Familles je vous aime

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64 réponses

  1. hkir dit :

    Ce n’est pas très cohérent, cet aménagement du bonus malus pour les familles nombreuses.Il eut été préférable de ne pas le faire étant donné que l’on sait parfaitement que la démographie et la croissance économique sont les problèmes majeurs en terme d’environnement, (du moins tel que menés après guerre).
    Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, j’aurais donc appliqué l’exact inverse de la politique nataliste qui est celle de ce pays depuis 50 ans; à savoir pénaliser les Familles à partir du troisième enfant de façon à arrêter la croissance de la population.
    Evidemment, ce n’est pas très vendeur.

    • jna dit :

      Effectivement, pénaliser la politique nataliste n’est pas très vendeur. Je en pense pas que ce soit le propos, mais en revanche, je trouve abhérant d’octroyer le malus en fonction du nombre d’enfants. Je veux bien croire que pour transporter une famille nombreuse il faille avoir un véhicule assez spacieux, mais point barre, cela ne devrait pas donner droit à polluer plus. Ce sont deux questions indépendantes.
      Il existe dans les gammes des constructeurs des véhicules familiaux qui respectent la norme. Alors je ne vois pourquoi une famille de trois enfants qui en roule en 4X4 diesel bien sale échapperait au malus environnemental. je sais que chez FR on aime bien les 4X4, parce qu’elles sont rurales, mais quand même.

    • dam dit :

      je ne pense pas que pénaliser une famille à partir du 3è enfant soit de nature à faire changer quoi que ce soit;par contre je trouve abhérant de nos jours d’encourager à faire des enfants à tout prix et si possible beaucoup.
      On marche sur la tête;autant il fut nécessaire de « repeupler » la france aux lendemains des 2 guerres du 20è siècle autant serait-il nécessaire d’atténuer ou même ralentir cette frénésie.
      Qu’avons nous besoin de nous targuer d’être le pays d’europe le plus prolifique; ne sommes nous pas assez nombreux comme ça?
      Depuis une trentaine d’année on entend dire que l’Allemagne, vu son faible taux de natalité aura des problèmes..Lesquels? les allemands vivent financièrement bien mieux que nous.
      les Chinois, qui ont mis un frein à leur croissance démographique depuis longtemps sont en pleine croissance.
      Faut-il atteindre les 100 millions d’habitants en France??pourquoi? :#

      • jms dit :

        Favoriser la natalité, la première raison est toute simple. D’abord pour payer nos retraites …
        L’allemagne en effet risque d’être en piètre situation. Quand ils auront plus de retraités que d’actifs comment s’en sortiront-ils ?

        • dam dit :

          Je viens de dire que de ce problème de l’allemagne j’en entend parler depuis plus de 30 ans..et ils vivent mieux que nous;demandez à LOMIG .
          Pour le paiement des retraites ce n’est pas le fait d’être plus nombreux qui vous assurera de l’avoir mais plutot déja que tous ceux qui sont ou seront en capacité de travailler aient du travail.

          • jms dit :

            Si il y a plus de retraités que d’actifs, il faut pas réver, le système ne peut pas tenir.
            Ou alors on va repousser l’age de la retraite, ce qui risque de nous arriver.
            Les veinards sont ceux qui ont pu partir à 60 ans, pour nous cela risque d’être beaucoup plus tard.

            • dam dit :

              C’est bien ce que je disais au-dessus ;des ACTIFS donc ayant un travail.
              je fais effectivement parti des « veinards comme tu dis » mais c’est une vision un peu restreinte car qui te dis que lorsque tu seras à la retraite tu ne seras pas le veinard par rapport à ceux qui t’ont précédé ou par rapport à tes successeurs?

