Les prix augmentent mais pas trop !

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43 réponses

  1. retraitactif dit :

    cette statistique qu’on ne peut mettre en doute vu le sérieux de la source(AFR 😉 porte donc on peut dire mi 2006/mi 2007? :#
    Par contre la statistque mi 2007/mi2008 devrait être largement au delà puisque tout le monde y compris notre cher gouvernement déclare que les hausses sont monstrueuses et c’est surtout cette statistique là qui nous intéresse. :# 😮 😕

  2. jna dit :

    Ces chiffres sont en contradiction avec ceux de l’INSSE (pourtant optimistes) qui annonce des hausses de prix bien supérieures en 2007, sur les produits de consommation courante.
    http://www.insee.fr/fr/indicateur (cf la page 4)

    Si ces statistiques portent sur 2006, alors ça ne présente pas beaucoup d’intérêt.
    Pour les côtes d’Armor, on peut aussi penser que l’observatoire ne portait que sur le prix du choux et du cochon.
    Bref, ceux qui font leurs courses familiales, chaque semaine, savent bien que les prix ont galopé ces derniers temps : je donne un exemple qui m’a frappé le WE dernier encore : 6 oeufs bio à inter 1,78 il y a 3 mois, les mêmes à 2,40 samedi dernier.

    Enfin, je ne suis pas sûr que l’on puisse prendre pour argent comptant ces statistiques venant de AFR : la neutralité politique de cette association, très ancrée dans le milieu rural, n’est pas prouvée et ce texte qui tend à nous faire prendre des vessies pour des lanternes, confirme mes doutes.

  3. jms dit :

    Pour le consommateur, ce qui compte c’est l’évolution du pouvoir d’achat. Si les prix montent mais les salaires stagnent, le pouvoir d’achat diminue. A l’inverse, on peut accepter que les prix montent, c’est dans l’ordre des choses. Si les revenus montent aussi, et de préférence plus que les prix, on s’y retrouve.
    La progression des prix annoncée par lomig n’est sûrement pas trop fausse, bien sûr en excluant ce qui augmente le plus : carburant, chauffage, immobilier, impots locaux (selon les endroits), …

    • jna dit :

      Non, pas d’accord, les prix de l’alimentaire ont augmenté à vitesse grand V ces derniers mois.

      Pour le reste, le pouvoir d’achat, nous sommes d’accord du point de vue mathématique : tant mieux si tes revenus montent plus que les prix, mais je ne suis pas certain que ce soit une règle générale.

  4. lomig dit :

    + 8 % pour les 1 e r prix en hypermarché
    Premier indicateur, les prix ont augmenté de 1 à 2 % en 2007. C’est moins qu’en 2006 (+ 6 % environ), mais l’enquête des Familles rurales fait apparaître des situations très contrastées. Dans les hypermarchés, les premiers prix ont augmenté jusqu’à 8 %, quand ils n’augmentaient que de 2 % en supermarché. Le constat est le même pour les marques des distributeurs qui ont vu leur prix augmenter jusqu’à 4 %. « Ce sont les consommateurs les plus pauvres qui subissent ces hausses de prix », analysent les représentants des Familles rurales.

  5. lomig dit :

    Les ménages modestes pénalisés
    L’analyse des prix sur les deux dernières années révèle que les ménages les moins aisés sont, proportionnellement, les plus pénalisés par l’augmentation des prix des produits de base. « L’augmentation est plus importante sur les produits de marque de distributeurs et sur ceux estampillés « premiers prix ». « . Dans les magasins de hard-discount, par exemple, le prix moyen du panel « premier prix » a connu une hausse de 3,86% entre 2006 et 2007, bien au-dessus du taux d’inflation. « Or ce sont majoritairement les ménages les moins aisés qui achètent ces produits dans ce type d’enseignes » poursuit Maryvonne Tor. Les prix des produits de grande marque ont moins augmenté car ils ont bénéficié de la loi Dutreil sur les marges arrières même s’ils restent, bien entendu, supérieurs. A panel égal, celui des « premiers prix » est toujours de 42% moins cher que le panel « grandes marques » et 26% au dessous du montant du panel « marques de distributeur ».

    • jna dit :

      Les marques distributeurs sont beaucoup plus sensibles aux variations des coûts des matières premières et des coûts de fabrication en général. Les distributeurs prétendent également qu’ils « margent » peu sur ces produits.
      A l’inverse, la hausse du prix des matières première est écrêtée dans les produits de grandes marques car ils intègrent d’autres coûts liés, notamment, au marketing et à l’effort de commercialisation.

      Bref, la part du coût de fabrication dans sa contribution au prix final est importante dans les produits distributeurs, elle l’est beuacoup moins dans les produits de marque.

  6. lomig dit :

    Les aliments de première nécessité coûtent de plus en plus cher notamment en grande surface : c’est ce que dénonce l’association Familles rurales dans son observatoire des prix publié hier.

    LES ALIMENTS de première nécessité coûtent de plus en plus cher notamment en grande surface : c’est ce que dénonce l’association Familles rurales dans son observatoire des prix publié hier. Il compare l’évolution des prix d’un panel de 34 produits de consommation courante durant l’année 2007.

    Source : Le Parisien

  7. lomig dit :

    Le petit déjeuner et le surgelé sont chers.
    Les prix des produits du panier ont évolué de 1,36 % en moyenne : en janvier, le panier était à 124,33 €, il est passé à 130,87 € fin 2007. Une évolution plus modérée qu’en 2006, mais qui cache de fortes disparités. « On note des hausses sur les produits premier prix », insiste Jean-Yves Martin, président de l’association. Dans cette catégorie, le petit déjeuner a augmenté de 3,83 %, le surgelé de 2,35 % et les aliments pour animaux de 1,56 %. Côté grandes marques, ce sont les jus de fruit qui ont le plus augmenté, chez les marques de distributeurs ce sont les eaux et les aliments pour animaux. Les desserts et les produits d’hygiène sont ceux qui ont baissé le plus.

  8. lomig dit :

    Les aliments de base aussi.
    L’association a relevé un prix de la baguette en hausse de 12 centimes d’euro au kilo en boulangerie et de 5 centimes d’euro en grande surface. « Le poids de la baguette varie selon le lieu de vente, cela rend la comparaison difficile », note son leader. Les pâtes « premier prix » affichent une hausse moyenne de 13,84 %, celles des grandes marques de 3,72 % et celles des marques de distributeurs une baisse de 0,47 %. Dans le hard discount, les hausses vont de 6 à 27 %. Ce sont aussi les produits laitiers premiers prix qui augmentent le plus : 6,40 % en hyper, 2 % dans les supermarchés et 4 % dans le hard discount. Dans le petit commerce, le prix baisse.

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