Des nouvelles de Voulangis
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La réunion du 22 mai 2005 concernant le devenir de la garderie « les petits loups en joie » s’est finalement tenue au 104 en présence de plus de 25 parents et de l’équipe de la mairie en charge des affaires scolaires.
Après la présentation de l’historique et de l’état actuel de l’activité de l’association de la garderie par la présidente, a été abordé le principal sujet d’inquiétude de tous les parents présents à cette réunion, la reprise de la gestion du service par la municipalité. Effectivement, au regard de l’évolution des effectifs de la garderie, il devient trop lourd pour les bénévoles de l’association de poursuivre cette activité sous cette forme de statut. |
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Mr le Maire nous a alors confirmé que si l’association disparaissait, la commune prendrait à sa charge la création d’une nouvelle entité qui pourrait offrir les mêmes services aux parents Voulangeois.
Cette garderie communale serait localisée en 2 lieux distincts en fonction du créneau horaire : – Le matin dans la salle de cantine des écoles. – Le soir, dans la salle dite le Préau situé dans l’école primaire. Les travaux de mise aux normes ont été réalisés dans cette salle pour pouvoir accueillir les enfants dans de bonnes conditions pour le fonctionnement conjoint avec l’école. Mr le Maire rencontrera les responsables de l’association sous huitaine pour recueillir les commentaires et expériences utiles au bon fonctionnement de ce futur nouveau service communal. Autres points abordés lors de cette réunion : |
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Est-ce l’association qui se déclare incompétente ou la mairie qui lui impose de se substituer à ellle ?
En tous cas c’est une bonne chose que d’anticiper les problèmes futurs et de changer de structure tant qu’il est encore temps.
Je crois savoir qu’une réunion du conseil municipal était prévue le lendemain soir. La prochaine on essaiera d’y assister.
Tout ceci évoque un souvenir qui m’était sorti de l’esprit. Mon arrière Grand mère, Marie Hohweiller, ancienne cuisinière qui était venue, avec son époux, prendre sa retraite à Voulangis en 1888, et dont vous avez fait connaissance dans les articles « Au temps jadis » avait accepté de servir une soupe chaude, chez elle, aux enfants de l’école qui habitant la campagne, n’avaient pas le temps d’aller prendre chez eux un repas à midi. Personne ne parlait de cantine à cette époque, mais l’entraide était solide. :=!
A cette époque , l’entraide était naturelle. Maintenant, tout doit être encadré pour des raisons de responsabilité. Et ce n’est pas à la campagne que les choses les moins graves arrivent. Nous en avons malheureusement des exemples récemment.
C’est le bureau de l’association qui considère que le nombre d’enfants est désormais trop important pour rester sous ce statut.