              • jms dit :

                On est une génération qui paye pour :
                – nos parents qui touchent une retraite de misère et qu’il faudra aider par ailleurs
                – nos enfants qu’il faudra accompagner pour de longues études
                – les jeunes retraités ou pré-retraités actuels au travers de nos cotisations
                – nous-mêmes pour financer une retraite qui viendra que très tard et sera à nouveau très faible ainsi que pour financer une couverture sociale qui ne fera que se réduire de la part de la sécu.

                Bref, rien que des incitations à mettre de l’argent de côté, à condition que l’immobilier ne se casse pas la figure (c’est fait) et que la bourse ne baisse pas (trop tard) …

        • hkir dit :

          Ou plutôt avoir de nouveaux contribuables pour essayer de payer les déficits créés par les générations actuelles qui vivent à crédit et en demandant toujours plus d’avantages. En gros la politique familale serait donc un investissement. Encore faudrait-il que cet investissement puisse fructifier!
          Ne rêvons pas le système de retraite par répartition devient aussi bancal que celui par capitalisation. La différence est que pour le moment, il semble garanti par l’Etat.

          • dam dit :

            Quand on parle du système de retraite par répartition on fait un amalgame car si je ne m’abuse ce système concerne uniquement la retraite »nationale »;les retraites complémentaires sont « par capitalisation » sous forme de points non? 😕

            • hkir dit :

              Oui, mais la valeur du point est variable. Tandis que les « vraies » capitalisables sont constituées d’une somme sur un compte spécifique sur lequel des intérêts sont versés (ou non) ou sur des comptes placés en actions ou obligations. C’est gênant quand les bourses ne vont pas bien.

              • jms dit :

                De toutes façons les actifs payent pour les retraités actuels.
                Quand on sera retraité il y aura plus de sous …

              • dam dit :

                Donc les actifs paient pour les retraités uniquement pour la retraite de base(on a tendance à l’oublier) d’autant plus que dans la plupart des cas la pension de la retraite complémentaire est supérieure à la retraite de base.
                Donc une bonne partie de ma retraite globale, je me la suis payée moi-même.
                C’est important de le savoir car quand (volontairement )le gouvernement parle de retraite on fait l’amalgame.
                Donc JMS tu es rassuré tu ne participe pas à toute ma retraite..?

    • brionautes dit :

      sans aller jusqu’à pénaliser le fait de faire des enfants peut-être faudrait-il plus responsabiliser le fait d’en faire plus ou trop.
      de nos jours on a le choix de faire ou ne pas faire ou de ne pas en faire plus.
      C’est un choix des parents qu’ils doivent assumer.

  2. jms dit :

    Ah les familles nombreuses !
    Elles étaient nombreuses, si j’ose dire, autrefois !
    Elles se déclinaient par 5, 6, 7 voire plus d’enfants.
    Nous en avons tous connu.
    Dans le sud-ouest, elles étaient synonymes de pauvreté, quelque fois même de misère.
    De pauvreté, oui mais aussi de solidarité et de débrouillardise.
    Pour un enfant unique comme moi, ces familles que je cotoyais avaient quelque chose d’inaccessible, de noble.
    Alors, je n’en reviens toujours pas de posséder cette fameuse carte de familles nombreuses, un petit carton plastifié dont je suis plutôt fier.
    Bien sûr, comme le dit lomig, la venue du troisième enfant représente un cout et on peut comprendre que la limite minimale pour être considéré comme « famille nombreuse » soit de 3 enfants.

    Comme nous souhaitons tous que chaque enfant ait autant de chances de s’en sortir que s’il était seul (ce qui n’était pas le cas autrefois), on y met les moyens.
    On pense aux études futures mais auparavant il aura fallu changer de voiture et agrandir la maison.
    Et quand le 3ème n’est pas du même sexe que les 2 premiers, bien peu de choses peuvent resservir, il faut tout racheter.
    Et puis compter jusqu’à 3 par rapport à 2 c’est un vrai changement de dimension.
    On finit par ne plus savoir qui est où, qui est avec qui, qui a besoin de quoi.
    La mémoire ne suffit plus, il faut tout noter, les rendez-vous médicaux, scolaires, sportifs, …

