Un concours sur l’histoire locale
Quand le présent n’est pas heureux, tous ces anonymes peu bavards qui font sombrer notre ami jna dans le désespoir ! qu’il est doux de se replonger dans le passé ! et quoi de plus agréable qu’un petit concours pour l’explorer.
Répondez aux questions qui suivent en postant un commentaire. Comme d’habitude on ne gagne rien, sinon un autocollant si jna ne les a pas avalés de dépit ! les questions …1. L’abbaye de Pont-aux-Dames, détruite à la révolution, eut ses heures de gloire durant de nombreux siècles. Elle fut fondée en 1226 par Hugues de Chatillon, seigneur de Crécy. Selon la légende, celui-ci créa cette abbaye pour se racheter d’une certaine action, laquelle ?
2. En 1900 la commune de La Chapelle sur Crécy comptait combien d’hectares de vignes :
a) : 8 hectares
b) : 25 hectares
c) : 87 hectares
3. Où se situait l’hotel de ville de Crécy avant 1864.
4. En 1909 quel commerce occupait l’emplacement actuel de l’office du tourisme ?
5. Qui étaient M. Corvée et Mlle Cabot à La-Chapelle-sur-Crécy ?
(article vu 8 fois)
Quelques indices pour vous aider à démarrer :
1. la deuxième femme de Hugues fit fort attention à ses bijoux
2. c’est autant que de prés
5. ils ne sont pas restés célèbres pour autant.
Melle Cabot, c’était le caniche de M. de Corvée, le propriétaire du chateau ?
Quelle imagination ! c’est beaucoup plus simple.
la première femme à Couilly trépassa des suites d’un mauvais traitement .
Méchant comte qui la fit traîner par les cheveux attachée, à un hongre galopant.
Un galant veule de caractère i éconduit par la belle auprès du comte se flatta la dame d’avoir conquis. Pour preuve il exhiba moulte bijoux qu’à la femme il déroba. Icoi vilain mensonge rendit fou, le jaloux comte de Chatillon . La fin déjà vous connaissez.
Pour gagner son salut une abbaye chatillon édifia au lieu sis où la dame expira.
lotroubadour
Comme avec poésie la chose est contée !
C’est bien cela troubadour la vérité, mais qui donc es-tu pour être si savant ?
PS. L’histoire est relatée sur le site internet du dit-village désormais indépendant.
pour la 2 : 25 HA
Pas du tout mon cher
c’est plus ou c’est moins ?
Un indice : la réponse est A ou C
5 : le curé et sa bonne
Pourquoi pas mais c’est pas ça
3. c’est facile :
l’hotel de ville était situé après le pont situé à côté de l’office du tourisme. Plus précisement, la rue principale passait sous l’Hotel de ville.
Ce bâtiment médiéval a été rasé aux alentours de 1870, mais il reste des gravures et une carte postale ancienne (nous pourrons la présenter).
4. Facile aussi, c’était « l’omelette aux oeufs » le célèbre restaurant du fondateur Arsène Galinace.
2. j’hésite entre 8 et 25 ha. J’ai quelques chiffres la viticulture dans la région dans le passé. Il faudra que je les retrouve, mais au 18ème siècle (de mémoire un peu fragile) les viticulteurs représentaient la moité de la population agricole (ceux dont c’était visiblement l’activité principale).
A l’époque il n’était pas utile de faire de la pub pour inciter à consommer le vin d’chez nous. La consommation d’une eau peu d’une qualité peu fiable n’était pas recommandé !.
Bonjour l’haleine dans les rue de Crécy les jours de marché.
Heureusement le vin depuis la semaine dernière, il apparait que le vin de nouveau légalement bon pour la santé !
On pourraity lancer un petit concours sur la recherche de slogans :
– Buvez du vin, ça vous va bien !
– Le vin tue la déprime,
– Le vin c’est un copain,
– A bon vin, bon maintien
– …
désolé j’ai posté mon commentaire précédent sans le relire. C’est assez cata, voila ce que c’est que d’écrire avant d’avoir pris un ou deux p’tits ballons !
Le vin c’est bon pour l’orthographe !
Et oui c’est bien connu si les enfants étaient meilleurs en orthographe avant (c’est qu’on nous rabâche) c’est parce qu’ils buvaient du vin plus tôt à l’époque.
C’est vrai qu’on buvait du vin dès le très jeune age. Je n’arrive même pas à me rappeler à quel age j’ai commencé, hips ! par contre on le coupait avec 90% d’eau.
3. C’est facile pour celui qui sait et c’est la bonne réponse avec un luxe de détails. Par contre pour ce qui est de la date de destruction je demande à vérifier. C’est là que fut érigé le monuments aux morts de la guerre de 1870, ce qui peut donner une indication. Il y a donc à Crecy deux monuments aux morts, ce qui est assez rare.
4. Je ne confirmerais ni n’infirmerais cette réponse ; cependant à l’époque qui m’intéresse (j’ai une carte postale comme preuve) c’était autre chose que la tanière de l’illustre ancêtre de jna.
2. C’est facile de prêcher le faux pour avoir le vrai. Je veux une réponse précise et pas hésitante. Quand vous l’aurez donnée, si vous la donnez, je vous indiquerais pour comparaison le nombre de débits de boisson.
oui il y a deux monuments aux morts et il paraît qu’un monument aux morts de 70, c’est assez rare (c’est bon pour les rallyes touristiques).
Il y a quelques années, il était question de le déplacer et de l’installer dans l’ancien cimetière (au bas de la côte de Voulangis). Il semble que le projet ait été abandonné.
Encore aurait-il fallu que les Voulangeois l’accepte, car le vieux cimetière c’est chez nous !
Je crois que toutes les réponses ont été données.
Si nous avions une petite synthèse…
Je ne m’y retrouve pas.
Reste -il une question sans bonne réponse ?
A la demande de Nathalie, je résume l’état des réponses :
1 . réponse donnée par l’anonyme poete : un page amoureux éconduit de l’épouse du seigneur se vengea en volant lui volant un bijou et en racontant à l’époux que c’était un cadeau de l’épouse. Le seigneur furieux fit trainer son épouse par un cheval. Elle n’en survécut pas; le page pris de remords avoua son forfait; Hugues de chatillon pour se racheter crea l’abbaye de Pont-aux-dames
2. j’attends la réponse; ce n’est pas 25
3. réponse données par jna : c’était là où se trouve le monument aux morts de la guerre de 1870, avec une tour sur le pont.
4 et 5 : j’attends la réponse
Tout est encore loin d’être trouvé.
Je donne la réponse à la question 4 :
il s’agissait d’une boutique » Vins – tabac – liqueurs »
A l’adresse suivante j’ai illustré la question 4 ainsi que la 3 (ancien hotel de ville) :
Crecy d’autrefois
Ces images sont extraites de l’ouvrage « Crecy en brie et ses environs » par RC PLANKE.
Sachant qu’il y avait 16 aubergistes et debits de boisson à crecy pour 865 habitants en 1900, on imagine qu’il fallait de quoi produire pour alimenter les consommateurs; la réponse est donc de 87 hectares.
M. Corvée était l’instituteur de l’école des garçons et Mlle Cabot l’institutrice à l’école des filles.
A la même époque M. Lavigne était bouilleur de cru à Voulangis.