Le citadin et le rural marchand de biens

Un citadin par les tags fort irrité,
Décida un jour d’à la campagne s’installer.
Sans malice, il fit affaire
Avec un agent immobilier.

Passèrent quelques années,
Où après avoir ramé pour s’intégrer,
Il finit par se dire en ses pensées :
Ai-je bien vraiment raisonné ?
Pourquoi suis-je venu me marginaliser,
Dans ce trou sans ciné ?

L’agent immobilier m’avait pourtant alors certifié,
Que le calme n’était pas suranné
Que la campagne serait préservée.
Mais que puis-je désormais espérer,
Une sorte de sombre merdier,
Où les lois ne sont pas observées,
Et encore moins l’environnementalité.

Mais, ultime exaction,
Voici qu’un maire,
Se prend pour le père de la région.
Et administre à coup de circonvolution,
Le fin fond des pensées noires de l’antique population.

Vraiment, bien bas, la politique va nous mener.

« Et que si point vous n’aimiez le chant du coq et le bruit
Des cloches à la volée, sans compter le bruit des quads dans les fossés
Pourquoi venir dans nos vallées,
Mais par-dessus tout, si des esprits ouverts,
A la marche du monde, vous souhaitiez trouver,
Il eut mieux valu rester dans vos cités,
Vous auriez plus facilement trouvé ».
Dit en substance le mâtiné.
« Le citadin ruralisé,
Quelle sale engeance »
Réfléchit-il en aparté,
« Faut vraiment tout faire pour l’écoeurer »

Moralité :

« Si pour vous ruralité rime avec sérénité, passez votre chemin.
Le citadin n’est pas fait pour de si noir desseins »