    • AS77 dit :

      et oui de rien on en tirais toujours quelque chose ,le gâchis n’existait pas ,et moi je me souvient du peu que l’on avait quand quelqu’un était dans le malheur ,on l’aidait,,valeurs du cœur était une plus grande richesse ,dans les temps difficiles ,et si quelqu’un était plus faible on en profitais pas pour l’écraser sous prétexte,de notre supériorités,et quand je vois la réactions de certaines personnes je me dit que c’est grave :#

      • Korie dit :

        Je me souviens d’un récit de ma grande-mère paternelle qui, lors d’un bombardement de la seconde guerre mondiale, était allée se réfugier dans un abri fabriqué dans son jardin, en compagnie de ses enfants (dont mon père). Quelques voisins se joignaient à eux dans ces moments là.
        A la fin de ce bombardement donc, tout le monde ressort, constate un énorme trou dans la cour (où plus tard, j’irais jouer petite). Bref, en rentrant, elle constate que certains de ses effets personnels ont disparus. :# Quelques jours plus tard, lors d’une visite à sa voisine la plus proche, elle aperçoit plusieurs de ces objets, chez cette voisine en question. Son réveil trônait sur la cheminée etc.
        Moralité : qu’on ne vienne pas nous rabattre les oreilles que la solidarité y était exemplaire par rapport à celle d’aujourd’hui… Moi je trouve que de nos jours, on trouve des gens formidables, qui agissent pour le bien d’autrui, des volontaires. Des gens qui agissent et qui ne font pas que parler dans le vent.
        Et puisque la richesse existe, moi ça ne me dérange pas puisqu’elle est souvent utilisée pour soutenir des actions visant à aider les fondations et associations qui font appel à elle. Peu importe que les gens riches donnent pour se donner bonne conscience ou pour occuper leur temps, l’important est qu’ils donnent.
        Mon père a commencé à travailler à 14 ans, à l’usine, ma mère allait à l’école à pieds, (7km aller, 7 km retour et le double lorsque par étourderie elle oubliait de ramener le pain car il fallait qu’elle y retourne…) avec des sabots en bois, elle y mettait de la paille l’hiver.
        Lorsqu’iIs se sont connus, ils ont mangé des pommes de terre pendant un bon moment. Surtout que je venais de pointer mon nez 😉 Une aide sociale aurait été la bienvenue mais à l’époque, fallait se débrouiller. Ils ont travaillé, ont évolué, ma soeur a pointé son nez 8 ans après moi. Ils ont acheté leur pavillon, le chien 😉 , les vacances, l’école privée, ils ont beaucoup voyagé et aujourd’hui, à l’abri du besoin, vivent en Bretagne. Mon père, malade, y termine ses jours.
        Jamais je n’ai entendu mes parents se plaindre de la Société, ils se sont pris en charge, quand quelqu’un arrivait à l’improviste, ils le conviaient à manger. Aujourd’hui, ils ont de l’argent mais ils l’ont gagné, ils ont travaillé (Dieu qu’ils ont travaillé !), j’ai eu cet exemple et pour moi, c’est naturel.
        Je côtoie beaucoup de monde. De tous les niveaux sociaux. Des gens qui ont de l’argent (certains en ont énormément !), d’autres qui sont de classes dites  »moyennes » mais aussi des gens qui n’en pas beaucoup. Chacun m’apporte ses valeurs et je leur apporte les miennes. Tous ont des qualités appréciables.
        Faut-il être peu chanceux pour se sentir constamment écrasé par la supériorité des autres et ne tomber que sur des gens qui manquent de coeur.
        C’est vrai, ça existe, mais à quoi bon leur faire front ? Lorsque j’en rencontre, je passe mon chemin.
        Si, pour une raison ou une autre j’ai besoin d’eux, je les contourne, toujours avec le sourire 😀 mais je n’en pense pas moins 😉
        Ne vaut-il pas mieux garder sa sincérité pour ceux qui en valent la peine ?
        Nos amis, on les choisit. Je préfère manger une pizza improvisée avec des copains (n’est-ce pas lomig 😉 que de défiler avec une banderole sur le coeur  »la société est pourrie, les patrons tous des c…, certains n’ont pas de coeur, et patati et patala »). On n’a plus 16 ans…
        Je ne dis pas que la vie dans notre société est parfaite mais elle vaut la peine d’être vécue.

