Mais où était-ce donc à Voulangis

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10 réponses

  1. phil77 dit :

    cela s appelait le cottage c est situé à l angle de la rue du bertin et de la D236. la maison a brûlé depuis 30 ans environ la photo est prise de la rue de l orme

  2. jms dit :

    Quelques infos sur cette maison brulée, à confirmer, développer ou démentir :
    – elle aurait accueilli Trostky
    – elle aurait appartenu à Stavinsky (voir l’affaire Stvinsky : https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Stavisky)

    Le terrain appartient toujours à une institution juive qui paie les impots fonciers y afférants.

  3. jms dit :

    J’ai complété l’article avec une photo de maintenant.
    On reconnait le lieu malgré beaucoup de changements.
    Le mur de la propriété subsiste.

    • bouli dit :

      Il s’agit de la maison où Stavisky et Maurice Thorès se sont cachés pendant la guerre et non Trotsky. Thorès avait refusé de partir au STO. Il a ensuite trouvé refuge à Moscou. Dans mon enfance elle était occupée par deux frères et leurs mère, juifs rescapés des camps qui continuaient à se sentir traqués et à vivre cloîtrés. Jusqu’à ce que la maison brûle.

      Françoise Brun-Griviller

      • jms dit :

        Stavisky est mort en 1934 dans de curieuses circonstances. Selon le Canard Enchainé de l’époque : « Stavisky se suicide d’un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant. ». Donc il n’était plus là pendant la guerre. Pour Thorès, c’est plausible.

  4. jms dit :

    Informations fournies par Antoine Morel :
     » Oui il s’agit bien de la  » maison brûlée », au carrefour de la rue du Bertin et de celle de Melun. Ce que je sais de cette de cette maison par ouî dire. 1) elle appartiendrait à la communauté juive de Lagny. 2) Auparavant les propriétaires étaient deux frères que dans les années 70 , nous surnommions Laurel et Hardy , en raison de leurss corpulences respectives. 3) Leur famille , père , mère , frères et sœur sont morts en déportation pendant la guerre 39-45. 4) Elle a appartenu à Stavisky dans les années 1930, des anciens de Voulangis m’ont raconté qu’ils avaient vu un jour débarquer la police , mais le célèbre escroc s’était déjà enfuit en prenant le train à Villiers/Morin. 5) Elle aurait appartenu encore avant à un général russe probablement en exil suite à la guerre civile en Russie 1917-1921. Parait il qu’il y serait enterré ? ! Voilà à peu près tout ce que je sais…. Mais tout ce sont des ouïs dire, autrement dit la tradition orale. »

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