je vais donner un autre tuyau à notre ami, une base de données que j’ai découverte ce week end seulement : »mémoire des hommes », destiné à mettre à la disposition du public des données réalisées à partir de la numérisation et de l’indexation de fiches biographiques conservées par le ministère de la défense. Il a également pour vocation d’honorer la mémoire de celles et ceux qui ont participé ou donné leur vie au cours des conflits de l’époque contemporaine.

    http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/

    On y trouve, numérisés, tous les « certificats de décès » des personnes tuées ou disparues pendant la Première Guerre mondiale (il y aura bientôt des données sur les soldats de l’empire). C’est ainsi que ma femme a retrouvé celui de son arrière Grand Père et qu’elle connait maintenant le lieu de sa disparition en 1915 (corps jamais retrouvé) et notamment son affectation d’alors : le 276 ° RI dont je vous ai parlé il n’y a pas si longtemps en évoquant les régiments de Brie, il avait en effet été mobilisé à Coulommiers.

    • Cindy dit :

      Je possède une correspondance se situant entre 1914 et 1920, entre un homme et son épouse. Les lettres de l’homme ont été écrites dans les tranchées (il y a des traces de boues), parfois ce sont des morceaux de feuilles, parfois des cartes de régiment. Je les ai classées, les plus nombreuses datent de l’année 1915, j’y ai appris des choses étonnantes. Je les conserve comme un trésor espérant un jour m’en servir puisque je caresse le rêve depuis de nombreuses années d’écrire un jour un roman. J’ai récupéré ces lettres alors qu’elles devaient être brûlées par un p’tit jeune de 18 ans (ah ces jeunes !), de mon côté je n’en n’avais que 22… En échange, je lui ai donné 100 F ce jour-là. Elles dorment dans un placard depuis 20 ans ! Quels chemins ont-elles pu parcourir en 90 ans ? Ce qu’ont vécu tous ces hommes dans les tranchées sont à peine croyables. L’hommage qui leur est fait chaque année doit perdurer, c’est la moindre des choses.
      Cindy

    • brionautes dit :

      Merci de partager vos connaissances et suis choquée d’une réaction aussi violente à l’encontre de la défence de la mémoire alors que vous semblé l’apprécier et voir même la servir peut etre que je me trompe à vous de le dire

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