        • dam dit :

          le problème c’est que de répéter à qui mieux mieux que la génération actuelle est « victime » de celle d’avant ça passe mieux dans les têtes et puis c’est facile plus la ficelle est grosse et plus on y croit.
          Bien Korie ton commentaire.

          • lomig dit :

            Nous sommes responsables, soilidairement responsables…. pas victimes !
            Au CCAS Korie sera en prise avec le réel des famlilles, les abus , comme les insuffisances.
            Je suis un utopiste et je me dis tous les matins que le monde va aller mieux et que j’y suis suis un peu, modestement soit, pour quelquechose.
            Nous votons …. alors soyons bon joueurs et reconnaissons qu’autant le grand soir promis n’a jamais eu lieu et qu’heureusement les dérives de l’ultra-libéralisme sont encore sous contrôle !
            Je suis comme mes collègues , élu de tous les créçois, ce sens de l’engagement public je l’ai chevillé au corps , j’en remercie mes parents, mes grand-parents, mes instituteurs et professeurs qui ont été mes guides, qui m’on permis d’agir aujourd’hui.
            N’oublions pas que nous n’avons pas un héritage de nos parents mais que nous empruntons à nos enfants ….
            Oui à une société responsable ou droits et devoirs sont connus et repectés de tous.
            « Pour être libre il faut être informé » Voltaire

            • jms dit :

              Que de slogans à la mode !
              Elu ou pas, et je dirais même battu, on n’en est pas moins responsable. C’est pas grâce à tes grands-parents si tu as été elu, c’est grâce aux électeurs qui n’avaient que 2 choix. Ne nous trompons pas de sujet et sachons rester modestes !

              • jna dit :

                eh oui, quand il dit « élu de tous les créçois », il fantasme ! mais c’est halloween aujourd’hui, toutes les horreurs sont possibles :-e)

              • jna dit :

                Je suis né dans une modeste chaumière briarde, mes parents étaient de pauvres laboureurs. Ils travallaient beaucoup, mais le seigneur leur prenait beaucoup aussi. Mes parents ont du se résoudre à m’abandonner dans la forêt de Jouy aves mes six rères. C’était dur pour moi et ma fraterie. Heureusement nous y avons cru, nous avons beaucoup prié et aussi travaillé. Nous construisîmes une petite cabane,d’abord dans les branches des arbres. mais à force de de volonté et de courage nous avons abattu les arbres qui portaient notre cabane pour fabriquer de belles planches, au moyen d’une scie qu’une horde de loups amie, nous avait prêtée. Ainsi, grâce à Dieu, aux loups de la forêt et à beaucoup de travail, nous avons fabriqué une maison en planches.
                Un jour un de mes frères me coupa les bras accidentellement. J’étais manchot, mais cela ne m’a pas empêché de continuer à y croire pour m’en sortir. Je fis la connaissance d’une troupe de bohémiens qui avaient un petit cirque et qui m’engagèrent pour occuper un rôle de bête de foire. L’argent vite accumulé, car la curiosité des briards était grande, me permii d’obtenir la somme nécessaire à la greffe de deux bras. En même temps, mes parents qui étaient venus voir le spectacle me reconnurent et ainsi je renouais des liens familiaux essentiels, sans même leur en vouloir. Aujourd’hui ils vivent tranquillement leur retraite dans l’est du département. Quant à moi mes mains retrouvées me permettent de rédiger des commentaires constructifs sur notre site favori.
                Courage AS77, toi aussi tu pourras t’en sortir si tu le veux.

              • lomig dit :

                je parlais d’altruisme , pas de politique ….

        • jms dit :

          On est bien d’accord, le passé n’a rien d’idylique.
          Personnellement je faisais juste référence à la solidarité entre membres de familles nombreuses.

          • AS77 dit :

            le plus gros problème c’est qu’il faut avoir vécu pour comprendre ,les médecins sont la parce que il y a des malades et tout a raison d’être.
            une personne qui gagne 1000€ et paie 150€ par mois
            et un peut comme une personne qui gagne 10000€et paie 1500€ ils paie des charge tous les deux les patrons sont la main les les ouvriers les doigts une main sans doigts ne sert a rien et des doigts sans main c’est la même chose .moi a 13ans et demie quand jais commencer a travailler c’était debout a cinq heures et ont terminait à20 heures ,du mardi aux dimanche après midi .et ouvrier et fière de l’être .

            • Korie dit :

              Alléluïa !
              jna, tu ne rates pas une occasion… 😉
              Du fin fond de l’Alsace, tu m’as bien fait rire ! :-e)

              • AS77 dit :

                bravo jna le malheur des pauvres gens plais au riches tu a rendu un grand service a l’intelligence humaine ?

                • AS77 dit :

                  Le bonheur d’avoir ou d’obtenir n’existe pas, seul celui de donner compte.

                • brionautes dit :

                  Mais pourquoi tu te fatigue, ils sont écoeurant et satisfait d’eux même. Une petite vie bien pépère dans une ville bien à droite à la limite de la pensée extrème et bien au chaud dans leur certitude…. N’insiste pas, pour eux tu es l’invité à la table qui prend la place du C…

                  • AS77 dit :

                    oui mais on connait la fin 🙂

                  • lomig dit :

                    Engage toi visiteur, ose le suffrage universel …. donnes du temps aux autres si tu sais faire

                  • jna dit :

                    Là, c’est pas très sympa visiteur. Remarque, t’as pas complètement tord non plus. La certitude, par définition, c’est inébranlable et c’est sûr qu’à crécy, y en a qui en ont, et la couche est épaisse, certes.
                    Dire qu’on est tous écoeurants, c’est aller un peu vite en besogne, à moins que tu ne sois vraiment un grand frustré, ce qui est possible, mais sûr non plus, vu qu’on ne te connait pas, c’est la définition le lanonyme.
                    Enfin, là où je ne te suis pas c’est sur le rôle que tu attribues à AS77, tu te plantes à mon avis. Même si chacun à bien au bout du compte une espèce de rôle sur le site, il n’y en pas de prévu pour celui que tu cites, à moins que tu veuilles l’occuper …

                    • brionautes dit :

                      Simplement vous faire remarquer qu’il ne m’a pas contre « dit » et qu’il en est certainement conscient .Et je maintiens, qu’il y a souvent une pensée droitiste écoeurante, courant dans les commentaires que jamais vous même ne reprenez. Donc ! Vous en êtes complice par votre acceptation. Oui vous avez raison je suis un gd frustré et vous ne serez pas surpris de me voir refuser votre invitation, non que la place de c… me gène mais la table ne me supporterait pas longtemps, surtout quand d’autres ont le ventre vide, alors trop peu pour moi d’entendre vos invités se glorifier de leurs réussites sociales.

                    • brionautes dit :

                      pour conclure je vous laisse cette réflexion :

                      « La société est composée de deux grandes classes :
                      Ceux qui ont plus de dîners que d’appétit,
                      Et ceux qui ont plus d’appétit que de dîners.  »

                    • AS77 dit :

                      merci de ton aide visiteur,et oui a 2 la vérité blesse ,personne ne c’est demain , ce qu’il sera 😉

                    • jna dit :

                      Dommage que tu déclines l’invitation cher visteur anonyme, ce sera pour une autre fois peut-être.
                      Si pensée droitiste il y a, et il y a sans doute, il me semble que quelques uns se chargent de faire contre-poids de temps en temps.
                      Il y a plusieurs courants de pensées sur le site et la droitiste ou la poujadiste (Des nouvelles de Gérard Nicoud ?) n’est pas la seule à s’exprimer.
                      Le problème est que ces approches politiciennes conduisent en ce moment à quelques égarements.
                      La crise contribue-t-elle à exacerber certaines passions, à faire réapparaitre de vieilles fractures sociales qui n’étaient réduites qu’en surface ? :#

                    • dam dit :

                      A propos des certitudes… :#
                      En 1980 (j’avais déjà 38 ans) je me souviens alors que je venais d’entrer dans un grand groupe et que je roulais ma caisse comme tout cadre jeune et dynamique, je me suis fais renvoyer dans mes buts au cours d’une réunion alors que j’étais sûr de ça et encore de ça , par un directeur qui m’a dit » X.. »Arrètez d’avoir toujours des certitudes ». :paf
                      Cette réplique m’a alors subjuguée et m’a fait beaucoup réfléchir (encore un peu aujourd’hui)et depuis je ne suis jamais sûr de rien surtout dans mes opinions politiques ou autres.
                      Comme chantait Gabin »je ne sais qu’une chose ,c’est que je ne sais rien ».
                      Heureux ceux qui sont sont sûrs de tout… :=! 😛

                    • brionautes dit :

                      @dam
                      sauf que le certitude de manger demain est certainement la certitude pour beaucoup d’entre vous et non celle de ceux faisant la queue au resto du coeur ou les fins de marchés…. et je n’ai moi qu’une certitude : je ne m’y ferai jamais.

                    • dam dit :

                      Non sur le fond :-c) ; imaginez que celui qui a la certitude de manger demain tombe malade ce soir (ou pire).

                    • brionautes dit :

                      et celui qui a la certitude de ne pas manger !!! LUI risque chaque heure de ne jamais se relever . Mais cela n’éffleure même pas votre pensée de retraité nanti.

            • Korie dit :

              Et le lundi alors ? C’est un jour de semaine qui doit être travaillé comme les autres !
              Les riches aussi sont fiers d’être riches. Les bourgeois, les patrons, Sarko, Ségo, Borloo, Alliot(Marie), Darco(s), Bachelot, Bussereau, Bayro euh pardon, Bayrou, ils sont tous fiers d’être eux-mêmes.
              « On ira tous au paradis, mêm’ moi,
              Qu’on soit béni ou qu’on soit maudit, on ira
              Tout’ les bonnes soeurs et tous les voleurs
              Tout’ les brebis et tous les bandits
              On ira tous au paradis »
              Et puis sans le cerveau, des doigts de mains, ça ne sert à rien.
              C’est comme des cheveux sans tête, ça n’a ni queue ni tête 😮
              Un docteur sans malades ?
              Ce serait galéjade
              Une pêche sans pêcher c’est un pêcher
              tout comme un pêcheur sans poisson ça ne tourne pas rond,
              un bouchon sans bouteille c’est du pareil au même

              • brionautes dit :

                c’était il y a plus de cent ans.

                Il y avait derrière la forêt, près du grand lac, un vieux manoir entouré d’un fossé profond où croissaient des joncs et des roseaux. Tout près du pont qui conduisait à la porte cochère, il y avait un vieux saule qui penchait ses branches au-dessus du fossé.

                Dans le ravin retentirent soudain le son du cor et le galop des chevaux.

                La petite gardeuse d’oies se dépêcha de ranger ses oies et de laisser le pont libre à la chasse qui arrivait à toute bride. Ils allaient si vite, que la fillette dut rapidement sauter sur une des bornes du pont pour ne pas être renversée. C’était encore une enfant délicate et mince, mais avec une douce expression de visage et deux yeux clairs ravissants. Le seigneur ne vit pas cela ; dans sa course rapide, il faisait tournoyer la cravache qu’il tenait à la main. Il se donna le brutal plaisir de lui en donner en pleine poitrine un coup qui la renversa.

                – Chacun à sa place ! cria-t-il.

                Puis il rit de son action comme d’une chose fort amusante, et les autres rirent également. Toute la société menait un grand vacarme, les chiens aboyaient et on entendait des bribes d’une vieille chanson :

              • brionautes dit :

                « On ira tous au paradis, mêm’ moi,
                Il pourrait y avoir des surprises … méfiance !! N’est-il pas écrit que celle ou celui qui a eu sa richesse sur terre….

                Un bouchon au fil de l’eau n’a pas besoin de s’unir à la bouteille.

                Un médecin qui refusent ceux inscrit à la CMU !! VOUS APPELLEZ CELA COMMENT ?

                • lomig dit :

                  1. le temps est universel
                  2. le site est de qualité, alors soignez vos commentaires
                  3. au delà des accusations gratuites, nous attendons des faits ….

                  • brionautes dit :

                    l’arrogance ,Monsieur ,quand faite vous .la qualité ,ne fait pas la générosité.

                    • brionautes dit :

                      Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu’on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait de son côté une jeune fille, mais d’une douceur et d’une bonté sans exemple; elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure femme du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites, que la belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus haïssables. Elle la chargea des plus viles occupations de la maison: c’était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles. Elle couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu’à la tête.

                    • brionautes dit :

                      La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n’osait s’en plaindre à son père qui l’aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu’elle avait fait son ouvrage, elle s’en allait au coin de la cheminée, et s’asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu’on l’appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n’était pas si malhonnête que son aînée, l’appelait Cendrillon; cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d’être cent fois plus belle que ses sœurs, quoique vêtues très magnifiquement. Il arriva que le fils du roi donna un bal, et qu’il y invita toutes les personnes de qualité: nos deux demoiselles en furent aussi invitées, car elles faisaient grande figure dans le pays. Les voilà bien aises et bien occupées à choisir les habits et les coiffures qui leur siéraient le mieux; nouvelle peine pour Cendrillon, car c’était elle qui repassait le linge de ses sœurs et qui godronnait leurs manchettes: on ne parlait que de la manière dont on s’habillerait. – »Moi, dit l’aînée, je mettrai mon habit de velours rouge et ma garniture d’Angleterre. » -« Moi, dit la cadette, je n’aurai que ma jupe ordinaire; mais par contre, je mettrai mon manteau à fleurs d’or, et ma barrière de diamants, qui n’est pas des plus indifférentes. »

                    • brionautes dit :

                      On envoya chercher la bonne coiffeuse, pour dresser les cornettes à deux rangs, et on fit acheter des mouches de la bonne faiseuse : elles appelèrent Cendrillon pour lui demander son avis, car elle avait bon goût. Cendrillon les conseilla le mieux du monde, et s’offrit même à les coiffer; ce qu’elles voulurent bien. En les coiffant, elles lui disaient: – »Cendrillon, serais-tu bien aise d’aller au bal ? » -« Hélas, mesdemoiselles, vous vous moquez de moi, ce n’est pas là ce qu’il me faut. » – » Tu as raison, on rirait bien si on voyait un cucendron aller au bal. » Une autre que Cendrillon les aurait coiffées de travers; mais elle était bonne, et elle les coiffa parfaitement bien. Elles furent près de deux jours sans manger, tant elles étaient emplies de joie. On rompit plus de douze lacets à force de les serrer pour leur rendre la taille plus menue, et elles étaient toujours devant leur miroir.

                    • jms dit :

                      Cendrillon comme famille modèle mais pas nombreuse d’ailleurs.
                      Dans notre enfance c’était déjà un cliché, alors de nos jours c’est quand même dépassé.

                • Florence dit :

                  Visiteur, Qui vous autorise à nous juger, et même à nous insulter, et sous l’anonymat en plus ! Personne n’étant parfait personne n’a le droit de juger les autres. Et puis tous ceux qui n’ont pas vos idées ne sont pas des salauds. Maintenant que je vous ai dit ce que j’avais sur le coeur, Shalom, (paix), comme disent nos amis israéliens. Pour répondre à ce commentaire, bien sûr qu’ « on ira tous au paradis », les médecins qui refusent de soigner les gens qui sont à la CMU, OK c’est atroce, et même Hitler. La conception d’un châtiment éternel est aussi absurde qu’incompatible avec celle d’un Dieu d’une infinie bonté. Il y en a qui, de toute évidence, sont nés avec quelque chose dans le cerveau qui ne tourne pas rond. Est-on plus responsable d’être né perturbé dans sa tête que d’être né avec une malformation cardiaque ? J’avoue être très frappée par la méchanceté et la perversité du comportement de certains. Mais je me dis que si ces personnes rendent les autres malheureux c’est qu’elles sont elles-mêmes malheureuses. Je pense que dans un autre monde elles auront à évoluer. Mais ce n’est pas en faisant souffrir les gens que les psys les font évoluer. Je pense qu’il y a des psys au paradis qui ne doivent pas avoir exactement les mêmes méthodes qu’ici.

  3. pg dit :

    Histoire d’illustrer le bon vieux temps en écho aux souvenirs de jms, jna et Kroie, une p’tite chanson comme l’aurait lui-même dit François Béranger, intitulée « Tranche de vie » :

    Je suis né dans un p’tit village
    Qu’à un nom pas du tout commun
    Bien sûr entouré de bocage
    C’est le village de St Martin
    A peine j’ai cinq ans qu’on m’emmène
    Avec ma mère et mes frangins
    Mon père pense qu’y aura du turbin
    Dans la ville où coule la Seine
    [Refrain] :
    J’en suis encore à m’demander
    Après tant et tant d’années
    A quoi ça sert de vivre et tout
    A quoi ça sert en bref d’être né

    La capitale c’est bien joli
    Sûrement quand on la voit d’Passy
    Mais de Nanterre ou de Charenton
    C’est déjà beaucoup moins folichon
    J’ai pas d’mal à imaginer
    Par où c’que mon père est passé
    Car j’ai connu quinze ans plus tard
    Le même tracas le même bazar

    [Refrain]

    Le matin faut aller piétiner
    Devant les guichets de la main d’œuvre
    L’après-midi solliciter le cœur
    Des punaises des bonnes œuvres
    Ma mère elle était toute paumée
    Sans ses lapins et ses couvées
    Et puis pour voir essayez donc
    Sans fric de remplir cinq lardons

    [Refrain]

    Pour parfaire mon éducation
    Y a la communale en béton
    Là on fait d’la pédagogie
    Devant soixante mômes en furie
    En plus d’l’alphabet du calcul
    J’ai pris beaucoup coup pieds au cul
    Et sans qu’on me l’ait demandé
    J’appris l’arabe et le portugais

    [Refrain]

    A quinze ans finie la belle vie
    T’es plus un môme t’es plus un p’tit
    J’me r’trouve les deux mains dans l’pétrole
    A frotter des pièces de bagnoles
    Neuf dix heures dans un atelier
    Ça vous épanoui la jeunesse
    Ça vous arrange même la santé
    Pour le monde on a d’la tendresse

    [Refrain]

  4. hkir dit :

    Le Sénat a repoussé cet amendement concernant le bonus malus pour les familles nombreuses.
    Y aurait-il plus d’esprits logiques dans cette assemblée que dans celle des députés?

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